Latentative européenne de faire face au changement climatique et atteindre la neutralité carbone est sabotée par l’agro-business ? Ce n’est pas mon affirmation. C’est la dernière série d’attaques de ceux qui remettent en question la politique européenne de la Ferme à la Fourchette (F2F), pourtant concoctée avec la contribution de groupes

1. La ferme à cour fermée2. La ferme à cour ouverte3. La ferme à bâtiments dispersés La disposition des bâtiments de service et de l'habitation d'une ferme révèle le système économique qu'elle pratique et une certaine conception technique. En Normandie trois types de fermes se différencient par leur organisation et leur répartition. 1. La ferme à cour fermée Cette ferme dispose ses bâtiments, tous joints autour d'une cour. On y pénètre par un porche en face duquel se trouve habituellement la maison. Autour se suivent grange, écurie, étable, charreterie, pressoir, cellier, remise, etc. Mis à part les volailles, les animaux vivent en stabulation. Les bâtiments réservés aux récoltes et au matériel tiennent une place importante, signes d'un système basé sur les céréales. Ces fermes sont caractéristiques de deux régions - la bande sinueuse des plaines allongées du Plain jusqu'au delà de Sées- les marges de la Picardie et de l'Ile-de-France Plan d'ensemble, état en 1979 1 – Porche d'entrée 9 – Charreterie 2 – Cour fermée 10 – Ecurie 3 – Habitation 11 – Poulailler débarras 4 – Laiterie 12 – Etable à veaux 5 – Fournil 13 – Porcherie 6 – Chapelle 14 – Enclos des porcs 7 – Salle de traite 15 – Ancien pigeonnier 8 – Parc d'attente

Jetravaille habituellement à Madrid. Je suis très heureux de pouvoir vous parler de certaines de nos activités. La gynécologie est un domaine de la santé de la femme qui comprend des aspects très divers, comme le diagnostic précoce et le traitement du cancer, l'aide aux couples qui ne peuvent pas avoir d'enfants, le traitement de la fertilité,
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Présentation de la vie dans la ferme L'harmonie entre l'homme et la nature » Un cadre naturel d'exception La Ferme des Cévennes, entourée de vergers, de prairies et d’anciennes châtaigneraies, niche au cœur du parc national des Cévennes dans les montagnes cévenoles sur une propriété de 280 ha. Notre milieu naturel se caractérise par une faune et une flore extrêmement riches et diversifiées du fait de la présence de trois roches granit, calcaire et schiste, qui se répartissent en vallées, falaises, plateaux et cultures. Cet environnement exceptionnel nous permet de travailler sur des programmes éducatifs liés à la nature et l'environnement sous tous ses angles. Un patrimoine historique et culturel riche Dans cet environnement riche, les hommes se sont installés voici des millénaires et ont façonné le paysage. Des vestiges présents autour de la ferme évoquent la vie des hommes, de l'époque néolithique jusqu'au développement d'une vie agropastorale locale. L'histoire des Cévennes est également étroitement liée au protestantisme. Sur les terres de la ferme, on y trouve une grotte qui fut un refuge pour des Camisards durant les guerres de Religion et une doline utilisée pour les Assemblées du désert ». Notre cœur de métier... la fabrication du fromage de chèvre Notre star, c'est le Pélardon classé AOP, un gage de qualité et de savoir-faire. Nous produisons également du fromage de chèvre à pâte cuite, tel que le fleuri » et la tomme, qui s'affinent lentement dans nos caves de schistes troglodytes. Les chèvres La ferme étant une ferme de production de fromage de chèvre, l’animal phare est évidemment la chèvre le cheptel constitué de 200 chèvres parcourt tous les jours de mars à décembre les 280 ha de prairies et de forêts. Bénéficiant d'un cadre naturel idéal, elles gambadent librement dans ce vaste domaine au relief escarpé, et profitent d'un écosystème préservé et diversifié. Les autres animaux A la ferme, nous avons également des vaches, des ânes, des moutons, des cochons, des lapins et des volailles canards, oies, poules, pigeons …. Il y a aussi les carpes dans le bassin et même des dinosaures empruntes et coquille d’œuf Cultures et parcours en agriculture biologique Nos meilleures terres sur le causse culminent à plus de 1000 mètres, où nous cultivons des champs de céréales et de luzerne pour nos bêtes. Nos prairies naturelles, souvent en terrasses, sont fauchées à la fin du printemps. Le foin, séché et pressé, nourrira notre troupeau durant l'hiver. Le potager en terrasse, au pied de la ferme nous fournit en légumes frais, gorgés de soleil et de vitamines. Des vignes et des vergers entourent la ferme pommiers, poiriers, cerisiers, pruniers, figuiers, noyers, etc. Les framboisiers et groseilliers nous permettent de faire de bons goûters, mais aussi d'excellentes confitures. De jeunes mûriers rappellent cette ancienne tradition cévenole d'élevage du ver à soie, qui se nourrit principalement des feuilles de cet arbre.
