Sommaire 1 - Changez de piÚce et laissez-le se calmer. 2 - Ne lui répondez pas par des insultes. 3 - Expliquez-lui que ses propos sont blessants. 4 - Ne fuyez pas la
Spartiate th Grand MaĂźtre 1 4 Avril 2011 1 ...les gens qui se servent de la rillette en creusant sous la couche de graisse; la rendant ainsi instable. la guepe qui pique Grand MaĂźtre 2 4 Avril 2011 2 ...les gens qui t'annoncent qu'ils ont seulement 5,50 euros en poche une heure aprĂšs avoir prit l'autoroute, pour aller passer un week-end en Espagne... sinon pour la rillette, je fais ça que tu n'aimes pas [-xtreme-] 4 Avril 2011 4 ... l'OM, l'OL, le PSG, ni tous les autres footeux de merd* LaMoufetteEnColere Grand MaĂźtre 5 4 Avril 2011 5 ..les bruits mouillĂ©s quand 2 niais namoureux se bouffent la langue dans les films. 6 4 Avril 2011 6 ... les gens qui se plaignent sans arrĂȘt. 7 thewonderous flan-man Grand MaĂźtre 8 9 4 Avril 2011 9 ... avoir tort sans raison, et avoir raison sans tort. 4 Avril 2011 10 .. que Xiiime, ce si beau lettrĂ©, Ă©crive "tord" au lieu de "tort" ! 11 4 Avril 2011 11 Fichtre! Au temps pour moi! Merci de me reprendre. Jusque tout Ă  l'heure, je ne supportais pas les gens qui distribuent des tracts dans la rue. Mais lĂ , le tract concernait un cocktail alcoolisĂ© gratuit sur prĂ©sentation du bon sans achat obligatoire ni rien. J'ai marchandĂ© un peu, j'en ai obtenu neuf. Maintenant je les aime bien. la guepe qui pique Grand MaĂźtre 12 4 Avril 2011 12 c'est vrai ça, sinon on dirait "et le tordu" et ça ne veut pas dire la mĂȘme chose que "le tortue"... 13 4 Avril 2011 13 Merci, la guĂȘpe, pour ce moyen mnĂ©motechnique que j'utiliserai dĂ©sormais. la guepe qui pique Grand MaĂźtre 14 4 Avril 2011 14 sinon, dans la famille "je ne supporte pas", les vieux qui te beuglent dans la face que les places assises sont pour eux en faisant des laĂŻus sur la jeunesse dĂ©pravĂ©e. le fait d'ĂȘtre ĂągĂ© ou handicapĂ© ne te donne pas le droit d'ĂȘtre dĂ©sagrĂ©able! 4 Avril 2011 15 Je ne supporte pas le fait de supporter beaucoup de trucs, genre "woooaaah paf ça vient de passer". Je ne supporte pas non-plus le fait de s'exprimer de façon Ă©trange et pas du tout claire pour des des trucs qui n'ont pas de sens. Quand c'est sans dessus-dessous, c'est insupportable. Je ne supporte pas l'insupportable, que retournent les limites de l'acceptable au delĂ  de ce que l'on peut supporter, quand tout se porte et se supporte dans tous les sens, quand ce sens disparaĂźt. À ce moment lĂ  supporter devient insupportable, mais supporter l'insupportable implique d'insupporter le supportable. Hum'voilĂ . 16 4 Avril 2011 16 ... le bruit , les hamsters , les clowns, les insectes volant , les crocodiles, les gens qui "slurp" en buvant , qui piaffent en mangeant, ceux qui se rongent les ongles en crachant les morceaux par terre, ceux qui reniflent a te faire gerber, les nanas qui portent des chaussettes avec des escarpins ainsi que celle qui portent des chaussettes ou collant avec des chaussures ouvertes. ... l'intolĂ©rance, la connerie, les faux cul, les " j'ai tout vu tout fait" , la mauvaise foi, l'inconscience , la plupart des jeunes qui postent dans S/A. ... les gens qui ne savent pas ce qu'est le "second degrĂ©s" Je reviendrai plus tard pour la suite. 17 4 Avril 2011 17 ...valyann qui reviendra plus tard pour la suite 18 4 Avril 2011 18 Freemaster ...valyann qui reviendra plus tard pour la suite Comment ça tu ne me supportes pas?? 19 4 Avril 2011 19 pas toi mais que tu aurais une suite pour plus tard LaMoufetteEnColere Grand MaĂźtre 20 4 Avril 2011 20 ...les noobcampers qui te headshot sur le respawn.
Jesuis pas pieuse , mais je suis MĂŒslim C tt ce que je sais Et moi aussi maintenant si ces questions te heurtent, je peux le comprendre, mais de lĂ  Ă  Menu.
mon copain et.....l'alcool tatiana21 17/03/15 0147 Salut a toutes.... j'ai serieusement besoin de vos avis sur ma situation je suis un peu perdue.... je sort avec un garcon depuis quelques mois. Il a 26ans moi bientot 30. c'est du serieux et tout se passe bien appart quelque chose qui me dĂ©range....il boit beaucoup quand il sort. quand on va boire un verre, c'est 3/4 pastis, quand on va en boite c'est presque la bouteille entiere et apres il va parler a tout le monde et c'est limite si le lendemain il se rapel la soirĂ©e qu'il a passer..... une fois il passe la soirĂ©e chez des amis ou il s'est retrouver completement ivre mort sur le carrelage de son pote et moi en m'inquietant toute la soirĂ©e car aucune nouvelle c'est son pote qui ma envoyer un sms de son portable pour me rassurer..... je lui en ai parler et lui ai dit que ca me plaisait pas trop qu'il buvait autant. depuis, il se controle oui c'est vrai...... mais voila probleme samedi soir il va a un festival de techno avec des amis. je le laisse entre mec en lui demandant de menvoyer quelques sms dans la soirĂ©e. toutes les heures il ma envoyer des sms ce qui ma fais bcp plaisir. Ă  8h du matin il menvoi un sms ou il me previens qu'il n'est pas encore couchĂ© mais quil va chez son pote pour boire un dernier verre. bon j'avoue que ca ma pas trop plu maus j'ai rien di....moi a 8h du mat gt coucher depuis un bon moment.... A 10h il mapel il Ă©tĂ© clair dans ses propos et me dit qu'il va se coucher un peu chez son pote avant de retourner chez lui et des qu'il se reveille il mapel. je suis restĂ© toute la journĂ©e jusqu'au lendemain matin sans nouvelle!!!!!!! et aujourdhui il me dit qu'il s'est reveiller a 20h chez son pote, qu'il est rentrĂ© chez lui completement defoncĂ© et qu'il ma zaper. et moi je bossai de nuit en + je me demande mais kess qu'il fait, est ce qu'il lui ai arriver quelque chose....? pour moi ca se fait pas.. je suis trĂ©s enervĂ©, je pense le quitter.. on s'entend super bien, il est gentil drole attentioner appart sur ce coup la, j'ai confiance en lui et je sais que c'est un mec bien et droit mais son rapport avec l'alcool me fait souffrir quelque part....a chaque fois qu"il sort avec ses amis il rentre jamais avant 4/5h du mat, il boit a outrance on boit un simple verre avec des amis ou avec ses parents il se boit presque 5/6 pastis .... et bien sur il zape de m'envoyer un sms pour me dire qu'il est bien rentrĂ©.... on doit partir en week end a la fin de mois billet et hotel et franchement j'en ai meme plus envie je suis degoutĂ©e... La vidĂ©o du moment Your browser cannot play this video. sylvialand 17/03/15 0708 Ohlala je suis passĂ©e par la moi aussi avec mon ex, comme le tien il ne se contentait jamais d un ou deux verres, selon lui il ne s amusait pas si il ne buvait pas en soirĂ©e. Je te comprends c est vraiment penible, est ce qu il boit chez lui quand il est seul ou avec toi ? KENT 17/03/15 0753 Je ne vais pas beaucoup t'aider. Juste te dire que je ne pourrai pas supporter un homme qui se rend malade avec l'alcool et qui perd conscience du monde dans lequel nous vivons. Mon seuil de tolĂ©rance est bien plus faible que cela. depi 17/03/15 0828 tout Ă  fait d'accord avec KENT quel est l'intĂ©rĂȘt de se mettre dans un Ă©tat aussi minable ? je ne pourrai pas supporter d'ĂȘtre avec un homme qui n'a aucune dignitĂ© au point de se retrouver ivre mort sur le sol, je ne pourrai pas supporter nerveusement de m'inquiĂ©ter pour lui et j'aurai peur des consĂ©quences de son comportement, pour lui ou pour les autres, lorsqu'il est bourrĂ© bref, je crois que j'aurai un peu honte 17/03/15 0929 Comme Kent, j'aurai du mal Ă  construire quelque chose avec quelqu'un comme ça. Comme Depi, je crois qu'il me ferait un peu honte en sociĂ©tĂ© en cas de soirĂ©e/fĂȘtes et ce n'est pas le sentiment que j'ai envie d'Ă©prouver. Et surtout j'aurai peur qu'un jour un de ces dĂ©rapages tournent vraiment mal accident de la route, coma Ă©thylique etc... tatiana21 17/03/15 1029 Merci pour vos rĂ©ponses. Mon copain ne boit pas qd il chez lui et ni avec moi . Il boi qd il sort , apĂ©ro, soirĂ©e, boĂźte qu'il soit chez ses collĂšgue ou en famille. Jusqu'ici ça va.... Mais c tjr en grosse quantitĂ© et du coup moi de mon cĂŽtĂ© qd je ne suis pas avec lui je suis inquiĂšte et angoisser. Quand on sort en boĂźte ou chez ds amis ensemble il boi bcp mais il se met pas ds un Ă©tat minable . Par contre qd je suis pas avec lui ça me plai pas. Par exemple il est aller a une soirĂ©e je bossai trĂšs tĂŽt le lendemain une simple crĂ©maillĂšre. Eh Ben il n'Ă©tait pas ivre, je l'ai apeler a 4h du matin gt rĂ©veiller je travaille en 3/8 car je m'inquiĂ©ter de ne pas avoir eu le SMS de bonne nuit. Il me di qu'il rentre se coucher.... . Il rentre a l'heure qu'il veut certes mais bon jusqu'Ă  4h du matin rester avec quelques potes a la fin d'une crĂ©maillĂšre a boire ça me plai pas trop. Enfin voila je me demande si un mec comme ça peut se poser un jour car j'ai besoin d'une relation stable et normale tatiana21 17/03/15 1037 G un exemple a vous donner..... Ct a noel. Ça faisai 1 mois qu'on Ă©tĂ© ensemble donc on la passer chacun de notre cĂŽtĂ©. Pdt la soirĂ©e on s'est envoyer des SMS ct super mignon. Et d'un coup plus de rĂ©ponses et cela jusqu'au lendemain matin....... Gt remonter qu'il ne m'est pas di bonne nuit ou qqch..... Et dc le 25 au matin apres une nuit ou gt pas bien il me di qu'il a bu avec son cousin il Ă©tĂ© chez ses parents qui habitent en face et qu'il Ă©tĂ© pas trĂšs clair qu'il est rentrer chez lui et bim que le lit a dormir. Eh Ben moi ça me fai souffrir gt a deux doigt de le quitter..... Il ma di ça va c noel on fai la fĂȘte a noel...... C un mec bien, il a un bon boulot, il a des merveilleuses qualitĂ©s qui font que je me suis attacher a lui avec des forts sentiments, j'aime ĂȘtre avec lui, il me couvre de bisou et d'attention en public et tt les deux, il est gĂ©nĂ©reux gentil drĂŽle et g absolument confiance en lui c pas un dragueur c un mec droit. Mais la seule chose qui me dĂ©range c ça. Cet Ă©pisode de noel Ă©tĂ© oublier mais qd je voi son attitude de samedi apres le festival par exemple eh ben je me di c pas la 1Ăšre foi..... Il me di "c pas toi qui boi c moi".......... Mais c pareil mince..... 17/03/15 1056 Oui c'est vrai c'est lui qui boit, c'est lui qui a un souci de contrĂŽle de sa consommation et c'est donc toi qui vas supporter ou pas. Tu n'as pas Ă  te justifier sur le pourquoi tu es avec lui. On se doute toutes que ce n'est pas un monstre, qu'il a des qualitĂ©s mais tu veux nos avis. Ce sont nos avis. Il a effectivement un souci de consommation d'alcool. Reste Ă  savoir jusqu'oĂč tu es prĂšte Ă  aller avec lui. On t'a dit ce qu'il en Ă©tait pour nous mais peut ĂȘtre que tes limites sont plus souples. Reste Ă  savoir si lui envisagerait de ne plus consommer de cette façon lĂ  etc... Comment imagines tu votre vie Ă  2 si vous deviez emmĂ©nager ensemble ? Est ce que ce mode de consommation excessif mĂȘme si ça a lieu lors d'occasion pour moi ça ne minimise pas mais pour toi oui et c'est ce qui compte peut ĂȘtre conciliĂ© avec ton mode de vie ? Par exemple le fait que quand il fait la fĂȘte, c'est systĂ©matiquement Ă  outrance avec lendemain au lit, est ce que ça irait avec le fait que travailles en 3/8 ? tatiana21 17/03/15 1145 j'ai eu envie de vivre trĂ©s tot avec lui mais c'est vrai que depuis quelques temps je n'imagine pas de vie a 2 avec et surtout pas comme ca. quand il fait la fĂȘte et sans moi, c'est systĂ©matiquement Ă  outrance avec lendemain au lit c exactement ca. par contre quand il est avec moi en soirĂ©e il boit oui mais n'est jamais mort , inconsciemment on se controle + quand on est avec sa copine. je le voit a 18h ce soir pour discuter en face car depuis sa soirĂ©e de samedi on ne s'est pas vu. hier on s'est eu au tel et j'ai crier tout le long donc il est temps de discuter en face. Lyliii 17/03/15 1207 salut tatiana, je vais te donner mon avis.... je suppose que vous avez tous les 2 des sentiments l'un pour l'autre vu la maniere dont tu parles.... je suppose aussi que votre relation naissante quelques mois tu dit est plus importante qu'un verre d'alcool....? tout ca pour dire que son comportement en soirĂ©e quand tu n'est pas avec lui te fait souffrir et honnetement je te comprend. tu ne di pas que ton copain a un souci avec l'alcool dependance mais tu di que sa consommation excessive et sans limite qd tu n'est pas avec lui te fais du mal. Ton copain n'est pas avec toi pour te faire du mal et j'espere qu'il va s'en rendre vite compte que ce n'est pas facile de supporter quelqu’un qui boit trop , apres qui on attend des nouvelles, un sms, un coup de fil tandis que son copain est dĂ©phaser et ne calcule