Leniveau plus élevé du coût de la vie a aussi un impact sur les entreprises, puisqu’il les oblige à verser des salaires plus élevés, ce qui nuit à leur productivité et leur compétitivité, et leur ferme les portes de l’exportation. Le résultat, c’est que les villes africaines n’attirent guère les investisseurs régionaux ou mondiaux et partenaires
Emma Orbach est diplômée de la très prestigieuse Université d’Oxford. Mariée à un historien de l’architecture, elle a commencé par la construction d’une communauté écologique, la ferme de Brithdir Mawr en 1993. Après 5 années d’existence, les autorités ont demandé la démolition de la communauté car aucune autorisation n’a été trouvée dans les archives. Même si la justice a finalement donné raison à la communauté, ces problèmes administratifs ont séparé le couple d’Emma. En 1999, elle décide de tout quitter pour aller vivre en totale autarcie. Elle vit maintenant seule en autonomie depuis plus de 17 ans. Bruce Adams pour le DailyMail Avant de vivre en totale autarcie, Emma avait fondé un communauté écologique avec son mari Emma Orbach a fait de brillantes études dans les meilleures écoles, pourtant elle n’a jamais autant appris sur la vie que depuis qu’elle a décidé de vivre en totale autarcie. Emma habite aujourd’hui seule dans une petite maison auto-construite à base de boue au milieu des bois. Barcraft TV Elle a franchi le pas de la vie alternative en 1993 avec son mari en construisant une communauté écologique l’éco-hameau de la ferme de Brithdir Mawr à côté de Newport, au Pays de Galles. A l’origine, la famille souhaitait rénover un corps de ferme afin d’y vivre avec leurs 3 enfants. Mais ils ont été très rapidement rejoints par d’autres familles qui voulaient vivre autrement. Après 5 ans d’existence, la communauté comptait déjà 12 adultes et 10 enfants. Mais cette vie calme loin de la société de consommation est interrompue par des problèmes judiciaires avec les autorités qui demandent la démolition des lieux en 1998. La bataille judiciaire est finalement gagnée par la communauté, mais la lourdeur des démarches pour faire valoir leurs droits eut raison du couple qui divorça. Même si la communauté est aujourd’hui prospère, Emma a décidé de partir pour vivre en totale autarcie seule. Aller encore plus loin en s’isolant pour vivre en totale autarcie, sans eau courante ni électricité Barcraft TV Barcraft TV Emma habite maintenant dans une petite hutte qu’elle a construite elle-même avec de la boue il y a très exactement 17 ans. Elle n’a ni l’eau courante, ni l’électricité. La femme vit en parfaite harmonie avec la nature, cultive ce qu’elle mange et va chercher l’eau directement dans une petite source. Elle se lève en même temps que le jour, et se couche dès que le soleil se couche. Elle lit de nombreux ouvrages, joue de la musique avec sa harpe, s’occupe de ses animaux ses poules, ses chèvres et ses chevaux, et profite ainsi de sa vie au calme où elle peut enfin être heureuse. Barcraft TV Ses trois enfants ont aujourd’hui une trentaine d’années, et ont opté pour la vie en ville. Lorsque qu’il viennent la voir, ils ont interdiction de venir avec leurs téléphones et leurs ordinateurs. Emma vit avec le minimum et limite les contacts avec l’extérieur. Elle n’a jamais été autant en accord avec elle-même. Pour occuper son terrain en toute légalité, Emma doit néanmoins payer des taxes à la mairie chaque mois. Le montant s’élève à 63 £. Elle accueille des visiteurs qui veulent passer la nuit sur place. Grâce à leurs dons, elle peut couvrir ces frais, et permettre à d’autres personnes de s’essayer à la vie alternative. Son projet est de construite d’autres huttes pour ceux qui veulent également vivre en totale autarcie. En savoir plus En savoir plus sur la vie d’Emma Obrach grâce au reportage en anglais du photographe Timoty Allen Un article du DailyMail également en anglais consacré à la vie alternative d’Emma Une vidéo tournée par Barcroft TV sur la vie en autarcie d’Emma à visionner LEncyclopédie de l’environnement est publiée par l’Association des Encyclopédies de l’Environnement et de l’Énergie (), contractuellement liée à l’université Grenoble Alpes et à Grenoble INP, et parrainée par l’Académie des sciences.Pour citer cet article : THOMAS Pierre (2022), L’origine de la vie vue par un géologue qui aime Crédit photo Les fêtes de Pâques arrivent en avril cette année, et un homme, David Latimer, ne peut que se souvenir du dimanche de Pâques de l’année 1960. Comme en 2022, ce dimanche tombait aussi le 17 avril, et ce jour-là, un homme à la main très verte a décidé de planter un jardin dans une bouteille… Une idée qui lui est venue par hasard alors qu’il disposait d’une énorme bouteille dont il n’avait pas l’utilité; il s’est dit qu’il allait tenter l’expérience d’en faire un jardin ! Il ne devait pas s’attendre à ce que celui-ci devienne mondialement connu. Le jardin dans la bouteille de David Latimer n’a pas été arrosé depuis 1972, et pourtant, il est magnifique ! plante peut résister à l’enfermement ? David Latimer a planté dans sa bouteille quelques graines de tradescantia, que nous appelons aussi “misère”. Ces plantes sont connues pour être très robustes, et pour se multiplier comme par magie, ou presque. La misère est une plante un peu envahissante, et le fait d’être enfermée dans une bouteille ne l’empêche absolument pas de pousser, la preuve ! Pendant les douze premières années, l’homme