plus rien meme plus toi. meme le coup de noel... ok c'est noel c'est la fete c'est la joie en famille mais de lĂ  a se bourrer la gueule et a rentrer chez soi ivre et donc a te plus te calculer jusqu'au lendemain qu'il decuve lĂ  je comprend que ca ai pu te faire souffrir quand meme moi ca me plairai pas du tout. clara85 17/03/15 1209 eh ben !!!! ce garcon a beaucoup de chance que tu soit encore avec lui bullesdebeaute 17/03/15 1213 Je vais ĂȘtre moins nĂ©gative que les filles. Ce n'est pas parce qu'il est comme ça aujourd'hui qu'il le sera aussi demain. Il manque surement de maturitĂ©. Mon mari avait 22 ans quand je l'ai rencontrĂ©. C'Ă©tait un TRES gros fĂȘtard qui buvait toujours avec excĂšs en soirĂ©e. Sauf que les soirĂ©es c'Ă©tait quasi tous les soirs. Quand on a emmĂ©nagĂ© ensemble c'Ă©tait Ă  la condition qu'il se calme. Ce qu'il a fait. Les sorties ce sont limitĂ©es au vendredi ou samedi soir. Mais il ne savait toujours pas faire la fĂȘte sans ĂȘtre bourrĂ©. donc rentrer tous les samedis soirs avec un poids mort et rester le dimanche enfermĂ© parce que monsieur cuve son vin j'ai donnĂ©. Les disputes Ă  propos de ça sont devenues rĂ©currentes, on Ă  plusieurs fois Ă©tait au bord de la rupture. Puis il a changĂ© tout seul. Il a prit de l'Ăąge tout simplement. TerminĂ© le job Ă©tudiant, il a repris des Ă©tudes, Ă  eu un vrai boulot. Puis les amis se sont mis en couple, les premiers enfants du groupe ont pointĂ© leur nez, et nos soirĂ©es se sont assagies naturellement. Les boites de nuits sont devenues des apĂ©ros et diners chez les uns ou chez les autres. Aujourd'hui il a 31 ans, on est mariĂ© depuis 3 ans, on a un bĂ©bĂ©, et sa derniĂšre cuite Ă©tait certes carabinĂ©e, mais elle remonte Ă  loin enterrement de vie cĂ©libataire . Alors ça reste quelqu'un qui aime faire la fĂȘte et boire un coup, on va pas se mentir, il refuse rarement un apĂ©ro, puis nos repas de famille sont souvent bien arrosĂ©, mais il sait s'arrĂȘter. Faut dire aussi qu'on se remet moins vite Ă  30 balais qu'Ă  20 ! Par contre tous les ans il prend 3 jours pour partir Ă  un festival de musique avec ses potes de toujours. Ils laissent tous femme et enfants Ă  la maison et se font leur petit week end de dĂ©bauche. En gĂ©nĂ©ral j'ai peu de nouvelles pendant ces 3 jours Donc voila, mon chĂ©ri est un fĂȘtard, il aime ça, mais c'est aussi un mec sĂ©rieux, bien dans ses baskets, sur qui on peut compter. La seule chose sur laquelle j'ai toujours Ă©tait intransigeante c'Ă©tait l'alcool au volant. Et avec les autres copines, ça nous est arrivĂ© d'aller les chercher Ă  5H00 du mat parce que le "SAM" de la soirĂ©e avait autant picolĂ© qu'eux Maintenant faut les voir en soirĂ©e parler de leurs folle jeunesse, il ne se lassent pas de raconter toujours les mĂȘmes histoires de fĂȘtes trop arrosĂ©es. Ils sont vieux et nostalgique quoi Voila, j'ai fait ma vie avec quelqu'un qui buvait souvent trop, et ça se passe plutĂŽt bien Par contre moi j'avais 20 ans quand je l'ai rencontrĂ©, si comme toi j'avais eu 10 ans de plus je l'aurais surement beaucoup moins bien supportĂ©. Il faut que vous en parliez encore et encore, qu'il comprenne bien que c'est un vrai problĂšme pour toi. Puis il faut aussi s'assurer qu'il n'y a pas un mal ĂȘtre plus profond derriĂšre ses excĂšs tatiana21 17/03/15 1222 merci bullesdebeautĂ© pour ton comm. ton copain et le mien sont pareils a ce que je vois mais en effet la difference c'est que je n'est plus 20ans. j'en ai bientot 30.... quand on sort tt les deux on boit je boi aussi et on s'Ă©clate, une belle complicitĂ©, on danse ensemble c'est le top. quand il sort sans moi c'est systematiquement du stress et de l'angoisse a me demander si je vais avoir des nvelles, si je vais avoir un sms qd il va rentrer, est ce qu'il va rentrer, si il lui ai arriver quelques chose si il boi trop etc.... c'est normal de penser ca quand on a des sentiments pour un garcon. mais voila j'ai bientot 30ans, j'ai un travail qui me passionne, je suis bientot proprietaire je suis retournĂ©e chez mes parents recemment, j'ai une bonne bande d'ami, j'ai un mec avec qui je m'eclate en soirĂ©e et a 2 mais des que je ne suis plus avec lĂ  il ne se controle plus avec l'alcool ... je ne vais quand meme pas l'empecher de sortir je vais le voir en fin d'aprem, si il ne realise pas qu'il faut que ca change je serai contrainte de le quitter pour etre + heureuse...... apres ca fais seulement quelques mois qu'on est ensemble, je n'ai pas a lui dire de changer. on accepte quelqu'un comme il est non? depi 17/03/15 1228 oui....mais on peut toujours essayĂ© d'expliquer Ă  l'autre qu'il a dĂ©jĂ  un souci avec l'alcool Ă  mon avis et que son comportement nous dĂ©plait bullesdebeaute 17/03/15 1253 En effet ça se fait pas de lui demander de changer pour toi. Mais comme dis depi, tu peux lui expliquer que ça te dĂ©range Tous les forumsCouplemon copain et.....l'alcool Tous les forums GĂ©rer mon avatar Rechercher dans les forums Recherche rapide dans les forums Avis des consommateurs
Lifet met, nan, ne reviens pas Ah, qu'est-ce que j'ai bu, quand tu m'appelais plus Quand t'as décidé que pour toi, j'existais plus J'suis pas tah le love, j'suis un mec de la rue Tu m'aurais raconté, bah, j't'aurais pas cru Ah, comment j'te kiffais, j'voyais plus tes défauts Moi, c'était pour de vrai, toi, c'était pour de faux Ah, comment j'te kiffais, j'voyais plus tes défauts Moi,
Bonjour Ă  toutes et tous. Je ne sais pas par oĂč commencer tellement cela se bouscule dans ma tĂȘte... Cela fait bientĂŽt 8 ans que je suis en couple mais cela fait dĂ©jĂ  bien longtemps que ça ne va plus. J'ai 30 et lui 5 de plus. Le quotidien est devenu une Ă©preuve pour moi... Nous avons commencĂ© notre vie Ă  2 dans son petit studio oĂč il n'y avait qu'une piĂšce, puis pris un appartement avec une chambre, ce qui m'a fait dĂ©couvrir que j'allais passer mes nuits seule. Au moment d'aller se coucher, il veut regarder la tĂ©lĂ© ou jouer Ă  la console et finit toujours par s'endormir devant. MalgrĂ© des dizaines de discussions et promesses de sa part, il n fait jamais l'effort ou peut-ĂȘtre une fois tous les 6 mois. Le mĂ©nage, il ne connaĂźt pas, il ne fait jamais rien ou trĂšs rarement et bobonne doit faire car pareil, malgrĂ© des discussions interminables, des disputes, des promesses, rien ne s'arrange. Avec le temps les choses ne font qu'empirer et si j'ai dĂ©jĂ  essayer de laisser traĂźner cela ne lui pose aucun souci. Ce n'est pas quelqu'un d'expressif, mais aujourd'hui il n'y a plus un geste de tendresse de sa part ni un mot doux, et niveau sexe il ne se passe plus rien depuis des mois... Nous avons emmĂ©nagĂ© dans un nouvel appartement il y a peu de temps, achetĂ© neuf et donc sur plan il y a plusieurs annĂ©es. Et je regrette tellement... Rien ne change, rien n'est fait car il a toujours la flemme de faire les travaux, peintures et autres. Je n'en peux plus de ce quotidien, je ne sais plus quels sont les sentiments entre nous et Ă  chaque tentative de discussion je me retrouve face Ă  un mur, car pour lui il n'y a jamais de problĂšme. Je voudrais partir mais je ne sais pas oĂč aller, perdre de l'argent en revendant l'appartement neuf m'importe peu. J'ai 30 ans et l'impression d'avoir perdu mon temps, et la peur de le quitter alors que je voudrais fonder une famille, la peur qu'il soit trop tard pour trouver quelqu'un qui me corresponde et me rende heureuse pour fonder une famille... Si des personnes ont vĂ©cu ce genre de de choses je serais heureuses d'avoir le retour de leur expĂ©rience car je ne peux plus continuer Ă  me faire du mal pour quelqu'un qui se fout de tout. La preuve, je lui ai dit aujourd'hui que je ne supportait plus sa fainĂ©antise, que j'avais tout essayĂ© pour lui faire comprendre sans rĂ©sultat et que je ne pouvais plus continuer comme ça, que je cherchais un endroit pour partir il n'a pas rĂ©agit, aucune rĂ©action... Merci aux personnes qui auront pris le temps de me lire.

ReconnaĂźtreles hommes violents et manipulateurs: Signes avant-coureurs. Il se montre extrĂȘmement contrĂŽlant. Il veut toujours avoir le dernier mot. Il veut prendre toutes les

Harry Potter 2005 ~€~ AcadĂ©mie de Poudlard ~€~ Cours Astronomie Re Cours n°3 PremiĂšres opĂ©rations mĂ©dicomagiquesInvitĂ©, le Mar 12 Mai - 002 Les Ă©lĂšves arrivaient doucement dans la salle, et la plupart partirent directement s'asseoir, sans piper mot. Alors que je guettais la porte d'entrĂ©e, un Serpentard de petite taille fit irruption dans la piĂšce. J'Ă©tais trĂšs intriguĂ©e et visiblement je n'Ă©tais pas la seule. Mais Ă  ma plus grande horreur, ils ne l'Ă©taient de la mĂȘme maniĂšre que moi. En effet des Ă©clats de rires fusĂšrent et je sentis littĂ©ralement mon sang bouillir lorsque des remarques vraiment dĂ©placĂ©es arrivĂšrent Ă  mes oreilles. Mais ils se prennent pour qui, eux ? Ma main se crispa brusquement sur ma baguette et je manquais de peu de me lever pour lancer une rĂ©plique cinglante Ă  ces jetais briĂšvement un Ɠil au petit homme dont j'ignorais le prĂ©nom, et ne fĂ»s pas surprise de le voir dans le mĂȘme Ă©tat que moi -si ce n'Ă©tait pas pire-. tenta d'apaiser les tensions, mais c'Ă©tait peine perdue Delaube et le nain se fusillaient du regard. Ils finirent tout de mĂȘme par prendre place aux extrĂ©mitĂ©s de la piĂšce. Bizarrement j'avais la nette impression d'ĂȘtre prise en sandwich entre Delaube derriĂšre au troisiĂšme rang et le petit homme au premier, je n'espĂ©rais vraiment pas tenir la C'est complĂštement puĂ©ril, murmurai-je Ă  moi-mĂȘme. Jace PortlandSerpentard Re Cours n°3 PremiĂšres opĂ©rations mĂ©dicomagiquesJace Portland, le Mar 12 Mai - 2053 Le jeune Jace parcourait lentement les couloirs du troisiĂšme Ă©tage, un livre Ă  la main. D'ordinaire il n'Ă©tait pas si studieux mais la nuit qu'il venait de passer n'avait pas Ă©tĂ© de tout repos. Il n'avait pas rĂ©ussi Ă  fermer l'Ɠil plus d'une heure; ce qui le laissait courbaturĂ© et plutĂŽt de mauvais point. Le Serpentard s'Ă©tait dit qu'il arriverait sans doute Ă  s'assomer en lisant quelques pages des Runes de Futhark, mais c'Ă©tait trop espĂ©rer. Rien ne parvenait Ă  l'endormir. Il Ă©tait donc parti faire son jogging matinal autour du parc pour redonner des couleurs Ă  son visage pĂąle et avait enchaĂźnĂ© sur une douche express pour se redonner de la forme... MalgrĂ© tout cela, il lui restait une heure Ă  tuer avant son premier cours de MĂ©dicomagie. MatiĂšre qu'il avait d'ailleurs hĂąte d'entamer car elle lui serait sans doute utile Ă  l'avenir. Depuis que le Vert et Argent Ă©tait entrĂ© Ă  Poudlard, il s'Ă©tait jurĂ© d'en apprendre le plus possible sur l'art du combat et de la dĂ©fense. Sans cela, il n'Ă©tait pas sĂ»r de pouvoir correctement faire face aux dangers qui le menaçaient depuis la disparition de sa mĂšre. Alors qu'il approchait de la salle oĂč se tenait le cours, une Poufsouffle le prĂ©cĂ©da en manquant de peu de le bousculer. Il la regarda alors avec mĂ©pris avant d'entrer dans la salle. Ces Poufsouffles j'vous jure... Ses pas le conduirent ensuite au deuxiĂšme rang, Ă  proximitĂ© d'une autre Jaune et Noire dont la tĂȘte lui disait vaguement quelque chose. Ses yeux se posĂšrent aussi sur un homme trĂšs imposant aux traits marquĂ©s. Il s'agissait certainement de Mkrovsk, leur professeur. Rien que le nom imposait le silence, dĂ©jĂ  parce qu'il Ă©tait imprononçable, et puis parce qu'il ne semblait pas trĂšs causant. Une Ă©tude plus approfondie du personnage lui rĂ©vĂ©la que l'homme portait beaucoup de cicatrices et que si le jeune Jace s'avisait de faire une remarque dĂ©placĂ©e, il risquait certainement quelques bref ! Il le salua d'un signe de tĂȘte et installa ses affaires sur le pupitre. La Poufsouffle Ă  cĂŽtĂ© de laquelle il Ă©tait maintenant assis, semblait furaxe et prĂȘte Ă  dĂ©gainer sa baguette. Ses yeux lançaient des Ă©clairs et Jace tentait de trouver la source de cette ambiance si palpable. Ce ne fĂ»t pas long Ă  chercher, car tous les yeux Ă©taient braquĂ©s sur un Serpentard de petite taille. Le brun fronça les sourcils. C'est un nain... Et alors ? InvitĂ© Re Cours n°3 PremiĂšres opĂ©rations mĂ©dicomagiquesInvitĂ©, le Mar 12 Mai - 2144 Elya, avait ce jour lĂ , un cour de mĂ©dicomagie. C'Ă©tait la premiĂšre fois qu'elle allait assister Ă  un cours dans ce genre, et elle avait trĂšs hĂąte. L'Anglaise pensait surtout Ă  son avenir Ă  ce moment lĂ , en se disant que pour le mĂ©tier d'Auror il fallait avoir de multiples connaissances. Mais bon. Elle ne pouvait pas juger ce cours aussi hĂątivement. En