a arrosé ses plantations, et en 1972, il a décidé de sceller hermétiquement sa bouteille. Et en privant la plante d’oxygène, elle aurait pu tout simplement mourir. Mais pas du tout ! Au contraire, Mr Latimer a juste tourné méthodiquement sa bouteille afin de l’exposer à la lumière du soleil pour qu’elle se développe uniformément dans la bouteille. Il explique ne l’avoir jamais taillée et l’avoir laissée évoluer comme bon lui semblait avec comme seule barrière, les parois de la bouteille. Image d’illustration. Crédit photo Mais comment est-ce possible ? Normalement, une plante a besoin d’air, d’eau, de lumière. Mais il semblerait que cette misère ait pu développer son propre microsystème à l’intérieur de la bouteille. En absorbant la lumière du soleil, elle a pu provoquer l’humidité dont elle avait besoin, et surtout la convertir en énergie. Ce cycle bien connu s’appelle la photosynthèse. Concrètement, l’espace étanche crée un écosystème autonome dans lequel la plante utilise la photosynthèse pour se fournir en éléments nutritifs qu’elle utilise, puis recycle. Avec la seule lumière du soleil, la plante peut donc survivre car elle lui fournit l’énergie nécessaire à la création de ses propres nutriments. Quant à l’eau, la plante a également développé un système autonome l’humidité qui se crée dans la bouteille est absorbée par les racines, puis libérée lorsque la plante transpire. Grâce aux parois de verre, elle redescend vers les racines, qui peuvent ainsi être à nouveau irriguées. Quant aux feuilles qui tombent de la plante, elles forment un humus que la plante réutilise pour se nourrir. Image d’illustration. Crédit photo Comment réaliser votre jardin dans une bouteille ? Il faudra d’abord choisir un récipient en verre de grande contenance, avec un col large pour accéder facilement à l’intérieur. Un grand bocal de légumes ou de moutarde sera parfait pour débuter l’expérience. Au fond du pot, il faudra ajouter du terreau de rempotage par exemple, et du gravier pour le drainage. Enfin, une couche de compost sera la bienvenue, toujours pour nourrir votre plante. Quant aux variétés, vous pouvez choisir de la misère comme David Latimer, mais également des fougères, des helxines ou encore des urticaceae. La plupart sont des plantes herbacées qui n’ont pas besoin de soins particuliers. Vous n’aurez plus qu’à arroser en évitant les feuilles, et placez votre pot à la lumière du jour, mais en évitant le plein soleil. Rendez-vous dans soixante ans pour nous faire découvrir votre jardin dans une bouteille peut-être ? Mes sujets de prédilection sont l'écologie, l'environnement, les innovations solidaires et les actualités en général. J'espère que vous prendrez plaisir à me lire. Ma devise "Carpe Diem" parce que la vie est trop courte et qu'il faut en savourer chaque instant. LeVinatier, un territoire hospitalier en mouvement. A l’occasion des Journées Européennes du Patrimoine explorant en 2007 la thématique « Patrimoine et Santé », la Ferme du Vinatier a proposé une exposition du 15 septembre au 16 décembre 2007 qui retraçait les évolutions de son territoire depuis sa création en 1876 jusqu’à 2026. Je ne m’intéresse pas à l’économie mais en 2009 je m’étais amusé à faire un petit comparatif de l’évolution des prix de quelques produits très différents entre l’année de ma naissance en 1960 et l’année 2010, soit en 50 ans ! Arbitrairement mais surtout parce que cela a été plus facile de trouver ces postes sur Internet ou dans mes archives, j’ai choisi le SMIC bien sûr, la baguette de pain, la place de cinéma, le litre de super, la consultation médicale, un timbre-poste, un journal télé et une voiture de bas de gamme Citroën 2 CV de 1960 à 1990, Dacia Logan en 2010 mais pas d’équivalent en 2000. Si entre 1960 et 2010, une baguette est restée une baguette, un timbre est resté un timbre ou un litre d'essence est toujours un litre d’essence, en revanche les voitures d’aujourd’hui bourrées d’électronique et d’accessoires de confort et de sécurité n’ont plus grand chose à voir avec celles d’antan ! Il eut également été intéressant de comparer le prix des ordinateurs en 1960, pas de PC, juste d’énormes machines peu performantes qui valaient l’équivalent de 94000 €, les PC de 1990 coûtaient quelque 5300 € alors qu’aujourd’hui de superbes machines s’achètent 500 € ! Et ne parlons même pas du prix du mégaoctet qui a été divisé par 1,3 million en 30 ans ! La chute des prix des téléviseurs est moins spectaculaire mais en 1970, un poste couleur cathodique de 56 cm valait environ 4000 F 600 € soit la moitié du prix d’une voiture moyenne contre environ 300 € aujourd’hui pour une TV à LED. 10 ans après on rajoute la colonne 2020 ! 