effet, il se peut aussi que la rouge et or n'adhĂšre pas du tout Ă  cette matiĂšre, et qu'elle tombe ainsi dans l'ennui le plus total. La jeune fille espĂ©rait dans ce cas pouvoir trouver des camarades avec qui bavarder. La jeune fille enfila donc sa robe de sorcier, ornĂ©e de l'insiqne de sa maison, atrappa son sac, et sortit de son dortoir et de sa salle commune. La gryffy se dirigea ensuite vers la salle de classe. Et vers cette nouvelle matiĂšre qu'elle s'apprĂȘtait Ă  dĂ©couvrir. La jeune fille trouva rapidement l'endroit et, sourire aux lĂšvres, elle poussa la porte de sa salle de cours. Bon, plusieurs personnes Ă©taient dĂ©jĂ  arrivĂ©s et le professeur Ă©tait dĂ©jĂ  installĂ© Ă  son bureau. Elya regarda sa montre. Ça va elle Ă©tait en avance. -Bonjour !Elle regarda ensuite autour d'elle pour trouver une place, mais ne voulant pas ĂȘtre seule Ă  une table, elle dĂ©cida de se diriger vers une pouffy assise au fond. La jaune et noire avait un air concentrĂ© et un chignon pour ne pas que ses cheveux lui tombent sur le visage. -Excuse moi, je peut m'asseoir ici? J'ai pas envie de me retrouver seule dans un avec un sourire elle rajouta-Moi c'est Elya Lane. Laurae SyverellPoufsouffle Re Cours n°3 PremiĂšres opĂ©rations mĂ©dicomagiquesLaurae Syverell, le Mar 12 Mai - 2227 Des rires venait lever la tĂȘte de la Poufsouffle. Pourquoi ce rire? Il avait l'air malsain, mĂ©chant... La jeune femme regarda autour d'elle et vit un garçon assez petit. "Je vois..." Son uniforme montrait qu'il Ă©tait de Serpentard. Il avait l'air d'avoir l'habitude qu'on se moque de lui avec mĂ©chancetĂ©. La jeune femme serra les dents. "Non, on est jamais habituĂ©e". Elle mĂȘme avait sa forme "diffĂ©rente des autres". Son orientation sexuelle lui avait parfois jouer des tours qui n'Ă©taient vraiment pas marrant. La Syverell se mordit la lĂšvre. Mkrovsk n'avait mĂȘme pas l'air de bouger. La jeune femme prit alors discrĂštement sa baguette, et lança un petit sort qui liait les lacets des chaussures de Leister. Si il marchait, il tomberait. L'Humiliation d'ĂȘtre face contre terre lui suffira-t-il? De plus, la jeune femme restait dans le rĂšglement. Elle n'utilisait que des sorts de base. Avec discrĂ©tion, elle rangea Ă  nouveau sa baguette. Et en profita pour placer ses affaires correctement sur sa table. Le visage et le regard impassible, personne ne pourrait se douter que c'Ă©tait elle. Et on ne risquerai pas de s'en prendre au Serpentard puisque celui ci avait tournĂ© les talons sans se soucier du rire qui Ă©tait sur lui. Plusieurs Ă©lĂšves commençaient leurs entrĂ©es. Mais la chĂšre Lionne de la jeune femme n'Ă©tait toujours pas arrivĂ©e. La Syverell se pinça les lĂšvres. Ses pensĂ©es dĂ©rivĂšrent sur sa cousine. Il allait falloir passer commande Ă  la Boutique de Magie noire pour choper un moyen de communication au cas ou il arrivait malheur. Surtout aprĂšs la voie qui s'ouvrait Ă  la Blairelle. C'est avec un soupir qu'elle releva les manche de son uniforme, dĂ©voilant un morceau de son tatouage d'avant bras. Elle se passa une main dans les cheveux, et fixa sa table, concentrer sur les mouvements de Leister. "Allez.... Tombe gredin". Si jamais la punition ne se faisait pas, elle rendrait justice autrement, dommage pour l'aiglon, elle ne faisait pas partie des sages et intelligents bleus et argent, mais des impulsifs et loyaux noir et jaune. De plus, elle manquait cruellement d'exercice. La boxe lui manquait. "Oui, toute excuse est bon a prendre dans ce monde de brute." Wilum JĂ€rvidenSerpentard Re Cours n°3 PremiĂšres opĂ©rations mĂ©dicomagiquesWilum JĂ€rviden, le Mar 12 Mai - 2314 La porte de la salle de classe fut ouverte Ă  plusieurs reprises, laissant rentrer d'autres Ă©lĂšves inscrits au cours de mĂ©dicomagie. Wilum jeta un coup d'Ɠil aux Ă©quipements prĂ©sents dans la salle, tout un attirail d'Ă©quipements biologiques. Le silence qui s'Ă©tait installĂ© dans le cours fut interrompu par des rires Ă  l'arrivĂ©e d'un Ă©lĂšve pas vraiment commode. Le canadien l'examina pendant un instant puis il fit une petite grimace lorsque le petit bonhomme Ă©leva la voix, car oui, il monta sur ses sombrals en agressant le prĂ©fet des Blaireaux, enfin agressĂ© est un bien gros mot. Ce fut monsieur Mkrovsk qui calma les ardeurs du nouvel arrivant. Lui casser les dents ? Le Serpentard fut nausĂ©eux Ă  cette pensĂ©e. Son imagination dĂ©bordante lui envoya une image horrible, dĂ©goĂ»tante.... Des dents qui sautent Ă  l'autre bout de la salle. Ce serait une mince affaire pour le professeur de mĂ©dicomagie qui a une forte carrure. Il a l'air d'une brute. L'attention de Wilum se dirigea de nouveau vers le nain. C'est la premiĂšre fois depuis longtemps qu'il en voit. * Je ne casse pas des briques avec ma taille... * Pensa-t-il. Enfin bref, il dĂ©laissa rapidement le second Serpentard qui avait attirĂ© toute l'attention de la petite troupe d'Ă©tudiants et notamment celle du professeur. Pour le moment, il n'y a pas beaucoup d'Ă©tudiants qu'il connait. Seuls les pensionnaires du chĂąteau qu'il a vaguement croisĂ© dans les couloirs remplissent les rangĂ©es de tables. Il observa la porte de la salle, comptant les secondes avant que celle-ci ne s'ouvre Ă  nouveau. Onze secondes ! Onze petites secondes et voilĂ  la porte qui s'ouvre lentement et un autre Ă©tudiant pĂ©nĂštre dans la salle de cours. Il ne reste plus qu'Ă  attendre que tout le monde soit lĂ ... RenĂ©smĂ©ePoufsouffle Re Cours n°3 PremiĂšres opĂ©rations mĂ©dicomagiquesRenĂ©smĂ©e, le Mer 13 Mai - 1358 RenĂ©smĂ©e marchait avec vitesse dans les couloirs. Les escaliers n'en avaient fait qu'Ă  leur tĂȘte et cela l'avait retardĂ©. Ce que la Poufsouffle redoutait le plus, c'est-Ă -dire arriver en retard en cours de mĂ©dicomagie, allait peut ĂȘtre se produire. Elle n'avait pas encore assistĂ© Ă  un cours de ce type mais elle avait dĂ©jĂ  croisĂ© le Professeur et il lui avait fait forte impression. En effet, la jeune fille Ă©tait assez petite pour son Ăąge, mĂȘme si elle commençait Ă  vraiment grandir petit Ă  petit. A cĂŽtĂ© du Professeur, elle ressemblait vraiment Ă  une fois arrivĂ©e devant la salle, elle reprit son souffle puis poussa la porte. Il y avait dĂ©jĂ  quelques Ă©lĂšves, mais elle n'Ă©tait pas la derniĂšre. En passant devant le Professeur, elle le salua d'un "Bonjour Monsieur" puis se dirigea vers une place pour s'assoir. En passant devant un Serpentard, elle fut intriguĂ©e. Bien qu'il soit dĂ©jĂ  assit, on remarquait qu'il Ă©tait trĂšs petit et elle arriva vite Ă  la conclusion que c'Ă©tait un nain, ou quelqu'un de petite taille pour ĂȘtre plus poli. La jaune et noire n'Ă©tait pas restĂ©e devant le Serpentard pendant qu'elle rĂ©flĂ©chissait, ce qui lui empĂȘcherait une fois assise, la jeune fille sortit un parchemin et une plume. Elle regarda le tableau pour connaĂźtre le sujet du cours et ferma les yeux. OpĂ©rations mĂ©dicomagiques, il y allait avoir du sang. Cela la rĂ©pugnait, mais elle pensait quand mĂȘme pouvoir soutenir cela, si c'Ă©tait dans un but de soigner. Une fois le titre copiĂ©, il ne lui restait plus qu'Ă  attendre les derniers Ă©lĂšves arriver. Kahena CernunnosPoufsouffle Re Cours n°3 PremiĂšres opĂ©rations mĂ©dicomagiquesKahena Cernunnos, le Mer 13 Mai - 1602 Kahena se tourna et re-tourna dans son lit, encore et encore. Une bonne journĂ©e s'annonçait pour elle. Elle n'avait absolument rien de prĂ©vu et allait pouvoir donc rester tranquillement au chaud sous sa couette. L'une des meilleures sensations au monde n'est-elle pas de pouvoir rester Ă©veillĂ© au lit ? Elle ferma les yeux. Ça devait ĂȘtre cela qu'on ressent aprĂšs notre mort. Un cocon chaud et moelleux. Si c'Ă©tait vraiment le cas, elle avait presque hĂąte de devenir un cadavr.... La mĂ©dicomagie. Comment avait-elle pu oublier ? Elle s'Ă©tait inscrite aux cours sur un coup de tĂȘte, parce que justement elle n'avait rien de prĂ©vu. Elle n'Ă©tait mĂȘme pas particuliĂšrement passionnĂ©e par la mĂ©dico'. Pourquoi s'Ă©tait-elle inscrite si ce n'est pour remplir son emploi du temps ? Elle se remua les mĂ©ninges, tentant de trouver une rĂ©ponse, tout en sortant pĂ©niblement du lit pour mettre son uniforme. Elle mit ses lunettes de soleil - rondes, s'il vous plaĂźt - pour protĂ©ger ses yeux si vulnĂ©rables. Elle attrapa son sac et sortie prĂ©cipitamment de la Salle Commune des Poufsouffles. Le thĂšme du cours ne lui revenait vraiment pas, mais elle l'avait sur le bout de la langue. Elle arriva devant la salle de classe dans laquelle elle entra, ses cheveux dĂ©gradĂ©s rouges coiffĂ©s - enfin non, pas coiffĂ©s justement - comme une criniĂšre de lionne. Elle tenta d'aplatir ses mĂšches d'une main tout en s'avançant dans la salle. Elle dĂ©visagea de derriĂšre ses lunettes l'homme debout Ă  cĂŽtĂ© du tableau et conclu qu'il devait s'agir du professeur, Mr. Mkrovsk. Elle le salua poliment avec un lĂ©ger sourire, comme pour s'excuser de la prĂ©cipitation avec laquelle elle Ă©tait entrĂ©e.*Il est temps de se faire discrĂšte Ă  prĂ©sent.* Elle avança parmi les bureaux, reconnaissant certains Ă©lĂšves de sa maison. Elle s'assit Ă  un bureau voisin de celui d'un Serpentard qui avait l'air particuliĂšrement Ă©nervĂ© et qui Ă©tait Ă©tonnamment petit.*Un nain.* lui appris sa Voix interne. *On dit "un petit monsieur" quand on est poli.* la corrigea-t-elle. Sans faire plus attention au concernĂ©, elle sorti plume et parchemins afin de faciliter la prise de notes."PremiĂšres opĂ©rations mĂ©dicomagiques." Lu-t-elle sans faire attention au tableau. Mais oui ! Elle s'Ă©tait inscrite parce que ce cours promettait un maximum de de morceaux sanglants et qu'elle adorait ça ! Rien de mieux de bon matin. InvitĂ© Re Cours n°3 PremiĂšres opĂ©rations mĂ©dicomagiquesInvitĂ©, le Jeu 14 Mai - 1539 Aileen Ă©tait assise dans la salle commune, plongĂ©e dans un livre expliquant les bases de la mĂ©dicomagie ; elle n'Ă©tait pas stupide et savait parfaitement qu'elle aurait sĂ»rement du retard sur les autres Ă©lĂšves prĂ©sents au cours, gĂ©nĂ©ralement plus ĂągĂ©s qu'elle, mais essayait de compenser en apprenant quelques bases - purement thĂ©oriques cela-dit. Elle Ă©tait tellement absorbĂ©e qu'elle ne remarqua que tard l'heure qu'il Ă©tait, en constatant qu'elle Ă©tait quasiment seule dans sa salle commune. Elle se leva prestement, saisit son sac et sortit de la salle d'un pas vif, se dĂ©pĂȘchant d'arriver Ă  la salle de fois arrivĂ©e devant cette derniĂšre, elle s'arrĂȘta et reprit son souffle, avant de remettre ses cheveux et sa cravate en place et de lisser sa jupe, afin d'avoir l'air convenable. Elle entra calmement dans la piĂšce, visiblement elle n'Ă©tait pas encore en retard, mais il y avait dĂ©jĂ  du monde. Le professeur Ă©tait prĂšs de son bureau, Mr... Oh, elle n'arrivait pas Ă  s'en souvenir ! Elle avait bien essayĂ© de le prononcer et de le retenir, mais rien Ă  faire. Elle le regarda fixement pendant quelques secondes, perplexe. Il n'avait pas vraiment le profil de professeur de mĂ©dicomagie... En tout cas, pas tel qu'elle l'aurait imaginĂ©. Mais l'habit ne fait pas le moine, n'est-ce pas ?- Bonjour Professeur, le salua-t-elle en alla immĂ©diatement s'asseoir au premier rang, dont les bureaux Ă©taient tous occupĂ©s. Elle prit place Ă  cĂŽtĂ© d'un Serpentard, dont elle ne remarqua la petite taille qu'aprĂšs s'ĂȘtre assise. *Un nain.* conclut-elle rapidement. Elle s'en fichait pas mal, elle en avait dĂ©jĂ  vu auparavant, mais Ă  voir l'air renfrognĂ© de son camarade, cela ne devait pas ĂȘtre Ă©vident tous les jours. Elle lui sourit gentiment, tout en sortant parchemin et encre pour Ă©crire le titre de la leçon. *PremiĂšres opĂ©rations mĂ©dicomagiques... Ça promet d'ĂȘtre passionnant !