1960 1970 1980 1990 2000 2010 2020 SMIC horaire 0,25 € 1,64 F 0,52 € 3,42 F 2,25 € 14,79 F 4,87 € 31,94 F 6,41 € 42,02 F 8,86 € 10,15 € baguette de pain 0,07 € 0,44 F 0,08 € 0,55 F 0,25 € 1,67 F 0,48 € 3,14 F 0,61 € 4 F 0,83 € 0,90 € place de cinéma 0,28 € 1,86 F 0,73 € 4,78 F 2,46 € 16,13 F 4,79 € 31,40 F 9,30 € 61 F 10,10 € 11,70 € litre de super 0,16 € 1,03 F 0,18 € 1,15 F 0,47 € 3,08 F 0,79 € 5,16 F 1,14 € 7,45 F 1,42 € 1,53 € consultation médicale 1,28 € 8,41 F 2,54 € 16,67 F 6,56 € 43 F 13,72 € 90 F 17,53 € 115 F 23 € 25 € timbre 0,05 € 0,25 F 0,06 € 0,40 F 0,21 € 1,40 F 0,35 € 2,30 F 0,45 € 3 F 0,58 € 1,16 € Télé-7-Jours 0,09 € 0,60 F 0,18 € 1,20 F 0,53 € 3,50 € 0,99 € 6,50 F 0,99 € 6,50 F 1 € 1,30 € voiture bas de gamme 730 € 4790 F 959 € 6292 F 3046 € 19980 F 6067 € 39800 F 8600 € env. 7600 € 7900 € Évolution de 1960 à 2020 Évolution de 1960 à 1970 Évolution de 1970 à 1980 Évolution de 1980 à 1990 Évolution de 1990 à 2000 Évolution de 2000 à 2010 Évolution de 2010 à 2020 Inflation 11,3 fois 1,46 fois 2,37 fois 2,02 fois 1,21 fois 1,19 fois 1,12 fois SMIC horaire 41 fois 2,09 fois 4,32 fois 2,46 fois 1,32 fois 1,38 fois 1,15 fois baguette de pain 13 fois 1,25 fois 3,04 fois 1,88 fois 1,27 fois 1,36 fois 1,08 fois place de cinéma 42 fois 2,57 fois 3,37 fois 1,95 fois 1,94 fois 1,09 fois 1,16 fois litre de super 9,5 fois 1,12 fois 2,68 fois 1,68 fois 1,44 fois 1,25 fois 1,08 fois consultation médicale 19,5 fois 1,98 fois 2,58 fois 2,09 fois 1,28 fois 1,31 fois 1,09 fois timbre 23 fois 1,60 fois 3,5 fois 1,64 fois 1,3 fois 1,29 fois 2 fois Télé-7-Jours 14,4 fois 2 fois 2,92 fois 1,86 fois 0 fois 1,01 fois 1,3 fois voiture bas de gamme 11 fois 1,31 fois 3,18 fois 1,99 fois 1,42 fois 0,88 fois 1,04 fois 10 ans avant Prix en 1950 en F 1960 Evolution de 1950 à 1960 Evolution de 1950 à 2020 Inflation 1,87 fois 21 fois SMIC horaire 0,78 F 0,119 € 2,1 fois 85 fois baguette de pain 0,14 F 0,021 € 3,1 fois 43 fois place de cinéma 0,69 F 0,105 € 2,7 fois 111 fois litre de super 0,46 F 0,07 € 2,2 fois 22 fois consultation médicale 2,50 F 0,381 € 3,4 fois 66 fois timbre 0,15 F 0,023 € 1,7 fois 50 fois voiture bas de gamme 2350 F 358,25 € 2 fois 22 fois
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A vendre 0Collectionneurs 1Recherche 0Pas encore mis en venteVous pouvez placer cet article dans votre liste de recherche. Vous serez avertis dès qu'il sera proposé à la vente. Ajouter à mon liste de recherchePas encore dans la liste de rechercheDescriptif de l'objetNom de l'éditeur sur la carteParticularitésLa carte a été envoyée le 21 mai texte a été automatiquement traduit du NéerlandaisCliquez ici pour le texte originalDate d'entréelundi 23 juillet 2018 10h52Dernière mise à jour lesamedi 20 août 2022 13h56Valeur du un compte ou connectez-vous pour voir les différentes valeurs de catalogue de Haarlemmerstraat. .Lots pharesFrance - Aéronefs, y compris militaires, pilotes, etc. - Cartes postales Collection de 53 - 1920-1960€ 43,00France - costume français, folklore, traditions - Cartes postales Collection de 100 - 1903€ 25,00France - cartes de villes villages scènes de vie en france - Cartes postales Ensemble de 100 - 1900-1940€ 77,00Monaco, Monte Carlo - entre autres Jardin exotique, Casino et autres cartes - Cartes postales Collection de 150 - 1900-1960€ 21,00France - 7 Petites villes et villages, cpa animées - Cartes postales Collection - 1902-1940€ 152,00France - Département 17 - Charente Maritime - cartes colorisé - Cartes postales 60 - 1900-1930€ 26,00Maisons royales européennes - Où la Grèce, le Luxembourg, la Scandinavie, l'Allemagne, etc. - Cartes postales Collection de 69 - 1900-1950€ 35,00Allemagne - Europe, Ville et paysages - Cartes postales Collection de 119 - 1900-1950€ 21,00Japon - Dans un vieil album fait à la main - Divers lieux, temples, ports, etc. dans un bel album - Album de cartes postales Collection de 72 - 1900-1915€ 26,00Divers pays - Afrique, Afrique noire - Types ethniques - Cartes postales Collection de 34 - 1900-1935€ 10,00Turquie - belle collection de Constantinople, Ottomans - Cartes postales Collection de 48 - 1920€ 35,00États-Unis - Ville et paysages - Cartes postales Collection de 212 - 1903€ 40,00Animaux, Militaire, Cheval - Chevaux - Soldat Soldats - Cartes postales Collection de 67 - 1900-1960€ 25,00Groningue - Cartes postales Collection de 132 - 1900-1940€ 40,00Belgique - Royauté - Belgisch Koningshuis - Cartes postales Collection de 205 - 1902€ 15,00Belgique - WALLONIE - Cartes postales Collection de 100 - 1905€ 1,00Pays-Bas - Leeuwarden Friesland - Diverses rues - y compris des cartes animées - Cartes postales Collection - 1900-1930€ 10,00Pays-Bas - Royauté - Maison Royale - Maison Royale - Cartes postales Collection de 107 - 1900-1995€ 1,00Belgique - Ville et paysages - Cartes postales Collection de 184 - 1905€ 30,00Pays-Bas - Frise - Cartes postales Collection de 105 - 1900-1960€ 1,00Belgique - Type Gruss aus - Carte postale unique 19 - 1898€ 1,00Afrique Noire début XXe siècle - Afrique - Cartes postales Ensemble de 41 - 1904€ 1,00Allemagne - Militaire, Première Guerre mondiale - Grandes images du Leipziger Illustrierte Zeitung 1914 - originaux Collection de 16 - 1914-1914€ 1,00Tunisie - Cartes postales Collection de 42 - 1901-1930€ 1,00États-Unis - Ville et paysages - Cartes postales Collection de 214 - 1901€ 11,00France - Département 44 - Loire Atlantique - Cartes postales 60 - 1900-1930€ 1,00France - Folklore - De diverses régions - y compris l'Alsace et la Lorraine - Costumes, musique etc. - Cartes postales Collection de 135 - 1900-1950€ 1,00France - Cartes postales, Des CPA FANTASIE de partout en FRANCE Collection de 100 - 1902-1940€ 60,00France - cartes de grenoble 38 isére - Cartes postales Ensemble de 100 - 1900-1940€ 1,00France - 1 - Dévastation / Ruines etc. - Y compris les cartes photo - Cartes postales Collection de 92 - 1915-1920€ 1,00
Lespréjugés sur les petites fermes ont la vie dure dans le monde agricole. « Dans les années 1960, on a dit que la modernité imposait que les fermes s’agrandissent. On est resté dans cette idée : une petite ferme, soit elle disparaît, soit elle s’agrandit », dit Pauline Lécole.