* Elle remarqua ensuite les cages, et, prĂ©fĂ©rant ne pas savoir pour l'instant ce qu'il y avait Ă  l'intĂ©rieur, se tourna vers son Bonjour ! Je m'appelle Aileen Leigh, enchantĂ©e de te regarda ensuite vaguement autour d'elle. Au bureau voisin se trouvait une Poufsouffle qu'elle ne connaissait pas, et en balayant la salle du regard elle constata que beaucoup de gens de sa maison Ă©taient prĂ©sents, ainsi que des Serdaigles et des Serpentard, mais il n'y avait qu'une Gryffondor. Aussi, cela confirma ce qu'elle savait dĂ©jĂ  elle Ă©tait la plus jeune. Bon, il y avait bien un Serdaigle plus jeune que les autres - Leister si ses souvenirs du cours d'Étude des Moldus Ă©taient bon - mais il devait ĂȘtre en troisiĂšme ou quatriĂšme annĂ©e, ce qui fait qu'elle restait la seule premiĂšre annĂ©e. InvitĂ© Re Cours n°3 PremiĂšres opĂ©rations mĂ©dicomagiquesInvitĂ©, le Jeu 14 Mai - 1542 Dean se leva tĂŽt ce descendit des dortoirs, traversa la salle commune et se rendit dansl a grande salle pour minutes aprĂšs avoir fini, il entendit la cloche sonner il devait partir pour son cours de mĂ©dicomagie! Il courut Ă  travers les couloir, monta les escaliers et se retrouva devant la porte de son entra sans toquer et salua respectueusement son professeursBonjour hate de commencer le cours!Il se permit de s'installer voyant que d'autres personnes Ă©taient dĂ©jĂ  prit donc place et se mit Ă  observer le materiel destinĂ© au y avait des blouses ils allaient donc faire des expĂ©riences! Beaucoup mieux que d'Ă©crire les thĂ©ories. Dean prĂ©fĂ©rais la pratique, on y apprenait plus de choses. Il remarqua plusieurs autres instruments dont il ne connaissait pas l' il se mit a observer ses camarades il y avait plusieurs filles et quelques n'avaient pas tous l'air vit mĂȘme un garçon plus agĂ© que lui jeter des regards furieux au attendit donc les autres Ă©lĂšves pour commencer le avait hĂąte de le commencer et d'apprendre encore des choses sur cette matiĂšre! InvitĂ© Re Cours n°3 PremiĂšres opĂ©rations mĂ©dicomagiquesInvitĂ©, le Jeu 14 Mai - 1750 Assise sur une racine Ă©paisse d'un haut chĂȘne du Parc, CĂ©lya contemplait le ciel bleu matinal dont l'immensitĂ© Ă©tait parsemĂ©e de traĂźnĂ©es blanches. Les jambes ramenĂ©es sous son menton, adossĂ©e au tronc, la jeune fille poussa un petit soupir de bien-ĂȘtre et ferma les yeux. Elle voulait profiter de cette quiĂ©tude encore un moment, avant de partir prendre sa douche et se prĂ©parer pour son premier cours. A cette heure-ci, les Ă©lĂšves Ă©taient en train de prendre leur petit dĂ©jeuner dans la Grande Salle, s'empiffrant de toasts, de confiture et autres nourritures qui leur donneraient des forces pour tenir jusqu'Ă  midi. Pour sa part, la blondinette avait petit-dĂ©jeunĂ© lĂ©ger, se contentant d'une tranche de pain beurrĂ©e et recouverte d'une lĂ©gĂšre couche de confiture Ă  la fraise. Puis elle Ă©tait partie avec son frĂšre jumeau faire une demi-heure de et elle avaient repris cette habitude depuis plusieurs semaines. La PrĂ©fĂšte se sentait beaucoup mieux, ayant l'impression d'Ă©vacuer la tension. C'Ă©tait une bonne chose, de pouvoir dĂ©marrer la journĂ©e sans se soucier de rien. C'Ă©tait exactement ce qu'elle ressentait en ce moment-mĂȘme. Le vide, le nĂ©ant Ă©tait prĂ©sent dans son esprit, tandis qu'une brise lui soulevait les mĂšches de cheveux. CĂ©lya savoura ces quelques minutes de calme et finit par se dĂ©cider Ă  rentrer au chĂąteau. Dans son collant noir et son sweet-shirt trop grand pour elle, elle paraissait frĂȘle. Mais l'habit ne faisait pas le moine, c'Ă©tait connu. Marchant d'un bon pas, la blondinette fourra les mains dans les poches du pull et nota qu'un professeur courait prĂšs du Lac. De loin, elle crut reconnaĂźtre prit son uniforme dans son dortoir et partit en quĂȘte de la Salle de Bains des PrĂ©fets, cĂŽtĂ© douches. Restant coi malgrĂ© les Ă©vĂ©nements des jours prĂ©cĂ©dents, la blondinette prit sa douche, se forçant Ă  ne penser Ă  rien. Plus facile Ă  dire qu'Ă  faire. Distraite, elle glissa alors qu'elle voulait sortir de la cabine et s'Ă©tala de tout son long au sol. Pour ne rien arranger, sa tĂȘte, son coude et sa hanche le heurtĂšrent brutalement. Un moment sonnĂ©e, la PrĂ©fĂšte se redressa avec douleur. Elle chercha aprĂšs sa serviette de bain et une fois celle-ci nouĂ©e autour de son corps, s'examina. Une bosse se formait dĂ©jĂ  Ă  son front et sa lĂšvre Ă©tait fendue. Un peu de sang avait coulĂ©. Son coude portait une trace rouge ainsi que le cĂŽtĂ© de sa hanche. Bonjour aux nouvelles ecchymoses ! Grimaçant, la Serdaigle s'habilla et retourna dans la Salle Commune pour y prendre ses affaires de cours. Des regards interrogateurs la suivirent. Oui, elle avait une tronche Ă©pouvantable aprĂšs sa chute mais elle ne pouvait rien y faire. En fait, elle ne voulait rien y faire. Ce n'Ă©taient que des Ă©raflures de rien du tout, et ce n'Ă©tait pas une petite bosse ou une ecchymose qui allait la tuer ! Le seul hic Ă©tait la petite douleur qui accompagnait chacun de ses pas, la ceinture de sa jupe un peu trop serrĂ©e ravivant la douleur Ă  la zone de la hanche. Il fallait bien qu'elle supporte ça, tant pis. ArrivĂ©e dans la salle de classe, Ă  l'heure par bonheur, CĂ©lya salua le professeur Mkrovsk avec un sourire poli et jeta un regard en direction du tableau qui annonçait le sujet du cours. Celui-ci promettait d'ĂȘtre intĂ©ressant et la jeune fille oublia la douleur. Des cages Ă©taient posĂ©es sur le sol, recouvertes d'un voile noir. La curiositĂ© piquĂ©e au vif, la blondinette s'installa sur la droite, sans faire plus attention aux Ă©lĂšves prĂ©sents. Les quelques visages qu'elle connaissait ne l'intĂ©ressaient pas ce matin, pour diverses raisons. La premiĂšre Ă©tait qu'elle n'avait pas particuliĂšrement envie de discutailler. Posant le coude sur la table, la jeune fille eut un sursaut et gĂ©mit doucement. Mince. C'Ă©tait son coude fraĂźchement blessĂ©. Leiv KrigersenSerdaigle Re Cours n°3 PremiĂšres opĂ©rations mĂ©dicomagiquesLeiv Krigersen, le Jeu 14 Mai - 1840 Une journĂ©e, une soirĂ©e, une nuit, un rĂ©veil, un petit-dĂ©jeuner le tout enrobĂ© d'un ennui mortel. Il ne lui restait plus qu'Ă  espĂ©rer que le reste de la journĂ©e serait plus palpitant sinon elle allait rapidement s'endormir. MĂȘme les ragots entendus pendant le repas n'avaient pas rĂ©ussi Ă  la sortir de son Ă©tat. Non, dĂ©cidĂ©ment rien d'intĂ©ressant Ă  l' lorsqu'elle lut son emploi du temps l'excitation prit le dessus cours de mĂ©dicomagie. L'une de ces matiĂšres favorites. Elle accordait une grande importance Ă  cette matiĂšre fournissant de gros efforts pour se maintenir Ă  niveau et ĂȘtre la meilleure possible. Les notes en elle-mĂȘme l'intĂ©ressait peu, elle tenait surtout Ă  savoir mettre en pratique ce que le professeur lui apprenait. À quoi cela servirait-il sinon ? Ce n'est pas les bonnes notes qui la sortiraient d'une situation dĂ©licate, non, mais savoir exercer des donc avec un sourire sincĂšre qu'elle se dirigea vers le salle de cours, impatiente. Rien que dans le couloir menant Ă  la salle, on pouvait entendre la voix des Ă©lĂšves se rĂ©percuter contre les murs en pierre du chĂąteau, elle put d'ailleurs voir, certains pĂ©nĂ©trer dans la piĂšce. Tout en accĂ©lĂ©rant le pas, elle remonta la bretelle de son soutien-gorge qui venait de prendre la fuite vers son Ă©paule, elle nota dans un coin de sa tĂȘte de penser Ă  la avec une idĂ©e idĂ©alisĂ© qu'elle pĂ©nĂ©tra dans le salle de cours. Évelyne ne tarda pas Ă  dĂ©chanter et tout en remettant ses cheveux noirs derriĂšre ses Ă©paules, elle avança d'un pas moins enthousiaste vers le premier rang. DĂ©cidĂ©ment l'ambiance Ă©tait au rendez-vous entre ceux qui s'endormaient, ceux qui fulminaient et ceux qui...et ben, avaient le regard dans le vide cette journĂ©e ne pouvaient que s'amĂ©liorer. JournĂ©e de m*rde je vous dis !La jeune fille Ă©tait tellement dans ses pensĂ©es qu'elle en oublia de saluer son professeur. Et s'en demander la permission prit place au premier rang Ă  cĂŽtĂ© d'une Poufsouffle au visage disant je veux du sang, des tripes et des cris. Mouais ! Elle aurait dĂ» l'observer un peu mieux avant de s'asseoir, voilĂ  qu'elle se retrouvait piĂ©gĂ© avec une psychopathe pour l'heure Ă  venir. Elle s'attarda sur son visage puis elle comprit enfin ce qui l'intriguait des lunettes de soleil. Mmh pas trĂšs rĂ©glementaires tout cela, surtout avec le nouveau directeur qui accordait une grande importance au paraĂźtre. Si c'Ă©taient des lunettes de vue, cela passe encore, mais de soleil ? Avec de la chance le mec baraquĂ© devant le tableau ne dirait rien. AprĂšs avoir dĂ©tachĂ© son regard de sa camarade, elle posa ses yeux sur le tableau "PremiĂšres opĂ©rations mĂ©dico-magiques." Ah ! Enfin quelque chose pour pimenter cette journĂ©e. Le cours promettait d'ĂȘtre instructif et elle avait hĂąte de dĂ©couvrir ce que Mkrovsk leur avait prĂ©parĂ©. Au vu des blouses, gants et lunettes, il y aurait sans conteste de la pratique. Un sourire ravit Ă©claira petit Ă  petit son visage qui jusque-lĂ  Ă©tait la reprĂ©sentation parfaite de l'ennui. Son visage entier se rĂ©veilla Ă  la vue des cages mystĂ©rieusement cachĂ©es par un tissu noir. Elle avait hĂąte que le cours commence, oh que oui ! InvitĂ© Re Cours n°3 PremiĂšres opĂ©rations mĂ©dicomagiquesInvitĂ©, le Jeu 14 Mai - 2036 AprĂšs avoir bien rigolĂ©, le jeune homme en troisiĂšme annĂ©e d'Ă©tude Ă  Poudlard dĂ©cida de se calmer afin de ne pas Ă©nerver l'agressif personnage d'un mĂštre quatre-vingt, debout sur un chaise, les bras levĂ©s. Encore un mal lunĂ© qui avait du mal avec le relationnel, sĂ»rement. L'agressivitĂ© ouverte Ă©tait quelque chose de typique chez les personnes faibles d'esprit et Leister comprenait pourquoi ce minus avait Ă©tĂ© rĂ©parti chez les serpentards. Aucune surprise Ă  ce qu'il aborde les couleurs vertes et argents sur sa cravate, du coup. Le bleu et bronze n'avait pas assistĂ© au dĂ©but de la prise de tĂȘte mais se doutait bien de ce qui s'Ă©tait passĂ© quand il entendait tant le prof' que Morgan s' Ă©tait temps aprĂšs toute cette animation plus que distrayante, de prendre place sur une chaise pour suivre le cours qui allait commencer sous peu. Lorsqu'il essaya d'avancer, il sentit une rĂ©sistance au niveau de ses chaussures. Il ne parvenait pas Ă  avancer son pied droit comme il le voulait. Il baissa les yeux pour voir ce qu'il se passait et constata que les lacets avait Ă©tĂ© joints pour faire tomber le sang-pur. La personne qui avait essayĂ© de le faire tomber avait ratĂ© son coup et c'Ă©tait mieux pour elle qu'il ne dĂ©couvre pas qui Ă©tait l'auteur de cette hilarante plaisanterie de bas Ă©tage. Cette personne pouvait en tout cas donner la main au gnome pour former le groupe des Ă©cervelĂ©s. AprĂšs avoir dĂ©lier ses lacets, il s'installa comme il se doit sur sa chaise et salua enfin l'enseignant par un Bonjour M'sieur Mkrovsk ». Il sortit plume et parchemins pour prendre des notes et lut ce qui Ă©tait annotĂ© sur le tableau PremiĂšres opĂ©rations mĂ©dicomagiques ! Cela voulait dire tout et n'importe quoi. Allaient-ils jouer les laborantins ? Ou tout simplement avoir un cours thĂ©orique ? Le minot ne se posa la question et attendit le dĂ©but du cours. Lilith BeeGryffondor Re Cours n°3 PremiĂšres opĂ©rations mĂ©dicomagiquesLilith Bee, le Ven 15 Mai - 1513 LA d'Izsa accordĂ©Izsa et Lilith s'Ă©tait encore une fois inscrite au cours de mĂ©dicomagie. Mais cette fois, Izsa savait que Lilith connaissait Rurik en dehors des cours. Enfin la raison "officielle" de l'Ordre n'Ă©tait pas la vraie raison de son accointance avec le professeur Russe, mais ça, il valait mieux que son amie Serpy l'ignore le plus longtemps possible. Et puis de toute façon les deux jeunes sorciĂšres avaient dĂ©jĂ  assez de secrets Ă  garder comme ça. Mais aujourd'hui l'ambiance Ă©tait plutĂŽt agrĂ©able entre les deux apprenties sorciĂšre. L'une et l'autre s'Ă©taient retrouvĂ©es dans la grande salle aprĂšs le petit dĂ©jeuner, comme Ă  leur habitude. Lilith ne pensait plus au bandage qu'elle avait au bras. La blessure par balle la baisait encore un peu souffrir, mais de devoir la cacher aux autres, elle en oubliait presque elle-mĂȘme l'existence! AbsorbĂ©es par leur discussion sur la maniĂšre de faire tourner en bourrique le professeur elles n'avaient pas vue le temps passer. Les deux amies avaient bien trop de responsabilitĂ©s pour des jeunes filles de leur Ăąge, et les moment de complicitĂ© et de franche rigolades Ă©taient devenues un sas de dĂ©compression indispensable entre deux missions. Il ne s'agissait plus de faire courir le concierge de Poudlard maintenant... C'est Lilith qui la premiĂšre eut la prĂ©sence d'esprit de regarder sa montre moldue que son pĂšre lui avait donnĂ©. Une montre toute simple en mĂ©tal argentĂ© qui ne valait rien, mais qui avait le mĂ©rite de lui donner l'heure! Elle leva de grands yeux vers son amie et avant mĂȘme que cette derniĂšre ait le temps de lui demander ce qu'il se passait, elle l'attrapa par la manche, entre le rire et la panique. - Le cours de MĂ©dicomagie va commencer, et on a tous les couloirs Ă  traverser! Ririk va nous faire une crise d'autoritĂ© si on arrive en retard. Et crois moi, il ne sera pas plus tendre parce qu'il nous connait, bien au contraire! La verte et argent n'eut pas le choix et se fit donc trainer dans la traversĂ©e du chateau par une Lilith Ă  demi