Parcours thématique Martine Cocaud Introduction Ce parcours est consacré à la modernisation du monde rural entre 1945 et 2000. Les aspects économiques et sociaux ont été largement pris en compte ; toutefois les films donnent la priorité aux acteurs du changements les agriculteurs. En 50 ans, le monde agricole breton a été confronté à une spectaculaire mutation, qui s'intègre dans le large cadre de la modernisation des campagnes européennes mais qui a été plus rapide et plus net en Bretagne qu'ailleurs, vu le retard accumulé au début du XXe siècle. De 1950 aux années 70, la Bretagne rurale va devenir l'exemple de l'adaptation d'un espace à la modernité économique. Ce développement va se faire par des voies originales, mêlant productivité économique et solidarité humaine, certains parleront alors d'"un modèle agricole breton"[1]. Toutefois, à partir des années 80 ce modèle va se trouver confronté aux évolutions économiques et fonctionnelles que connaît toutes les campagnes de l'Europe de l'Ouest difficultés liées à la concurrence mondiale, difficultés liées aux questions environnementales, nécessité d'appréhender le monde rural non plus comme un simple espace économique mais comme un cadre de vie " naturel " qui s'oppose à l'urbanisation. Face à ces défis que la Bretagne agricole ressent fortement, elle doit chercher d'autres modèles de développement. [1] Corentin Canevet Le renouveau de l'après-guerre A la fin des années 40, les structures d'exploitations traditionnelles basées sur la polyculture-élevage exercée dans le cadre familial restent prédominantes. Elles dégagent de faibles ressources, assurant un niveau de vie moyen aux familles d'agriculteurs. Mais très vite des forces modernistes vont s'imposer. Une tradition de polyculture familiale Après la Seconde Guerre mondiale, bien que la contribution de l'agriculture bretonne ne soit pas négligeable 8% de la production française pour 6% de la superficie agricole et rappelons que pendant la guerre les 4 départements bretons ont été excédentaires en matière alimentaire les campagnes bretonnes paraissent très en retard nombreuses petites exploitations familiales pratiquant la polyculture-élevage, superficie moyenne de 10 ha moyenne nationale de 15 ha. Les fermes sont peu mécanisées par manque de financement, les rendements restent faibles et l'agriculture bretonne, préoccupée à faire vivre une population nombreuse, manifeste peu d'intérêt pour les marchés extérieurs. Elle demeure cependant le secteur principal de l'économie jusqu'au début des années 60 et occupe plus de 40% de la population active en 1962. La nouvelle génération Toutefois, dès le début des années 50, le désenclavement de la Bretagne - région d'émigration, sous-industrialisée, sous-équipée - devient l'objectif de plusieurs initiatives modernistes qui s'expriment entre autre dans le CELIB. Le premier plan breton - coordonné pour sa partie agricole par Louis Malassis - est l'occasion de dégager les grandes lignes du changement. Cette révolution va être facilitée par l'inaluence idéologique de la JAC Jeunesse Agricole Catholique très puissante en Bretagne. En formant des milliers de jeunes ruraux selon la méthode " voir, juger, agir ", ce mouvement va être une courroie de transmission de la modernisation. Au nom du progrès, ces jeunes vont bousculer l'encadrement rural traditionnel et faciliter l'évolution socio-économique. En remettant en cause les exploitations familiales et en reconnaissant la nécessité de l'exode rural, ils vont rendre possible l'industrialisation et l'intensification de l'agriculture bretonne, sans en avoir mesuré toutes les conséquences. Produire plus De ce creuset jaciste surgit une nouvelle génération de militants syndicaux et politiques qui affirment l'autonomie de la paysannerie face à l'encadrement traditionnel. Créé en 1947, le CNJA Cercle National des Jeunes agriculteurs dirigé par Michel Debatisse et Bernard Lambert remet en cause la FNSEA puis devient le courant majoritaire des structures syndicales dans tous les départements bretons. Ces impulsions conjuguées vont permettre à la Bretagne de s'engager dans la modernisation. Les années 50 sont caractérisées par une augmentation de la production rendue possible par des améliorations techniques introduction du maïs, des vaches frisonnes, des engrais, généralisation des tracteurs, électrification généralisée, introduction de la comptabilité d'exploitation, etc.., que permet le recours croissant au crédit agricole et aux aides de l'Etat. Entre 1950 et 1964, le montant des prêts est multiplié par huit, les agriculteurs s'endettent pour financer l'achat d'équipements permettant de faire augmenter la productivité. La diffusion des nouvelles techniques est assurée par des structures nouvelles une trentaine de CETA Centre d'Etudes techniques Agricoles qui sont créés à la fin des années 50 et par les GVA Groupe de vulgarisation agricoles. Les années 50 correspondent également au début du remembrement il s'agit alors de remédier à l'extrême morcellement des exploitations bretonnes en arasant les talus jugés inutiles et en regroupant les parcelles d'un même propriétaire. Cette entreprise qui semble à certains indispensable, mais qui en traumatise d'autres, va se réaliser lentement malgré la mise en place en 1962 de la SBAFER Société Bretonne d'aménagement Foncier et d'Etablissement Rural qui a comme objectif de racheter des terres afin de favoriser l'agrandissement des exploitations. C'est l'amorce d'une croissance qui se révèlera spectaculaire puisque la production - particulièrement dans le secteur animal - prendra un poids considérable. La Bretagne se spécialise dans les élevages intensifs de poulets et de porcs, au prix de fortes répercussions sur l'emploi des terres agricoles. En 1985, 90% de la surface agricole bretonne est consacrée à l'alimentation du bétail. Nombre de tracteurs, moissonneuses-batteuses et machines à traire en Bretagne source annuaire statistiques de la France 1955 Tracteurs 14 533 Moissonneuses-batteuses 1 970 Machines à traire 9075 1960 Tracteurs 46 797 Moissonneuses-batteuses 1 970 Machines à traire 15 920 1965 Tracteurs 74 811 Moissonneuses-batteuses 5 048 Machines à traire 25 246 Jusqu'aux années 60, ces changements permettent l'augmentation du niveau de vie de nombreux agriculteurs, sans cependant remettre en cause les structures de production le système de polyculture-élevage perdure, les petites exploitations se maintiennent. Certes des initiatives annoncent des temps nouveaux première coopérative laitière de Rennes en 1949, chaînes d'abattage de porcs de Fleury-Michon à Bannalec, premier abattoir de poulets industriels crée par Doux en 1955. Mais les véritables mutations qui caractériseront le " modèle agricole breton " ne prendront vraiment forme que dans les années 60 dans le contexte de l'organisation économique de l'agriculture lois agricoles de 1960 et de 1962. Cette modernisation extrêmement rapide de l'équipement agricole ne trouve cependant pas d'échos dans la vie quotidienne les logements restent mal équipés seules 49% des communes rurales bretonnes ont l'électricité en 1950 et sont même vétustes puisqu'en Ille-et-Vilaine 60% des fermes sont antérieures à 1870. 