hilare. Bousculant quelques autres Ă©lĂšves au passages, les deux jeunes filles arrivĂšrent Ă  l'heure. Le professeur Ă©tait toujours sur la dĂ©fensive, et une chemise sombre rehaussait son air mauvais. Cet air mauvais qui rassurait tant la prĂ©fĂšte des Lions... Etrange vous avez dit? Izsa et Lilith Ă©taient essoufflĂ©es, mais le sourire de la seconde ne disparaissait pas. AprĂšs cette course, son Ă©paule lui lançait un peu, nĂ©anmoins elle fit tout son possible pour ne pas le montrer. Elle se massa lĂ©gĂšrement le muscle autour de la blessure et son amie dont elle tenait toujours la manche de la robe. - Bonjourrrr Professeurrrr! l'Ă©lĂšve tĂ©mĂ©raire - ou suicidaire selon les points de vue - s'Ă©tait sciemment mise Ă  rouler les R Ă  la SoviĂ©tique. Pas trĂšs intelligent, mais les futilitĂ©s de son Ăąge lui permettaient de rester accrochĂ©e Ă  la rĂ©alitĂ©. Elle Ă©touffa un rire, et lança un regard dĂ©solĂ©e au Russe qui ne prendrait surement pas bien la boutade. AprĂšs tout, ils avaient frĂŽlĂ© la mort ensemble, mais personne d'autre n'Ă©tait au courant... - On a eu peur de ne pas arriver Ă  l'heure et de servir de cobayes! J'aimerais Ă©viter de de me prendre une balle Ă  retirer par mes camarades si possible. MĂȘme Ă  l'aide de la magie. Bon, si tout allait bien, personne n'allait comprendre la rĂ©fĂ©rence Ă  part Rurik. Elle laissa Ă  Izsa le temps de saluer le professeur puis regarda la salle. Morgan le Pouffy Ă©tait lĂ , mais un peu pĂąle. Bof, pas marrant...Pourtant, La rouge et or s'approcha de lui et dĂ©cida de s'installer pas trop loin du prĂ©fet des jaunes et noirs. Les autres Ă©lĂšves Ă©taient indiffĂ©rents Ă  Lilith, et tant mieux. Izsa n'avait plus qu'Ă  suivre le mouvement, et Ă  s'asseoir Ă  cote de sa camarade. Eileen I. HilswoodMDJ-G en formationHarryPotter2005 Re Cours n°3 PremiĂšres opĂ©rations mĂ©dicomagiquesEileen I. Hilswood, le Ven 15 Mai - 2218 C'Ă©tait agrĂ©able de se retrouver avec Lilith aprĂšs toutes leurs aventures rĂ©centes. La coupe de duel avait Ă©tĂ© Ă©prouvante pour la jeune fille, mais c'Ă©tait du pipi de chat comparĂ© Ă  un vĂ©ritable combat oĂč elle risquait sa vie. Ce qui leur Ă©tait arrivĂ© peu de temps auparavant, lors d'un mission de l'Ordre. La jeune fille s'Ă©tait rendue compte ce qu'ĂȘtre PhĂ©nix signifiait rĂ©ellement, et cela lui faisait peur. Pas une panique lui faisant perdre tous sens communs, une peur rĂ©aliste et sensĂ© pour quelqu'un tenant Ă  la vie. Mais cela n'entachait en rien sa dĂ©termination. Elle se disait simplement que Lilith devait vivre la mĂȘme chose depuis plus de temps, et elle comprit son sentiment, lorsque elle lui avait annoncĂ© qu'elle souhaitait rejoindre l'Ordre. Ensemble, elles Ă©taient plus Ă©tait tout aussi vrai Ă  Poudlard. Les cours Ă©taient un calme Ă©trange, mais agrĂ©able. Et le cours de mĂ©dicomagie allait ĂȘtre encore plus - maintenant qu'elle connaissait son prĂ©nom elle n'allait plus s'amuser Ă  Ă©corcher son nom - Ă©tait une nouvelle recrue lui aussi. Est-ce que cela allait changer des choses Ă  la façon dont les cours se dĂ©rouleraient ? Surement pas... Il Ă©tait cependant amusant de se dire qu'Izsa l'avait prĂ©cĂ©dĂ© chez les PhĂ©nix et qu'elle Ă©tait, dans une certaine mesure, son aĂźnĂ©e. AinĂ©e de cette armoire Ă  glace, vous y croyez ?Elle fut soudainement surprise son amie qui lui faisait de grands yeux - Le cours de MĂ©dicomagie va commencer, et on a tous les couloirs Ă  traverser! Ririk va nous faire une crise d'autoritĂ© si on arrive en retard. Et crois moi, il ne sera pas plus tendre parce qu'il nous connait, bien au contraire! Arg, la menace du russe dans une colĂšre noir n'Ă©tait pas pour ravir la jeune fille. Elle emboita le pas Ă  Lilith, qui semblait morte de rire. La lionne Ă©tait de bonne humeur, ce qui dĂ©teignait Ă©galement vers la vipĂšre. Un sourire amusĂ© flottait sur ses lĂšvres, mĂȘme s'il ne tint guĂšre longtemps dans cette course poursuite soufflante. Une vraie plaie en sport, voilĂ  ce qu'elle arrivĂšrent tout juste Ă  l'heure, et alors qu'Izs crachait ses poumons elle entendit son amie s'adresser au russe. - Bonjourrrr Professeurrrr! On a eu peur de ne pas arriver Ă  l'heure et de servir de cobayes! J'aimerais Ă©viter de de me prendre une balle Ă  retirer par mes camarades si possible. MĂȘme Ă  l'aide de la magie. Toujours aussi insolente, se rĂ©jouissait Izsa. Certaines choses ne changeaient pas. Elle salua Ă  son tour le professeur, puis suivit Lilith qui Ă©tait dĂ©jĂ  repartie. Une vrai pile Ă©lectrique, cette regard de la vert et argent flotta jusqu'au prĂ©fet des Poufsouffle. Elle se souvenait parfaitement de la derniĂšre nuit, dans la forĂȘt interdite. Elle savait bien que l'Ă©vĂšenement dont il avait Ă©tĂ© la victime n'Ă©tait pas anodin comment allait-il vivre cela ? Malena KaneSerdaigle Re Cours n°3 PremiĂšres opĂ©rations mĂ©dicomagiquesMalena Kane, le Sam 16 Mai - 1432 Je suis rĂ©veillĂ© par les bruits des animaux dans les cages ou les discussions des passants arrĂȘtĂ©s sur le chemin de Traverse devant les vitrines de la boutique. Encore Ă  moitiĂ© endormi, ma tĂȘte pĂšse lourd comme du marbre tant j’ai bu de sommeil pendant la nuit, je lĂšve les yeux vers le plafond de la piĂšce et respire ce doux parfum, mon parfum, qui va me bercer doucement vers le rĂ©veil. Il est encore tĂŽt, il n’y a personne Ă  la boutique ; ni mes jolies collĂšgues, ni Finrod. Je n’ai pas envie de tomber sur lui, il me prendrait la tĂȘte Ă  m’ĂȘtre endormi ici hier soir, et je n’ai pas envie de me prendre la tĂȘte avec lui ce matin. Je suis Ă  allongĂ©, seule ma tĂȘte est redressĂ©e, appuyĂ©e sur un je ne sais quoi de dur. Peut-ĂȘtre un sac de nourriture. Je resterai bien comme ça, pendant des heures, Ă  me remettre de ma fatigue soudaine. Les derniĂšres journĂ©es ont Ă©tĂ© Ă©reintantes. Mais je sais bien, que bientĂŽt, on percera cette bulle de silence dans laquelle je me confonds, dans laquelle je me rendormirai bien, je sais bien que je dois partir. Aussi, efforts aprĂšs efforts, je suis levĂ©, dĂ©jĂ  agacĂ© par la journĂ©e qui a remplacĂ© la nuit. ***Une ou deux heures aprĂšs. Aussi loin que mes pas perdus m’aient conduits dans Londres, je me retrouve nĂ©anmoins Ă  fouler les couloirs de Poudlard. AprĂšs une marche sans but dans les rues, le cours de mĂ©dicomagie auquel je m’étais inscrit quelques jours plus tĂŽt, m’est revenu Ă  la mĂ©moire. Il m’a agressĂ© si durement, que je n’ai pu l’éviter comme j’aurai aimĂ© le faire. Je suis entrĂ© dans la salle, sans prendre la peine de saluer le professeur, ce grand gaillard costaud, costaud comme ça, comme un gĂ©ant. J’ai cru voir une de mes collĂšges assises. Face, je crois. Bref, j’attrape une table solitaire, et me glisse entre elle et sa chaise. Face aux bruits atroces des autres Ă©lĂšves, je durcis ma bulle de silence. Ce cours ne m’offre qu’une seule perspective celle de l’ennuie. Lizzie CojocaruPersonnel de Poudlard Re Cours n°3 PremiĂšres opĂ©rations mĂ©dicomagiquesLizzie Cojocaru, le Sam 16 Mai - 2242 Nuit douce et profonde ; sommeil imperturbable. RĂ©veil des plus naturels, vers cinq heures, la bouche un poil pĂąteuse, puis le flash. Une silhouette. Un rien, un tout. Inutile de se remĂ©morer les traits de l’inconnu. C’est lui. La pulsion la reprend. Envie de fuite. Plus qu’une envie, un besoin. L’instinct de survie. Il est saoul, songe-t-elle. Et sa baguette non magique. Son souffle s’accĂ©lĂšre. Ce n’était qu’un rĂȘve. Frissonnant, la blairelle s’engouffre dans la douche. VulnĂ©rable. Le liquide suffit Ă  diluer sa peur plus sĂ»rement qu’un des remĂšdes alcoolisĂ©s dont elle est pourtant si Ă©prise. La lancinante brume du rĂȘve se dissipe, ne reste que son esprit clair et vif. Ou presque. Il est cinq heures quinze quand Bennet quitte le dortoir. L’avantage du couvre-feu, quoiqu’il soit rare qu’elle le respecte mais l’insigne aide en la matiĂšre, est qu’il ne prĂ©cise pas les restrictions relatives Ă  l’heure du lever. Laissant des possibilitĂ©s de vagabondage relativement peu limitĂ©es. Loin de ces saletĂ©s d'Ă©lĂšves soumis, tradis, et chouineurs, c'est tout ce qui jaune et noire s’engouffre entre les salles de classe, Ă  la recherche d’informations compromettantes, puis au bout d’une heure de fouilles se dirige -toute de Kaleidem vĂȘtue- vers la bibliothĂšque. Les runes Furthark, par Arthen König. Peut-ĂȘtre y trouvera-t-elle la rĂ©ponse Ă  l’étrange symbole dessinĂ© Ă  la craie par Lestrange l’autre fois ? AprĂšs l’avoir feuilletĂ© de long en large, tapie dans l’obscuritĂ© des rayons dĂ©serts, Bennet se rĂ©sout Ă  la pensĂ©e que quoique la Eihwaz soit la plus proche de ce qu’elle ait observĂ©, elle demeure moins complexe que son ami avait tracĂ©. Elle lit l’annotation apporte rĂ©surrection, le passage Ă  un nouvel Ă©tat, le surpassement de ses limites. » Assez cohĂ©rent vu qu’elle songeait l’avoir interrompu en pleine nĂ©cromancie. Mais qu’étaient les traits manquants ? FrustrĂ©e, la prĂ©fĂšte repose l’ouvrage et s’en retourne vers le Parc, oĂč elle s’exerce Ă  jeter un Sphaera ignis dont les rĂ©sultats sont tout aussi peu probants. Elle a tout juste le temps d’attraper une pomme dans la Grande Salle, qu’elle grignote au dĂ©tour d’un couloir, puis son horloge interne naturellement retardataire lui indique que le temps presse. Entrant en saluant d’un signe de tĂȘte le russe, la peu pouffy pouf pouffe en apercevant son collĂšgue en solo. Il faut dire qu’elle le prĂ©fĂšre en faux-taciturne solitaire. A minima, il perd le cĂŽtĂ© bisounours-conventionnel-qui-poupoute-tous-les-premiĂšre-annĂ©e. M’enfin. Il reste Delabruti quoi, se moquer de lui n’est pas un luxe. La septiĂšme annĂ©e reconnaĂźt aussi Shake et McKinley, Lau et cette pĂ©tasse de Lamewood -sur laquelle un Hysteriauricule est automatiquement informulĂ©, simple formalitĂ©-, ainsi que le duo qui remonte le QI de cette salle Izsa et Lilith. Sauf qu’elles sont Ă  cĂŽtĂ©. Bon. Allez, on se sociabilise ? Non, poussons pas. C’est pas son genre. Par contre, y en a qui a l’air de s’ennuyer ferme Kane. Pas trĂšs passionnĂ© par la perspective d’opĂ©rations magiques sur des animaux ? Ça a l’air assez cool pourtant, sachant que les prochains bĂ©nĂ©ficiaires » de leurs sorts pourraient ĂȘtre humains. A moins que le russe ait casĂ© des nains dans les cages, mais vu qu’il y a un Ă©lĂšve inconnu au bataillon concernĂ© par le nanisme, ç’aurait Ă©tĂ© dĂ©licat. AprĂšs, le serpent en question a l'air enragĂ©, donc peut-ĂȘtre sont-ce vraiment le matos du cours ? Ou des elfes peut-ĂȘtre ? Quoiqu’il en soit, Bennet s’approche de l'Ă©lĂšve bleu et bronze aux traits effĂ©minĂ©s. Ille paraĂźt par le boucan du troupeau en rut, et c'est comprĂ©hensible. Elle-mĂȘme peine toujours Ă  les supporter, mĂȘme s'ils le lui rendent Tu es ? fait-elle en s’asseyant Ă  ses cĂŽtĂ©s. Re Cours n°3 PremiĂšres opĂ©rations mĂ©dicomagiquesContenu sponsorisĂ©, le Permission de ce forumVous pouvez Vous ne pouvez pas rĂ©pondre aux sujets dans ce forum Dansle mĂȘme registre, Virgile, 26 ans fuit les femmes qui parlent trop fort ou qui sont trop expansives, et Erwan, 28 ans, ne supporte pas celles qui font des fautes de français. Les
Bonjour, Tu sais s'il se comporte diffĂ©rement avec ses copains et qu'il ne maitrise pas sa consommation d'alcool c'est qu'il a dĂ©jĂ  un problĂšme avec l'alcool. Pour ĂȘtre alcoolique il n'est pas nĂ©cessaire de consommer de l'alcool Ă  outrance tous les jours, on peut ĂȘtre alcoolique "occasionnel" aussi. C'est lorsqu'on a des difficultĂ©s Ă  rĂ©sister devant la prise d'alcool, sachant notament pour ton ami qu'il devient mĂ©chant ensuite mais il le fait quand mĂȘme, c'est un problĂšme. Il y a plusieurs formes d'alcoolismes, l'alcoolisme mondain entre autre aussi, l'alcoolisme des week end occasionnel donc et il y a le typique alcoolique qui boit ses 3 bouteilles de vins journaliĂšres, qui ne roule mĂȘme plus sous la table tellement il est en permanence bourrĂ©. S'il ne prend pas son problĂšme en main de suite, il te pourrira la vie parce que ces personnes lĂ  se confondent toujours en excuses aprĂšs avoir Ă©tĂ© infectes jusqu'Ă  la prochaine occasion...C'est un cercle infernal d'ou je te conseille de sortir le plus vite possible. J'en parle en connaissance de cause, j'ai eu le mĂȘme problĂšme Ă  la maison, sauf que mon mari ne m'insultait pas, mais il avait du mal Ă  se controler occasionnellement avec l'alcool. Demande aux femmes d'alcooliques et tu verras qu'ils ont souvent 2 facettes, la gentille et l'autre quand ils ont bu...c'est bien pour ça que c'est si difficile de les quitter.
enceinteje ne supporte plus mon copain. L. lec85oy. 24/11/2011 à 14:46. En réponse à. la-44iv. Personne ne connaßt l'avenir, mais l'on doit prendre le risque de faire
InvitĂ©Invité⠂about me ⠂⠂a little more⠂Mer 14 Avr - 1835TRAGIC TRUTH"La vĂ©ritĂ© est comme le soleil. Elle fait tout voir et ne se laisse pas regarder.Victor Hugo."◊ ◊ ◊En fait, c'est compliquĂ©. VoilĂ  la seule rĂ©ponse que tu retiens, dans tout ça. Ash est une personne Ă  part entiĂšre, qu'est-ce ça pouvait faire que lui, il te voit comme un frĂšre ? Tu ne te rends pas compte comment ce "triangle" entre vous trois peut ĂȘtre trĂšs compliquĂ©. FrĂšre de coeur avec un, amant avec l'autre... Non, ça ne rentre pas dans ta tĂȘte. Soudain, tu vois quelqu'un t'approcher. Tu le regarde, silencieusement. Il passe, ce sont ces Ă©toiles qui reviennent. L'illusion d'une attraction. Il te tend quelque chose que tu prends, sans savoir ce que c'est et il part, non sans te regarder si intensĂ©ment que si tu en Ă©tais sensible, tu pourrais t'enflammer sur place. Qu'est-ce que c'est ? C'est pas un comprimĂ©, mais juste un peu de poudre. Tu es curieux. PoussĂ© par les Ă©motions nĂ©gatives qui pĂ©nĂštrent ton corps en entier et la curiositĂ© de ce sachet, tu dĂ©cides de l'ouvrir. Tu regardes autour de toi. Personne. Le gars est parti, comme poussĂ© Ă  te donner quelque chose qu'il ne voulait pas. Tu lĂšches un de tes doigts et le trempe un peu. Pas sĂ»r de ce que c'est, tu prĂ©fĂšres rester un peu prudent. Puis, tu y goĂ»tes. Ça goĂ»te pas grand chose... Mais tu te doute que c'Ă©tait pas du sucre ! Une drogue ? Certainement ! Laquelle ? Tu sais pas. DRIING. DRRIING. DRIIIIIIIIIIIIIING. Quoi, encore ? Tu prends ton portable et tu vois le prĂ©nom de Cassidy apparaĂźtre en gros. Des messages sont laissĂ©s. Tu dĂ©cides de pas rĂ©pondre, encore, pour pouvoir les Ă©couter. Au dĂ©but, les messages sont plutĂŽt doux, une once paniquĂ©s, mais ils se transforment. Ils prennent une tournure plus "ferme" qu'avant. Peut-ĂȘtre de la colĂšre ? T'es pas sĂ»r. "Si ça n'allait pas tu peux m'expliquer.." La voix est un peu paniquĂ©e. Elle te semble provenir d'un peu loin, de plus en plus. Les mots s'enchaĂźnent. Rappelles-moi. Certainement pas, pas aprĂšs ce qu'il vient de te faire ! Tu sais pas toi que le mec qui t'a donnĂ© ce sachet voulait que tu le gobe au complet pour ensuite revenir. Tu sais pas ce qui plane au-dessus de ta tĂȘte. Tu poses la tĂȘte sur le muret derriĂšre toi et tu regardes l'eau qui se mouvoie. Tu penches un peu sur le cĂŽtĂ©. Ouah. C'est quoi, cette sensation bizarre ? Tu te sens un peu engourdi. Limite tu as envie de rire pour rien, mais ce n'est que le dĂ©but des choses. Puis DRIIIIIIIIIIING encore. Hmmm ? Ton cerveau s'embrouille. Tu sens Ă  peine ton corps maintenant, mais assez pour faire des gestes. Tu dĂ©croches, cette fois et c'est d'une voix monotone, comme si t'Ă©tais complĂštement perdu sur un nuage que tu rĂ©ponds - AllĂŽĂŽĂŽĂŽĂŽ.....? T'a mĂȘme pas regardĂ© qui t'a appelĂ©. T'a mĂȘme plus idĂ©e de qui ça peut bien ĂȘtre. La voix se fait un peu forte au tĂ©lĂ©phone. Tu poses un index contre ton front. Qui c'est, dĂ©jĂ  ? Il te faut plusieurs secondes avant de rĂ©aliser. - Ah ! Cassidy... C'est toi ? Bien sĂ»r que c'est lui idiot ! Cette drogue commence Ă  rentrer dans ton systĂšme et elle fait pas des miracles. C'est quoi ? Soudain, t'entends la voix te demander oĂč tu es. Oh, pas de mensonge. T'es pas capable. Tes lĂšvres sont un peu pĂąteuses et tu souffles dans le cabinĂ© du tĂ©lĂ©phone - Hmmmm... aux Quais ! C'est encore le silence avant que tu rajoutes. - Proche de l'eaaaaaaaaaaaaaaau. Le mot eau s'Ă©tire alors que t'a limite envie de rire et de t'endormir. Ce que tu sais pas, c'est que la drogue que t'a pris, c'est du GHB. Puissante, mais t'en a pas pris assez pour perdre connaissance. La dose a Ă©tĂ© faible-moyenne, ce qui te donne vraiment l'impression de plus trop toucher au sol, une certaine somnolence, peut-ĂȘtre mĂȘme moins inhibĂ©. T'a pas de nausĂ©es. La dose Ă©tait pas assez forte pour te mener jusque lĂ . Tu sais pas toi que les effets peuvent durer en moyenne de 1 heure Ă  4 heures, dĂ©pendant de la dose que t'a pris. C'est la premiĂšre fois que t'en prends, de la drogue. PoussĂ© par un extrĂȘme plus tĂ©nĂ©breux qui te dĂ©vore de l'intĂ©rieur depuis que t'a quittĂ© la demeure des King. Ça doit faire environs 6 heures que tu t'es enfuis. Il est aux environs de 14 heures lĂ , parce que t'a quittĂ© vers 8 heures, le temps de te lever et que vous mangez. Tu l'entends plus, sa voix. Ton corps a chutĂ© sur le cĂŽtĂ© et tu observes simplement le paysage devant toi, comme si tu pouvais voir des choses bouger alors qu'elles ne devraient pas. Tu sais pas qu'une voiture fonce droit dans ta direction, un conducteur Ă  ta recherche Ă  la fois paniquĂ© et en colĂšre. Tu serres seulement ton tĂ©lĂ©phone ouvert contre ta poitrine oĂč on peut seulement entendre ta respiration lourde, mais lente, le bruit de l'eau et quelques passants. Tu sais mĂȘme plus que c'est ouvert, la notion de rĂ©alitĂ© n'est plus trop lĂ . T'es lĂ  et t'es pas lĂ  en mĂȘme temps. Vu la dose que t'a ingĂ©rĂ©e, tu risques de te trouver dans un Ă©tat second pour une Ă  deux heures. Pas terrible... Mais ça pourrait clairement ĂȘtre pire que ça. c oxymortInvitĂ©Invité⠂about me ⠂⠂a little more⠂Lun 19 Avr - 1849 tragic truth Sasha Collins◊ ◊ ◊ Sasha ! Rappelle-moi tout de suite ! » Ma voix est largement agacĂ©e. L'inquiĂ©tude est Ă  prĂ©sent mĂątinĂ©e de peur et de colĂšre. Le temps passe et Sasha ne m'a toujours pas rappelĂ©. N'a guĂšre rĂ©pondu, d'ailleurs. J'ai sous le nez ses affaires et je suis certain qu'il ne les aurait pas laissĂ© volontairement ; sur le coup de la colĂšre, il s'est enfui. Je passe ma main sur mon visage. Son temps est comptĂ©. Qu'est-ce que ça peut vouloir dire ? Est-ce que les sirĂšnes dĂ©perissent ? Est-ce qu'il est malade ? Je grogne et fais les cent pas dans la chambre, incapable de travailler. Avoir vu le lit fait, dans tout ce bazar, la petite touche de Sasha, ça n'a fait qu'augmenter mon inquiĂ©tude. FĂ©brile, je reprend le tĂ©lĂ©phone, rĂ©esaie encore une fois. Ne fais pas l'enfant. Je n'ai pas voulu dire ça comme ça. Rappelle-moi !» Mon cafĂ© me reste sur l'estomac. J'ai une sensation de lourdeur, sur le corps. Toute l'euphorie ayant pu naĂźtre de cette nuit a diparue ; ne reste que le goĂ»t amer de ce dĂ©but de journĂ©e. matinĂ©e passe, et enfin, aprĂšs environ un million de coups de fils, l'intonation de la voix me rĂ©pond, et non plus la messagerie - qui est saturĂ©e depuis longtemps. Je suis Ă©nervĂ©, inquiet, en colĂšre. Je n'aime pas cette façon d'agir, j'aurai aimĂ© qu'il reste et qu'on discute, non qu'il fuit comme s'il avait eu le feu aux trousses. Sasha ! Sasha ? » Je passe de la possible engueulade au ton de quelqu'un d'inquiet - il y a quelque chose qui cloche. Tout va bien ? » Bien sĂ»r que c'est moi ? Son timbre est lent, agitĂ© pourtant, ses syllabes sont longues, allongĂ©es, comme s'il avait trop bu. Il n'a quand mĂȘme pas Ă©tĂ© boire ? Il ne s'est pas saoulĂ© ? OĂč tu es, Sasha ? » La rĂ©ponse ne se fait pas attendre, et je remercie, pour une fois, le fait qu'il ne puisse pas mentir. Je tente de lui parler mais Ă  l'autre bout du fil, la situation semble ... Ă©trange. Les quais. L'eau. Je ne raccroche pas mais je fonce Ă  la voiture. Baby dĂ©marre au quart de tour. Et je n'entends toujours rien - hormis un lĂ©ger bruit de respiration. Est-ce qu'il s'est Ă©vanoui ? Je l'appelle par son nom, je raconte n'importe quoi - que je suis en route, une bĂȘtise qu'on a faite avec Ash quand on Ă©tait gosses, mais je sais mĂȘme pas s'il m'entend. Il y a quelques bruits d'eau aussi, quelques klaxons, des bruits de quais. Je me dĂ©pĂȘche - je grille quelques feux rouges, manquant un bel accident de peu - et puis enfin, les quais. Je ne sais mĂȘme pas quelle heure il est, j'ai la nausĂ©e Ă  force d'ĂȘtre rĂ©cupĂšre les clĂ©s et, le moteur encore chaud, je descend et je trottinne - non, je cours. Les quais. Je regarde autour de moi, mais de toute Ă©vidence, je ne le vois pas. Avec un grognement, je raccroche puis, en rappelant, j'entends la sonnerie, un peu plus loin. Je me prĂ©cipite, la gorge serrĂ©e. Il est lĂ , allongĂ© en face de l'eau - on pourrait le croire endormi, mais y'a vraiment quelque chose qui cloche. Je m'agenouille, en dĂ©posant mon tĂ©lĂ©phone Ă  terre - est-ce que je dois appeller une ambulance ? Merde. Sasha ! Tu m'entends ? C'est Cass. Sasha ! » Je le secoue un peu ; le peu de passants nous jette un coup d'oeil puis se dĂ©sintĂ©resse. Et non assistance Ă  persnne en danger, connards ? Peu importe. Je le secoue encore et je relĂšve son menton ; il a l'air peu pĂąle dans la lumiĂšre du port, mais y'a rien de particulier. Pas de sang. Tu es blessĂ© ? Tu as mal quelque part ? Bon dieu, rĂ©pond » que je grommelle, Ă  moitiĂ© suppliant. Je cherche son pouls, Ă  la base de sa gorge ; lĂ©ger, tranquille, bel et bien lĂ  .c oxymortInvitĂ©Invité⠂about me ⠂⠂a little more⠂Lun 19 Avr - 1954TRAGIC TRUTH"La vĂ©ritĂ© est comme le soleil. Elle fait tout voir et ne se laisse pas regarder.Victor Hugo."◊ ◊ ◊Tout va bien ? T'a mĂȘme pas le temps de rĂ©pondre que y'a dĂ©jĂ  quelque chose d'autre. Une autre question. OĂč est-ce que tu es ? Tu rĂ©ponds d'une voix lointaine et mal assurĂ©e que t'es aux quais, sur le bord de l'eau. Le mot eau se traĂźne sur le long, puis c'est le silence radio pour toi. Tu t'effondres, doucement, comme si le sol Ă©tait un oreille fait de plumes d'ange. Hmmm.. Pourtant, y'a pas plus inconfortable ! Tu n'entends pas les passants. Tu n'entends pas la voix de Cassidy au tĂ©lĂ©phone qui tente de te parler, de te faire rĂ©agir. Tu sais pas trop combien de temps tu passes lĂ , allongĂ©, Ă  moitiĂ© dans les vapes, dans un monde secondaire. Puis, ça sonne. Pourquoi ça sonne ? T'a pas les capacitĂ©s de te mouvoir correctement pour rĂ©pondre Ă  temps. Y'a que des pas qui se rapprochent de toi, plutĂŽt rapidement. T'entends une voix, mais elle sonne faux Ă  tes oreilles, comme si un voile la couvrait. - Hmm..? C'est la seule rĂ©ponse que tu donnes. La seule qui franchit tes lĂšvres. Puis, on te secoue. Ça te donne vachement le tourni et cette fois, tu ouvres les yeux mĂȘme si c'est une Ă©preuve trĂšs difficile. Le blanc de tes yeux est lĂ©gĂšrement rougit par cette intervention qui ne te plaĂźt pas. T'avais envie de rester allongĂ© et de t'endormir tout confortablement. T'a pas conscience dans quoi tu t'es fourrĂ© et encore moins oĂč tu es. Pourtant, tu lui a dit, plus tĂŽt. Maintenant, tu ne sais plus vraiment. - Cass..? Tu murmures, les paupiĂšres lourdes, mĂȘme si tu as les yeux ouverts, maintenant. Ta tĂȘte balances un peu - style bubblehead - elle a du mal Ă  tenir en place. C'est pas de l'ivresse dĂ»e Ă  l'alcool, mais Ă  autre chose. Quelque chose de Mal..? Bon sang, tu as du mal Ă  reconnecter avec la rĂ©alitĂ© et la seule chose que tu fais, c'est de longer ta main au sol, puis... Tu le sens. Le sachet. Tu le serre entre tes doigts et tu lui tends sous le nez. Tes pupilles sont dillatĂ©es et t'es pas trĂšs bien. - J... pense pas que... Tu as un mouvement saccadĂ© et tu te redresse d'un coup, mais ton corps retombe moellement contre le muret. Tu sais pas ce que sont ces effets, mais y'a des possibilitĂ©s de mouvements soudains et imprĂ©visibles. - du sucre ? Toi et le sucre. Tu pensais que c'Ă©tait ça, quand mĂȘme un peu, au dĂ©but, mais tu t'es royalement plantĂ©. - CompliquĂ© ? Ça, le mot te revient en mĂ©moire et c'est ça qui dĂ©clenche un peu le rĂ©veil, mĂȘme si ton corps semble plus trop t'appartenir. - T'es lĂ ? Bien sĂ»r qu'il est lĂ , il est lĂ  depuis un petit moment ! La tĂȘte dans une brume pas possible, tu soupires. Soudain, tu te redresse, puis tu enroules tes bras autour des Ă©paules de Cassidy pour le serrer contre toi, comme si la chaleur humaine pouvait aider Ă  ton Ă©tat. Ton corps se verrouille comme ça, impossible pour le moment de le lĂącher. Mission impossible. Son odeur te revient. Quelque chose de musquĂ©, mais y'a pas encore l'odeur du bourbon. C'est trop tĂŽt. - Le laisse pas me trouver... T'a dit cela dans une voix paniquĂ©e, alors que tu sembles te coller encore plus contre lui, la peur qui a envahit tes traits. Tu caches ton visage dans son cou. Tu contrĂŽles Ă  peine ce que tu dis et ce que tu fais. Ton corps, un moment tendu, on moment dĂ©tendu et ainsi de Me laisse... Tu hoquettes un peu. Ton corps se ramolit encore. T'es pas loin de perdre connaissance, cette fois. Ton corps glisse un peu. T'es un peu dans une drĂŽle de position. Cassidy te tient dans ses bras comme on voit dans les films quand on hĂ©ro ou protagoniste va mourir. Ta tĂȘte sur son Ă©paule, l'un de ses bras dans ton dos. Tes yeux, perdus, le fixe. Tu le fixe Ă  la fois comme si tu le connaissais et tu ne le connaissais pas. - Pas ici... C'est la conclusion de tes premiers mots, mais tu ne te souviens pas les avoir dit. - C'est noir... Tu murmures ça, alors que le voile s'intensifie devant tes yeux. Tu fermes un peu les paupiĂšres. Ton corps se dĂ©tend encore davantage que t'es presque complĂštement mou dans ses bras. - Maison... Tu souffles ce mot, parce que tu veux qu'il te ramĂšne de lĂ  oĂč tu t'es enfuis plusieurs heures plus tĂŽt. Tu veux qu'il te ramĂšne, que vous ne restez pas ici. Ou que vous trouvez un coin plus tranquille. - Il reviendra... Puis c'est le noir complet, tes paupiĂšres se ferment et ta tĂȘte finit par complĂštement plonger vers l'arriĂšre. T'a perdu connaissance. C'est pas pour trĂšs longtemps, mais ton corps le supporte pas. T'a pas pris une grosse dose, mais assez que ça va te maintenir comme ça pour une bonne heure encore. Va-t-il te ramener ? Que va-t-il faire ? T'en sais rien, t'es complĂštement perdu. Ta respiration est lente et profonde, ton coeur bat normalement.. Y'a juste ton cerveau qui rĂ©pond pas et qui rĂ©pondra pas trop pour la prochaine heure..c oxymortContenu sponsorisé⠂about me ⠂⠂a little more⠂