1954 Eau courante 11,5% 33,8% WC intérieur 1,6 3,9% 1962 Eau courante 36% 57,8% WC intérieur 9,5 13,2% C'est dans ce contexte que l'EDF lance son projet de fermes pilotes. Il s'agit d'aménager des fermes en proposant un équipement rationnel permettant à la fois d'améliorer la vie quotidienne et de rentabiliser les grands équipements installés par l'entreprise. A la fin des années 60, 170 fermes ont été réalisées. Si les revenus des agriculteurs ont vraisemblablement augmenté entre 1955 et 1965 + 25 %, environ, ils demeurent inférieurs à la moyenne française et si certains jeunes veulent réformer de l'intérieur leur cadre de vie, en militant entre autre à la JAC ou dans les syndicats, d'autres ne cachent pas leur désir de s'installer à la ville. Le " modèle breton " Cette rénovation de fond qui caractérise la Bretagne des années 60 a permis au géographe Corentin Canevet de parler d'un "modèle breton" qu'il caractérise par une révolution technique rapide qui va permettre une nette augmentation de la production essentiellement tournée vers l'élevage. une révolution idéologique souvent évoquée par les termes de "révolution silencieuse" les agriculteurs bretons tentent de mettre en place une forme de développement original basé sur le progrès et qui associe rationalisme technique et développement collectif. A partir des années 70, ce modèle sera remis en cause dans le cadre d'un nouveau contexte agricole mondial. Un nouveau contexte agricole Les lois agricoles du début des années 60 s'attaquent aux structures de l'agriculture française en essayant de faire disparaître les exploitations jugées non viables car trop petites loi de 1960 mais aussi en réformant l'organisation du marché agricole la loi de 1962 permet la reconnaissance des groupements de producteurs. Ces décisions sont à mettre en rapport avec la mise en place du marché commun le 1er janvier 1958. Le mythe de la compétitivité va alors remplacer celui de la productivité des années 50. La deuxième révolution agricole On parlera alors d'une deuxième révolution qui correspond à un changement de système agraire avec passage du système de polyculture-élevage paysan vers celui d'un système agro-industriel intégré à l'économie de marché. Ce dernier se caractérise d'une part par la spécialisation des exploitations qui développent des productions marchandes dont l'élevage hors-sol et d'autre part, par la croissance de l'industrie agro-alimentaire. Les secteurs laitier, porcin et avicole en sortent totalement bouleversés la collecte industrielle du lait représente 25% de la production en 1958 et 76% en 1968. la production de poulets de chair passe de 5 000 têtes en 1957 à 30 000 en 1965 et 83 000 en 1985. Les industries agro-alimentaires qui avaient commencé à se développer juste après la guerre s'allient aux exploitations familiales pour atteindre les marchés nationaux et internationaux. Ces industries ont plusieurs origines mais une majorité d'entre elles provient du secteur coopératif - originalité à remarquer et qui s'explique en partie par l'idéologie moderniste du milieu agricole breton. Mis à part pour l'industrie laitière, les capitaux d'origine nationale sont rares et ceux d'origine étrangère le sont encore plus, du moins jusqu'aux années 70. Aidée dans sa réflexion par des chercheurs de l'INRA, de l'école d'agronomie, et par des syndicalistes, la paysannerie bretonne très dynamique adopte de nouvelles structures qui visent certes la rentabilité mais aussi une meilleure organisation du travail les CUMA Coopératives d'Utilisation du Matériel Agricole, les GAEC Groupement agricole d'Exploitation en Commun, les centres de gestion et de comptabilité se multiplient. On peut en effet évoquer un "modèle breton" qui veut permettre la sauvegarde du pouvoir économique paysan face au capitalisme agro-alimentaire car les chevilles ouvrières de ce projet sont des coopératives d'agriculteurs qui mêlent intégration capitaliste et militantisme syndical. Les exemples les mieux connus sont sans doute ceux de la COOP-agri, fusion des diverses coopératives de l'Office Central de Landerneau, de l'UNICOPA et de la CAB Coopérative des agriculteurs de Bretagne. Ils traduisent une certaine capacité à s'adapter et à saisir les opportunités. Cependant les coopératives se limitent le plus souvent à la première transformation, qui fournit une marge bénéficiaire faible. Un monde en mouvement Les agriculteurs bretons, très mobilisés syndicalement, se battent pour imposer leur modèle face au développement capitaliste de l'agriculture. Ils s'engagent dans de nombreuses actions spectaculaires parfois violentes. En 1960, les légumiers du Finistère entrent en lutte pour une réforme de la mise en marché. En 1962 des actions sont menées contre les non agricoles qui accaparent les terres. La même année "la bataille du rail" impose une baisse des tarifs et la mise en voie de la ligne Guingamp-Carhaix. Enfin, les premières mobilisations contre la PAC prennent forme en 1962.
Suitedu récit croisé des aventures d'Asa dans le Japon des années 1960 et de l'attaque de l'île nippone contemporaine par un monstre godzillesque. Asadora !. 06 : feuilleton manga / Naoki Urasawa. Blue period : . 10 Livre | Tsubasa Yamaguchi | 2022. Les étudiants de Geidai débutent leur projet de fin d'année, qui doit déterminer leur passage au niveau
Veaux, vaches, cochons, nous avons l’impression de les connaître depuis les comptines de notre enfance. Les animaux de la ferme valent pourtant mieux que cela, tant ils font partie de notre Histoire et de notre compréhension d’une partie de notre époque. Contenu1 Histoire des animaux de la ferme2 Animaux de la ferme et Quels sont les animaux de la ferme ? Top 63 Quels sont les animaux de la Basse-cour ? Animaux de la ferme le plus Animaux de la ferme le plus ancien4 Animaux de la ferme, oh la vache !5 Animaux de la ferme, au fait, l’abeille ?6 Où voir les animaux de la ferme ?7 Les séjours à la Animaux de la ferme, “La ferme préférée des français” Histoire des animaux de la ferme On les appelait des “bories” dans le sud de la France, des “cense” dans le Nord. Venu d’Angleterre où il était utilisé depuis le XVIIème siècle, le terme de ferme fut adopté en France avec la Révolution française, qui mit fin à la propriété par les seigneuries. C’est par extension du nom donné au contrat entre un propriétaire et celui qui exploite un domaine moyennant une redevance, que la ferme a désigné cette ferme agricole que nous connaissons. En 1911 encore, la France était pour plus de la moitié rurale. Cette vie, il y a cent ans plus agricole qu’urbaine, a laissé dans notre imaginaire de comptines évocatrices, d’Une petite poule grise aux Trois petits cochons eux-mêmes datant du XVIIIe siècle et transmis par voie orale avant d’être pour la première fois imprimés dans les Nursery Rhymes of England de James Halliwell en1886, en passant par La chèvre de Monsieur Seguin. Prix mis à jour le 26-08-2022 à 1020 PM. Animaux de la ferme et domestication Avec le Néolithique, la domestication des animaux a correspondu à l’attachement aux territoires et à la maîtrise de la reproduction biologique et du cycle de vie de certaines espèces. Ces animaux de ferme ont été domestiqués pour aider l’Homme dans certaines tâches l’âne ou pour le nourrir. La domestication est d’abord apparue au Proche-Orient il y a environ 10 000 ans, avec les premiers “animaux de ferme” que furent le porc, le bœuf, le mouton et la chèvre au Proche-Orient. Elle intervint ensuite en Chine, il y a environ 9 000 ans, avec le porc, en Asie du sud-est avec la poule. On distingue désormais les animaux de ferme selon leur destination les animaux de production de viande, les animaux laitiers, les animaux de volaille, les animaux utilisés pour le transport et les travaux, et les animaux utilisés pour le textile. Quels sont les animaux de la ferme ? Top 6 Veaux, vaches, cochons, les animaux de la ferme ne sont jamais qu’au nombre d’une dizaine incluant ceux de la basse cour ci-dessous la vache, le cochon, le cheval, l’âne, le mouton, le lapin Quels sont les animaux de la Basse-cour ? Et les animaux de la basse-cour que sont la poule et le coq, le dindon et le canardou l’oie Sans oublier qu’une ferme qui se respecte a presque toujours un chien. Animaux de la ferme le plus répandu Au monde, l’animal de ferme le plus répandu est la poule, avec 10 milliards d’individus, qui pondent un moyenne de 500 milliards d’œufs par an. A défaut de faire encore réveil-matin, le coq sert, bien sûr, à la reproduction. Animaux de la ferme le plus ancien Issu du cochon sauvage et non pas du sanglier, le cochon a été domestiqué en castrant les mâles et par l’ablation de leurs canines. Avec la domestication, le cochon a ensuite naturellement raccourci sa dentition, affiné son groin et vu sa robe virer du noir au rose jambon. La simplicité de son élevage en a fait le premier animal de ferme au Moyen-Age en Europe. Le ministre de Louis XIV, Vauban, voyait dans le cochon un moyen d’éradiquer les famines. Un siècle plus tard, avec l’introduction de la pomme de terre, culture dédiée aux cochons, les élevages de porcs français sont devenus les plus importants d’Europe. Tout était si bon dans le cochon, que l’on utilisait sa graisse y compris pour préparer un onguent contre les maux de dents et de savonnettes, et sa vessie servait de blague à tabac. Animaux de la ferme, oh la vache ! Les animaux de la ferme ont joué un grand rôle dans la sélection des espèces. Domestiquées à partir du VIe siècle avant nos vaches actuelles sont le résultat de croisements à escient, pour obtenir une meilleure production de lait et de viande. Là aussi, décidément, les choses nous sont venues d’Angleterre reconnu comme l’artisan de la révolution agricole Outre-Manche, l’anglais Robert Bakewell 1725-1795 a posé les bases de l’élevage tel que nous le connaissons. Deux de ses élèves sélectionneront la race Shorthorn, qui donnera la Durham », exportée en France. Le Second Empire est la période où le nombre de races de vaches différentes est à son apogée. A noter que Bakewell ne préconisait pas d’élever le bétail enfermé en stabulation, mais au contraire d’irriguer les prairies et de fertiliser les pâturages afin que les vaches se mettent une bonne herbe sous la dent. Côté sélection, il aura fait se croiser des génisses à longues cornes et un taureau de Westmoreland la race à viande “Dishley Longhorn” pesait dans les 381 kilos, contre 168 kilos pour les races non croisées. En 1856, le Concours universel agricole de Paris est celui des premières photographies de vaches Nadar Jeune, le frère cadet de l’illustre photographe, en immortalise 96, tout premier témoignage du genre. Animaux de la ferme, au fait, l’abeille ? Attention aux chiens, pour lesquels il représentent un vrai risque. Sinon, notre précieux insecte pollinisateur est aujourd’hui entré à la ferme, où il pollinise verger et potager. Et fournit du miel. Pour le fermier, la législation est celle qui s’impose à l’apiculteur. Un très bel exemple en est la ferme biologique du Bec Hellouin, dans l’Eure, qui dispense des formations pour amateurs et professionnels. Pour l’habitant de la ville, le Salon international de l’agriculture étant principalement une vitrine de la FNSEA, mieux vaut se rendre dans une ferme pédagogique, qui garantit un respect des animaux et permet de les voir dans leur environnement habituel. En région parisienne, vous avez la ferme de Paris dans le bois de Vincennes ou la ferme de Gally, à Sartrouville. Désormais, les animaux de la ferme peuvent être vus dans Paris intra-muros, par exemple à la ferme pédagogique du Jardin d’Eole, dans le nord de la capitale 27 rue d’Aubervilliers ou celle du parc Kellermann, dans le sud du XIIIe arrondissement. Les séjours à la ferme En France, 10 000 fermes proposent des vacances à la ferme. Cette façon d’arrondir leurs fins de mois et de faire connaître leur métier répond à un véritable engouement. Une bonne partie de ces fermes se sont organisées en réseaux labellisés, tels que “Bienvenue à la ferme”, “Accueil paysan” ou “Un lit au pré”. Cette valorisation des campagnes est souvent associée à la découverte des lieux emblématiques environnants, le Mont-Saint-Michel ou les châteaux de la Loire, mais aussi à l’apprentissage du “manger local”, bio et de saison. Animaux de la ferme, “La ferme préférée des français” En 2021, les téléspectateurs français ont plébiscité la ferme du Hitton, dans le Gers, où Cécile et Manu Guichard élèvent des ânes depuis une dizaine d’années. Lait d’ânesse et savon et surtout méthodes artisanales ont séduit. En lice, un total de 14 fermes, témoignant de la richesse du vrai savoir-faire de nos fermiers, du reblochon savoyard à la viande bovine de Charente, en passant par les porcs de la Haute-Corse. En somme, s’intéresser aux animaux la ferme consiste à s’intéresser à notre patrimoine vivant. Et à entamer toute une démarche sur ce que nous mettons dans notre assiette. Scènesde