Alors je sais que ça ne se voit pas quand je suis sur scĂšne, mais je mesure 1,59 m. Sur ma piĂšce d’identitĂ©, j’ai fait marquer "1,60 m". Je n’assume pas le 1,59 m, j’ai l’impression d’ĂȘtre un paquet de chips Ă  1,99 € ! depuis Recon News 03 avril 2021 Yvan, Ă©galement connu sous le nom de membre QueerYvan, est un historien de la sexualitĂ©. Dans une sĂ©rie d'articles, il Ă©voque quelques-unes de ses rencontres fĂ©tichistes favorites avec beaucoup de dĂ©tails, et il partage occasionnellement des informations sur l'histoire du Charlie, mon meilleur garçon. Je suis encore allĂ© jouer avec les hommes en cuir. Deux grands spĂ©cimens magnifiques qui portaient tellement bien leurs cuirs. L'un d'eux a une barbe rousse broussailleuse, une grosse moustache, et ses cheveux sont toujours bien mis. L'autre a des cheveux bruns trĂšs courts, et comme moi, il a beaucoup de tatouages et une poitrine velue, ses poils frisĂ©s n'ayant pas encore virĂ© au gris comme les miens. Il a Ă©galement un piercing sur sa bite, d'une Ă©paisseur de 00. Il me l'a enfoncĂ© dans la gorge tellement de fois que je ne peux pas l'imaginer dans ce piercing. Ils sont toujours vĂȘtus de cuir de la tĂȘte aux pieds; je ne pourrais pas les imaginer portant autre chose. Le roux, Berlin Rob, portait le mĂȘme t-shirt en cuir, le mĂȘme jean en cuir noir et les mĂȘmes bottes de biker que ceux qu'il porte toujours quand on se voit. Je ne l'ai jamais vu sans gants en cuir; il les a mĂȘme dĂ©jĂ  eus aux mains en me fistant. Sadiq, le plus audacieux des deux, a une immense collection, et je ne l'ai jamais vu deux fois porter les mĂȘmes cuirs. Parfois, c'est une tenue complĂšte de moto, un cuir noir classique comme dans L'ÉquipĂ©e sauvage, ou une tenue de course noire et blanche, adaptĂ©e de telle sorte qu'il peut sortir son paquet quand il a envie de niquer. Quand il fait chaud, je l'ai vu ne porter qu'un jockstrap en cuir et des Doc Martens Ă  18 trous, les jours oĂč il veut que je m'occupe de son trou et de sa superbe bite. Aujourd'hui, il portait un maillot noir, des jambiĂšres en cuir assorties et ses Docs Ă  nouveau la tenue formelle des pĂ©dĂ©s. Viens nous voir », m'ont-ils dit, bien que je ne sache plus lequel des deux m'a invitĂ©. On a une surprise pour toi. »Je me suis prĂ©parĂ©. JambiĂšres en cuir noir et un jockstrap facile Ă  dĂ©faire afin qu'ils puissent se servir de ma bite et de mes boules Ă  leur guise. Je portais Ă©galement un dĂ©bardeur de Tom of Finland sous ma veste en cuir, que j'allais laisser Ă  l'entrĂ©e. En laçant mes bottes, je me demandais vraiment ce qui m'attendait. Ma surprise, c'Ă©tait que je n'allais pas faire le passif. Il y avait un boy super sexy qui viendrait jouer, qu'ils avaient trouvĂ© sur une appli, et ils voulaient que je l'essaie en premier. Il est arrivĂ© pas longtemps aprĂšs moi. Charlie Ă©tait carrĂ©ment le genre de mec que j'aime baiser. D'Ăąge mĂ»r, petit, tĂȘte rasĂ©e, pas de barbe, pas de poils sauf aux aisselles, poils pubiens noirs et frisĂ©s, et poils foncĂ©s au niveau de son cul. Des sourcils parfaits encadraient ses yeux français sombres. Ses lĂšvres Ă©taient pulpeuses et affamĂ©es. Son corps Ă©tait fort. De superbes tatouages de motifs noirs et une vue du mont Fuji sur son dos. Il portait un short en cuir noir avec une fermeture Ă©clair qui faisait tout le tour pour donner accĂšs Ă  son cul. Je lui ai dit de retirer son dĂ©bardeur, et je pouvais voir un cerce noir tatouĂ© autour d'un de ses tĂ©tons, les deux Ă©tant percĂ©s avec de gros anneaux. Je me suis levĂ© pour voir de plus prĂšs. On lui avait dit de ne pas se doucher ce matin-lĂ , et de ne pas porter de dĂ©o durant toute la semaine avant notre rendez-vous. Je l'ai respirĂ©. Son odeur me montait Ă  la tĂȘte et elle changeait Ă  mesure que je reniflais diffĂ©rentes parties de son corps. Je me tenais derriĂšre lui et l'ai fait tourner pour qu'il se trouve face au miroir pendant que je passais mes mains sur lui, le sentant comme si son corps Ă©tait le mien. Son dos Ă©tait fort, ses bras musclĂ©s Ă  mon goĂ»t. Son ventre Ă©tait lisse, doux, avec un fin filet de poils qui m'invitaient Ă  me diriger vers l'intĂ©rieur de son short. Je passais mon bras autour de sa poitrine ferme et plate, l'attirant vers moi, et je regardais son visage pendant que je mettais ma main droite dans son slip. Il Ă©tait dĂ©jĂ  excitĂ©, et je jouais avec lui en ignorant sa bite mais en tripotant ses boules, et je le caressais afin de sentir son plaisir enfler, en mettant la pression sur son pĂ©rinĂ©e, rĂ©veillant sa prostate. On va te niquer Ă  mort », lui dis-je doucement Ă  l'oreille, et je pouvais le sentir se crisper d'excitation. Tu vas ĂȘtre ma salope ce soir, notre salope. » Il fermait les yeux pour se concentrer sur son excitation, et je frottais mes doigts contre sa bite. Tu seras encore bĂ©ant quand on en aura fini avec toi » lui dis-je, et il a poussĂ© un soupir. C'est ce que tu veux ? C'est pourquoi tu es venu ? » Il secoua la tĂȘte, un air rĂȘveur sur son visage, ses yeux toujours fermĂ©s. J'ai pris son tĂ©ton entre mes doigts et mon pouce et j'ai pressĂ© fort, sans relĂącher la pression entre ses jambes. Ses tĂ©tons Ă©taient foncĂ©s, Ă©pais, bouffis, comme s'ils avaient Ă©tĂ© sucĂ©s de nombreuses fois par le passĂ©. Le mĂ©tal Ă©tait froid dans sa chair souple, et j'ai serrĂ© tellement fort avec mes doigts que la sensation l'a fait ouvrir les yeux. C'est mieux », lui dis-je. Tu devrais clairement regarder les gens dans les yeux quand ils te parlent. »- Pardon, monsieur », me dit-il. - Monsieur ? Qui t'a dit de m'appeler monsieur ? Je m'appelle Yvan » lui dis-je, retirant brusquement ma main de son short, et pinçant son autre tĂ©ton percĂ©. Regarde, dans le miroir. Ne regarde pas autre chose que ton corps » lui dis-je, en pinçant l'acier de ses tĂ©tons plus fort. Son visage se tordait, mais il allait bien. Il Ă©tait revenu au moment prĂ©sent en respirant fort, le regard fixe. - Que vas-tu faire pour nous ce soir ? » lui ai-je demandĂ©. - Tout ce que tu veux, Yvan » rĂ©pondit Charlie, doucement. J'ai tirĂ© plus fort sur ses tĂ©tons, les faisant s'Ă©loigner de son corps, le soulevant par leur biais jusqu'Ă  ce qu'il se tienne sur ses orteils, essayant de supporter cette insoutenable sensation. Plus fort, mon garçon. Ils ne peuvent pas t'entendre. » - Je ferai tout ce que vous voudrez, faites de moi votre chose » dit-il avec une voix ferme, grinçant des dents alors que je tordais et tirais sur ses tĂ©tons. - Bien. » rĂ©pondis-je, puis je me suis mis Ă  frapper mes mains contre sa poitrine, Ă©crasant ses tĂ©tons. Je pouvais voir qu'il avait mal. C'est dommage que je n'aie pas apporter des aiguilles. J'aurais adorĂ© te percer les tĂ©tons encore une fois, pour que tu n'arrĂȘtes pas une seconde de penser Ă  tes tĂ©tons. » Il ne rĂ©pondit rien. Je pouvais voir qu'il aimait plus le look de ses piercings que la douleur qu'il avait endurĂ©e pour les avoir. Mais il allait bien. Il m'avait donnĂ© ce que je voulais. Je l'ai fait se retourner et j'ai pris son visage dans mes mains et l'ai embrassĂ©. Il aimait embrasser avec empressement, ses lĂšvres douces entrouvertes, sa bouche accueillant ma langue. Il pressait son corps contre le mien quand nous nous sommes embrassĂ©s. Il se donnait Ă  moi, frottant son paquet contre mon cuir. J'ai attrapĂ© sa tĂȘte, sa barbe de trois jours me chatouillant les doigts. Quelle salope, celui-lĂ  » dit Sadiq. OĂč l'as-tu trouvĂ©, Rob ? »- Il me courait aprĂšs sur Recon. Je lui ai dit que j'avais un copain et qu'on baisait seulement tous les deux, et il a dit que ça lui plaisait. Alors, je lui ai dit que je voulais une partouze, et il a dit que ça l'avait toujours fait fantasmer, qu'il voulait ĂȘtre la plus grande salope de la Terre », c'Ă©tait ses mots exacts. Et nous y voilĂ . »- Nous y voilĂ , effectivement. » dis-je aux hommes, puis je me suis retournĂ© vers Charlie. Ouvre la bouche » dis-je. Il obĂ©it, en sortant sa langue. J'ai crachĂ© Ă  l'intĂ©rieur et l'ai regardĂ© avaler. Tu es un bon garçon » dis-je. Tu vas me faire plaisir. Nous faire plaisir. » Je lui ai crachĂ© au visage, et j'ai Ă©talĂ© la salive, le dĂ©gradant, lui faisant voir ce que c'est exactement que de vouloir ĂȘtre une salope. J'ai mis mes doigts dans sa bouche, au fond de sa gorge, et j'ai vu comment la texture changeait en caressant sa gorge. Vas-tu nous rendre heureux ? » ai-je Oui » balbutia-t-il, et je pouvais sentir combien il lui Ă©tait difficile de faire passer sa voix entre mes doigts. Ses yeux Ă©taient parlants. Il avait faim. J'ai repoussĂ© son visage. Montre-nous ce que tu peux faire », lui ai-je dit. Il se retourna et je touchais son beau corps, agrippant son cul, qui Ă©tait bien rond. Je veux te donner une fessĂ©e, » lui dis-je, et il s'est accroupi devant moi. Je l'ai prĂ©parĂ© un peu au travers de son short en cuir, ce qui attĂ©nuait mes coups secs en un bruit sourd. Ça ne suffit pas », lui dis-je, en ouvrant son short, l'enlevant brusquement et le jetant par terre pour rĂ©vĂ©ler son cul appĂ©tissant. Il ne portait rien d'autre que ses bottes. Je l'ai fait se tenir debout avec ses mains accrochĂ©es Ă  un anneau suspendu au plafond, et je lui ai dit de compter jusqu'Ă  dix pendant que je frappais fort sa fesse gauche. Il s'est tortillĂ©, mais il ne m'a pas dit d'arrĂȘter et son cul est devenu rouge Ă  l'endroit oĂč je l'ai frappĂ©. Penses-tu que c'Ă©tait acceptable ? » ai-je demandĂ©. Tu n'as pas arrĂȘtĂ© de bouger. » Il Ă©tait déçu, mais ne disait rien. Je l'ai regardĂ© dans les yeux. Je t'ai posĂ© une question, penses-tu que c'Ă©tait acceptable ? »- Non, pardon Yvan. »- Est-ce que tu peux faire mieux ? »- Oui, je le peux. »- Bien. Je vais te tenir. Sadiq, viens ici. » Il s'approcha, se frottant les mains en soulevĂ© le garçon en enveloppant ses jambes autour de moi. Frappe-le », dis-je Ă  Sadiq, et chaque coup sur son cul Ă©tait plus fort que le prĂ©cĂ©dent. Quand je l'ai redescendu, on a plaisantĂ© en disant que Sadiq frappait plus fort que moi. Vingt coups, et son cul Ă©tait sacrĂ©ment rouge. Rob regardait le spectacle, buvant de l'eau et fumant une cigarette. J'ai mis le garçon sur ses genoux, penchĂ© sur le fauteuil en cuir. Je pouvais sentir ma bite enfler, contractĂ© dans mon jockstrap, et j'ai dĂ©cidĂ© de l'enlever. J'aimais le faire attendre, et faire en sorte que les deux hommes puissent le voir exposĂ© comme ça. Écarte tes fesses » dis-je, pour nous amuser encore plus. Il Ă©tait trĂšs sexy. Son cul Ă©tait rond et il nous excitait, avec des poils noirs bouclĂ©s autour de son trou du cul rose. Ses couilles se balançaient, et j'ai placĂ© la semelle de ma botte contre elles, les pressant Ă  plat contre le fauteuil. Ses gĂ©missements me faisaient savoir Ă  quel point il aimait ça, et j'ai augmentĂ© ma force, les Ă©crasant encore plus. Tu as un beau cul, » dis-je, et je me suis approchĂ© pour le mis mon visage dans son cul et j'ai lĂ©chĂ© toute la sĂ©crĂ©tion de ce jour-lĂ , sueur salĂ©e avec toute la saveur du garçon. Je l'ai attrapĂ©, Ă©cartĂ© ses fesses, mangĂ© ses couilles et son pĂ©rinĂ©e, et l'ai baisĂ© avec ma langue, dans une vraie frĂ©nĂ©sie. Je me suis Ă©loignĂ© un peu et l'ai regardĂ©, lui disant Ă  quel point il Ă©tait bon petit cochon et que je voulais le pĂ©nĂ©trer. Il gĂ©mit, hocha la tĂȘte et dit Tout ce que tu veux », et j'ai pris cela comme son recouvert mes doigts de lubrifiant silicone et me suis facilement glissĂ© en lui. Un doigt, deux doigts. J'ai localisĂ© sa prostate et me suis concentrĂ© dessus avec des mouvements dĂ©licats, en suivant son souffle alors que je sentais l'Ă©nergie sexuelle dans son corps augmenter. J'ai accĂ©lĂ©rĂ© le rythme, en pĂ©nĂ©trant son cul plus profondĂ©ment, sentant son trou du cul se dilater autour de mes doigts. J'adore la sensation d'un cul qui se dilate pour moi, et j'ai commencĂ© Ă  entrer et sortir mes doigts, de plus en plus vite et plus profondĂ©ment, mon autre main lui serrant les couilles fermement. S'il te plaĂźt, mets un autre doigt en moi », J'adore les salopes qui en demandent plus », dis-je. Je lui ai mis trois doigts d'abord, puis quatre doigts, faisant glisser ma main vers l'intĂ©rieur et l'extĂ©rieur jusqu'Ă  ce que je le dilate autour de la partie la plus large de la main, et mon pouce Ă©tait la seule chose qui m'empĂȘchait d'entrer tout mon poing. Il n'arrĂȘtait pas de gĂ©mir, il ne retenait rien du tout. J'adore quand un mec se donne Ă  fond comme ça. Les hommes regardaient tous les deux, attentivement, et se branlaient alors que je jouais avec