la vie rurale Quiralu est une entreprise française de jouets fondée en 1932 par Émile Quirin qui dirigeait alors une fonderie d’art familiale à Luxeuil (70), créée en 1889. Dénommée Quirin et Cie, l’établissement travaillait le laiton, le bronze et le maillechort, et produisait des articles d’ornement, de lustrerie et de quincaillerie pour l’industrie Revivre les moissons à l'ancienne Dans les années 1950, il fallait douze personnes pour battre 100 quintaux de blé par jour. Aujourd'hui, une batteuse fait 400 quintaux à l'heure, à la journée et il n'y a qu'une personne », sourit Serge Patillault, 83 ans. L'époque qu'il a connue est plus que révolue. C'est celle qu'il fera revivre ce week-end à la ferme du Grand Carrouge de Saint-Maurice-sur-Aveyron. Avec des amis, il effectuera des démonstrations de moissons et battages à l'ancienne. L'été, on couchait dans la paille. Les toilettes se faisaient dans l'abreuvoir aux vaches » Une première fête a eu lieu l'an dernier. On est une équipe de copains qui a du matériel ancien. On s'était dit que ce serait bien de faire une fête entre nous, pour s'amuser », explique Christian Merlin. Cette année, la municipalité, le comité des fêtes et des associations nous ont rejoints et la manifestation sera ouverte au public. » Ces hommes âgés de 70 à 80 ans remonteront sur les machines et feront des gestes qu'ils connaissent par c'ur. À 14 ans, j'étais déjà en haut de la batteuse pour couper les ficelles des gerbes », se souvient Serge, fils d'entrepreneur. Mon père avait trois batteuses à blé et une à trèfle. Quand on était gamin, on commençait comme ça. » Ce que confirme Christian Merlin A 12 ans, on était dans les champs, on savait travailler. » Même si ce travail était éprouvant, dans la poussière, on en garde des bons souvenirs », avance Serge Patillault, qui allait de ferme en ferme. En été, pendant la moisson, les journées commençaient à six heures. Une première pause pour déjeuner avait lieu à 7 h 30. Le travail reprenait à 8 heures et jusqu'à midi. Après avoir mangé, les paysans réattaquaient à 13 heures pour terminer à 20 heures. Et cela pouvait être sept jours sur sept. On était une dizaine d'ouvriers autour de la batteuse. Il y en avait toujours un qui faisait une blague », se remémore Bernard, le frère de Serge. Et les filles nous apportaient à boire. Les clients étaient aussi nos amis. » Et Serge de renchérir L'été, on couchait au pied des meules, dans la paille. Les toilettes se faisaient dans l'abreuvoir aux vaches. » Les repas étaient préparés par les fermiers. Compliqué pour la vie de famille Le travail, ils l'ont vu évoluer en 60 ans. C'était de plus en plus facile, ça allait de plus en plus vite », reconnaît Christian Merlin. Oubliés les sacs de 100 kg à porter sur le dos. Avant, les machines faisaient entre 1,70 et 2 mètres de coupe. Aujourd'hui, elles font 12 mètres. C'est obligatoire avec les surfaces qu'ont les jeunes maintenant. Ils ne peuvent pas se permettre de couper 1,5 hectare à l'heure », explique Bernard Patillault, qui reconnaît que pour la vie familiale ce travail n'était pas évident. De juillet à février, on n'était pas souvent à la maison. Nos enfants ont souffert de ne pas nous voir. » Malgré tout, ils ont suivi les mêmes pas que leurs parents. Mais le métier a bien changé… è Pratique. À la ferme du Grand Carrouge à Saint-Maurice-sur-Aveyron, samedi et dimanche, de 10 à 19 heures, moissons et battages à l'ancienne. Exposition de matériels agricoles des années 1945 à 1960. Promenades en calèche. Entrée gratuite. Aurélie
Riende plus normal, donc, qu’une petite balade citadine pour atteindre une corniche longeant l’autoroute A14. Ils sont une dizaine de bénévoles à faire quotidiennement ce trajet, reliant la Ferme au PRE, Parc Rural Expérimental.Etudiants, urbanistes, paysagistes ou citoyens amoureux de la nature, tous ont trouvé leur place dans

28 sept. Drôle… d’Oisseau que cette petite commune de 1100 habitants de la Mayenne qui avait proposé de nous accueillir à la Maison de retraite. Résidents de la maison de retraite d’à côté, bénévoles de la bibliothèque, représentants de la bibliothèque du bocage…... Lire la suite 18 mai Disons le tout net, nous aurions aimé avoir davantage d’auditeurs à la petite soirée que la médiathèque de Missiriac, une commune de 1500 habitants, distante de 5 km de Malestroit, notre commune natale du Morbihan. A quoi faut-il attribuer la petite assistance... Lire la suite 8 mars "Rougir d'être paysan" était présent au Salon de l'Agriculture. Membres de l'association des Ecrivains et Artistes Paysans, nous avons bénéficié de la présence de son stand au Salon pour participer à son animation et représenter les auteurs membres, le... Lire la suite 3 mars Vendredi 6 février, la Maison de quartier du Ronceray, centre socio culturel de la Poterie à Rennes, nous accueillait pour conférence-causerie publique. Une trentaine d'auditeurs avaient fait le déplacement toutes et tous aujourd'hui citadins/nes mais... Lire la suite 25 févr. Plongée dans le monde agricole, ce dernier week-end de février. Nous exposons et dédicaçons "Rougir d'être paysan" au Salon de l'Agriculture, Porte de Versailles, à Paris, vendredi 27-02 après-midi, samedi et dimanche, au stand de l'association Ecrviains... Lire la suite 24 févr. CETTE CONTRIBUTION A ETE MISE EN LIGNE A LA FIN DE 2008. Un ami nivernais, natif de Crux-la-Ville, un village situé à 15 km de Chitry-les-Mines, bourg que les parents de Jules Renard ont rejoint depuis la Mayenne, lorsque le futur écrivain avait deux... Lire la suite 12 déc. Nous avons été invités à faire figurer "Rougir d'être paysan" parmi les ouvrages du 9e Salon du Roman populaire d'Elven, le 7 décembre 2008. Le jury a élu lauréat du Prix du roman populaire 2008 Didier Cornaille pour son récit "Le vent des libertés soulevait... Lire la suite 12 déc. Les Bretons du milieu rural sont des taiseux mais des gens forts en émotion ». J’en ai connu des gens comme votre papa dans le livre ! Plutôt que de dire ses émotions, on préfère ravaler ses sentiments… », racontait Paule, une bretonne d’adoption,... Lire la suite 12 déc. Ceux qui pensent que les personnes atteintes de la maladie d’Alzheimer sont en dehors du monde qui les entourent n’ont sans doute pas vécu suffisamment aux côtés de ces personnes. Tantôt dans un autre monde, tantôt là, présentes, elles ont la particularité... Lire la suite 1 déc. Ce soir là, ils n’étaient que dix mais quel plaisir de partager avec les membres de Pêle Mêle ! Ce groupe de réflexion vannetais s’était retrouvé, comme chaque semaine, pour aborder tout sujet qui mérite réflexion et débat. Jean avait invité Michel à... Lire la suite

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