le garçon qu'ils avaient choisi pour les amuser. J'entrais et sortais, plus vite et plus fort, ressentant les vagues de plaisir qui envahissaient Charlie, le baisant comme j'adore me faire baiser. Jouiras-tu encore pour moi ? » lui demandais-je, alors qu'il Ă©tait Ă©vident qu'il allait encore jouir. Je pouvais presque voir le liquide prĂ©-sĂ©minal dĂ©gouliner sur le cuir du Puis-je, s'il vous plait ? » dit-il en Bien sĂ»r, jouis. » dis-je en le pĂ©nĂ©trant encore plus fort, sentant son trou se refermer autour de ma main, puis son corps essayant de me repousser alors qu'il serrait sa chair avec une force brutale. Je n'ai pas arrĂȘtĂ©. Alors que son corps se contractait, j'ai continuĂ© Ă  pousser de plus en plus fort, Ă©tonnĂ© de voir comment il s'Ă©tait rendu. Il jouit encore et encore, coulant des riviĂšres de sperme de sa queue flasque jusqu'au sol. C'Ă©tait un orgasme si intense qu'il se tordait involontairement et donnait l'impression qu'il allait C'est bien mon garçon, tu as tout donnĂ©, » lui dis-je en retirant mes doigts de son cul bĂ©ant. Mange, cochon, » lui dis-je, le forçant Ă  rapprocher son visage de son propre sperme sur le parquet. Il Ă©tait impatient et avait soif, un passif dĂ©sespĂ©rĂ© essayant de plaire aux autres en se concentrant sur cette tĂąche dĂ©licate. J'Ă©tais content et je le lui ai dit, et Ă  ce moment-lĂ , son visage s'est illuminĂ© d'un sourire et d'une profonde tellement excitĂ© que j'ai dĂ» le baiser. Ma queue la pĂ©nĂ©trait facilement, son cul palpitait toujours Ă  cause de mes doigts experts, et il gĂ©missait sur le sol, son visage pressĂ© contre la mare de son propre sperme. J'Ă©tais debout, le poussant profondĂ©ment, entendant ses grognements alors que je le pĂ©nĂ©trais. Son cul Ă©tait doux et chaud autour de ma bite. Il gĂ©missait dĂ©licieusement chaque fois que je le pĂ©nĂ©trais assez fort pour atteindre son deuxiĂšme sphincter. Je sortais pour regarder son cul bĂ©ant Ă  chaque fois que je pensais que j'allais jouir, puis je pĂ©nĂ©trais son cul brusquement Ă  nouveau, retenant mon orgasme aussi longtemps que je le pouvais, travaillant sur mon propre plaisir. Je l'ai remis sur le fauteuil, Ă©tirĂ© son corps pour mettre tout mon poids contre lui, le baisant contre les meubles, le niquant jusqu'Ă  ce qu'il se mette Ă  gĂ©mir et Ă  crier, alors qu'il touchait ses parties gĂ©nitales et se masturbait. Je l'ai baisĂ© fort, avec un de mes genoux clouĂ© sur sa poitrine pour le pĂ©nĂ©trer le plus profondĂ©ment possible, jusqu'Ă  ce que je sente mon orgasme arriver, n'Ă©coutant pas ses gĂ©missements de plaisir mais en me concentrant sur le mien, en utilisant son trou du cul jusqu'Ă  ce que ma respiration s'accĂ©lĂšre, que je jouisse et que je m'Ă©croule sur lui dans la sueur, sentant mon Ă©rection descendre Ă  l'intĂ©rieur de son cul qui palpitait l'ai dĂ©placĂ© plus loin sur le fauteuil, son cul dĂ©passant. Sors-la pour moi » dis-je, et j'ai Ă©cartĂ© ses fesses jusqu'Ă  ce que je puisse voir mon sperme blanc contre la couleur rouge de son cul dilatĂ©. Je l'ai nettoyĂ© avec ma langue, puis je lui ai dit de se mettre Ă  genoux sur le sol devant le miroir. Il est temps que tu les serves, maintenant. » dis-je en dĂ©signant mes amis. Je me suis adossĂ© contre le fauteuil en cuir noir, regardant les deux autres s'amuser avec lui. Sa bouche affamĂ©e couvrait toute la longueur de la queue de Rob, Ă©tirant ses lĂšvres sur toute la largeur de son pĂ©nis de sorte que la salive coulait le long de son menton. Sadiq avait sa longue bite Ă  la main et se tenait derriĂšre le garçon, brossant le cul ouvert de Charlie avec le piercing de sa bite, se servant de mon sperme et de ma salive comme lubrifiant. Je pouvais voir le mĂ©tal de son gros piercing disparaĂźtre dans son trou du cul. C'Ă©tait trĂšs excitant, je me suis remis Ă  bander en me touchant et en regardant Charlie se faire Ă©clater, Sadiq l'attrapant par les Ă©paules pendant que Rob lui niquait la bouche avec sa grosse bite. Quand Sadiq s'est retirĂ©, j'ai vu le sperme couler du cul que j'avais posĂ© mon pied sur un tabouret et j'ai dit Ă  Charlie de s'asseoir sur mes bottes, ses boules collĂ©es contre les lacets rouges. Il a frottĂ© son paquet jusqu'Ă  ce qu'il devienne rouge. Rob Ă©tait derriĂšre lui, baisant son trou du cul sur lequel nous avions dĂ©jĂ  bien travaillĂ©, le baisant pendant que je me branlais. Le plaisir de Charlie Ă©tait prĂ©sent sur son visage, brillant de salive, la bouche ouverte par l'extase. Il a joui sur ma botte pendant que Rob jouissait en lui; quand il s'est levĂ©, je lui ai dit de nettoyer, et il a obĂ©i servilement. Je l'ai laissĂ© finir et lui ai dit de sucer ma bite jusqu'Ă  ce que je jouisse, et j'ai embrassĂ© ses lĂšvres qui sentaient mon sperme. La prochaine fois », dis-je, en supposant qu'ils l'inviteraient Ă  nouveau, je veux le fouetter avec un bĂąton pendant que vous regarderez. Un cul aussi parfait que ça devrait prendre plus que quelques bites. » Ce sont des mecs comme lui qui me donnent envie de ne pas ĂȘtre qu'un passif pour les adeptes du cuir. Partager
CommenterN'oublie pas que les propos injurieux, racistes, etc. sont interdits par les conditions gĂ©nĂ©rales d'utilisation de Skyrock et que tu peux ĂȘtre identifiĂ© par ton adresse internet () si quelqu'un porte plainte.. Connecte-toi # PostĂ© le mercredi 27 mai 2009 09:13
36 Je suis pas pieuse , mais je suis MĂŒslim C tt ce que je sais Et moi aussi... maintenant si ces questions te heurtent, je peux le comprendre, mais de lĂ  Ă  te montrer mĂ©prisante si on ne partage pas ton avis, c'est dommage. 37 Si tu te considĂšres comme un modĂšle de piĂ©tĂ© et que cela te donne le droit de juger, fais attention Ă  l'orgueil. Ce n'est pas grave, laisse-la Ă©venter sa rage. 38 Ce n'est pas grave, laisse-la Ă©venter sa rage. C'est quand mĂȘme triste, ce post parle d'amour / 39 Et moi aussi... maintenant si ces questions te heurtent, je peux le comprendre, mais de lĂ  Ă  te montrer mĂ©prisante si on ne partage pas ton avis, c'est dommage. Je t'ai donne mon conseil + haut Une musulmane a interdiction d'ĂȘtre avec un non musulman Mais bien entendu tu fais ce que tu veux C ton jour du jugement, pas le mien . 40 marok Et moi aussi... maintenant si ces questions te heurtent, je peux le comprendre, mais de lĂ  Ă  te montrer mĂ©prisante si on ne partage pas ton avis, c'est dommage. Non mais tu disais etre attachĂ©e Ă  ta religion au dĂ©but ?! 100% tu es CunĂ©gondeeeeeuh 41 C'est quand mĂȘme triste, ce post parle d'amour / Attends ba3da tu es mĂȘme pas sure qu'il te kiff le gars ... Et quoi si c'est du fĂ©tichisme et il veut juste t'ajouter Ă  son tableau de chasse 42 Elle est juste frustrĂ©e car kilimini l'a dĂ©masquĂ©e et elle s'est dĂ©masquĂ©e elle-mĂȘme avec son couple imaginaire. Sinon mise Ă  jour, je ne fume plus, je vapote! Son marriage Ă  l'air vrai quand mĂȘme , pourquoi il pense que c'est faux ? Et tu fais les autres trucs.... mentionnĂ© plus haut ??? 43 Je t'ai donne mon conseil + haut Une musulmane a interdiction d'ĂȘtre avec un non musulman Mais bien entendu tu fais ce que tu veux C ton jour du jugement, pas le mien . Tu crois que Dieu va me brĂ»ler en enfer parce que je suis tombĂ©e amoureuse d'un non-musulman? Qu'Il va me chĂątier d'avoir cĂ©dĂ© Ă  la tentation parce que je ne supporte plus le cĂ©libat qui je le rappelle m'est imposĂ© Ă©tant donnĂ© que les musulmans que j'ai PERSONNELLEMENT je ne fais pas de gĂ©nĂ©ralitĂ© rencontrĂ© m'ont traitĂ©e sans la moindre affection et intĂ©rĂȘt. Ils m'ont traitĂ©e tel un objet devant se soumettre Ă  leur moindre caprice sous couverts de traditions Ă  observer scrupuleusement pour ne pas mettre Ă  mal leur pseudo identitĂ© fantasmĂ©e. 44 C'est quand mĂȘme triste, ce post parle d'amour / On dit en arabe ÙŰ§Ù‚ŰŻ Ű§Ù„ŰŽÙŠŰŠ Ù„Ű§ يŰčŰ·ÙŠÙ‡ Traduction littĂ©rale "Celui qui ne possĂšde pas/a perdu une chose, ne peut pas la donner" Tu ne peux pas t'attendre Ă  de l'amour de la part d'une personne qui n'en a pas une once dans le coeur. 45 Son marriage Ă  l'air vrai quand mĂȘme , pourquoi il pense que c'est faux ? Et tu fais les autres trucs.... mentionnĂ© plus haut ??? Pour la baizze comme elle dit, qu'elle rapporte des tĂ©moins. Sinon, 80 coups de fouets au derriĂšre pour diffamation! Je veux bien assumer des choses mais qu'on dise la vĂ©ritĂ© de moi, bordel! Ah, et je bois occasionnellement, c'est un secret de polichinelle sur bladi, puisque c'est moi qui l'a toujours dit. Autre chose? 46 marok Non mais tu disais etre attachĂ©e Ă  ta religion au dĂ©but ?! 100% tu es CunĂ©gondeeeeeuh En fait, tu vas m'associer Ă  toutes les intervenantes de ce forum qui t'ont offensĂ©? 47 Je t'ai donne mon conseil + haut Une musulmane a interdiction d'ĂȘtre avec un non musulman Mais bien entendu tu fais ce que tu veux C ton jour du jugement, pas le mien . J'avoue c'Ă©tait un conseil que tu lui donnais comme elle disait ĂȘtre attachĂ©e Ă  sa religion.... Maintenant c'est dur d'imaginer quelqu'un cuisiner du porc, faire la priĂšre et puis aller dormir Ă  cotĂ© de quelqu'un qui a bu ume biere avant d'aller dodo et puis se reseller pour fjar? Enfiiiiiiiinnnnnn oui elle est surement musulmane d'origine 48 Pour la baizze comme elle dit, qu'elle rapporte des tĂ©moins. Sinon, 80 coups de fouets au derriĂšre! Ah, et je bois occasionnellement, c'est un secret de polichinelle sur bladi, puisque c'est moi qui l'a toujours dit. Autre chose? Mais mais mais pk tu boiiiiis ? Je pensais que tu habitais au bled ? Tu viens de Casa? 49 Attends ba3da tu es mĂȘme pas sure qu'il te kiff le gars ... Et quoi si c'est du fĂ©tichisme et il veut juste t'ajouter Ă  son tableau de chasse Ben je verrai bien avec le temps... son empressement et ses gestes trahiront ses mauvaises intentions. 50 Mais mais mais pk tu boiiiiis ? Je pensais que tu habitais au bled ? Tu viens de Casa? J'ai dit occasionnellement, je ne suis pas alcoolique pardi! Rien de mieux qu'un bon petit Mojito ou une biĂšre toute fraĂźche en Ă©tĂ©. Pour les temps plus doux, un bon verre de vin rouge, miaaam! 51 En fait, tu vas m'associer Ă  toutes les intervenantes de ce forum qui t'ont offensĂ©? non elles m'ont pas offensĂ©es lol mais ton discours ressemblent un peu au leur, quoi que CunĂ©gonde Ă  l'air dans le dine quand mĂȘme 52 J'ai dit occasionnellement, je ne suis pas alcoolique pardi! Rien de mieux qu'un bon petit Mojito ou une biĂšre toute fraĂźche en Ă©tĂ©. Pour les temps plus doux, un bon verre de vin rouge, miaaam! Bon la c'est trop pour moi a willliiiii , c'est quoi toutes ces vĂ©ritĂ©s j'Ă©tais pas pret loool tu as quittĂ© la religion ? 53 J'avoue c'Ă©tait un conseil que tu lui donnais comme elle disait ĂȘtre attachĂ©e Ă  sa religion.... Maintenant c'est dur d'imaginer quelqu'un cuisiner du porc, faire la priĂšre et puis aller dormir Ă  cotĂ© de quelqu'un qui a bu ume biere avant d'aller dodo et puis se reseller pour fjar? Enfiiiiiiiinnnnnn oui elle est surement musulmane d'origine Donc pour toi, tu rĂ©duis Ă  cela les non-musulmans, tu ne les vois pas comme des personnes Ă  part entiĂšre, auprĂšs desquels il est possible de s'Ă©panouir et d'ĂȘtre heureux? 54 Son marriage Ă  l'air vrai quand mĂȘme , pourquoi il pense que c'est faux ? Et tu fais les autres trucs.... mentionnĂ© plus haut ??? DĂ©jĂ  si le mec existe, elle n'est pas mariĂ©e lĂ©galement, c'est juste du concubinage. En soi, comme je suis quelqu'un qui se mĂȘle de ses affaires, ça ne me dĂ©range pas mais je n'aime pas les faux-cuuls non plus. Il faut assumer ses choix, bon sang! 55 Donc pour toi, tu rĂ©duis Ă  cela les non-musulmans, tu ne les vois pas comme des personnes Ă  part entiĂšre, auprĂšs desquels il est possible de s'Ă©panouir et d'ĂȘtre heureux? Ben si mais le style de vie est diffĂ©rent , donc voilĂ  regarde la femme dont Zayna a parlĂ© elle a pas supportĂ© elle a divorcĂ© et l'autres ben elle fait avec 56 non elles m'ont pas offensĂ©es lol mais ton discours ressemblent un peu au leur, quoi que CunĂ©gonde Ă  l'air dans le dine quand mĂȘme Mais quel discours? ArrĂȘte de faire des gĂ©nĂ©ralitĂ©s. Ici, je parle du fait que j'ai eu un coup de cƓur pour un homme... 57 Bon la c'est trop pour moi a willliiiii , c'est quoi toutes ces vĂ©ritĂ©s j'Ă©tais pas pret loool tu as quittĂ© la religion ? Non, je suis toujours musulmane wa l7amdoulillah! L'islam est beau et Allah est dans mon coeur jusqu'au dernier souffle dans cette vie, en espĂ©rant ĂȘtre appelĂ© vers Lui satisfaite et apaisĂ©e, pourquoi quitter cette belle religion? Soomy Please leave a message after the tone
 58 Salam/Bonjour, Je souhaiterais vos conseils svp. Avez-vous dĂ©jĂ  eu une relation avec un blanc non-musulman? En fait, je suis attirĂ©e par un homme et aimerais savoir comment lui expliquer que je suis musulmane, que j'ai certaine valeurs sans que ça le bloque? Sans que ça le bloque de faire quoi ? Il manque un passage dans ton texte 59 Ben si mais le style de vie est diffĂ©rent , donc voilĂ  regarde la femme dont Zayna a parlĂ© elle a pas supportĂ© elle a divorcĂ© et l'autres ben elle fait avec Justement, il faut parler des valeurs. Il y a des gens qui choisissent une autre religion par "haine" de leur religion familiale ou qui deviennent athĂ©e par "haine" de ce qui leur a Ă©tĂ© enseignĂ©. Une personne qui a fait un choix responsable ne va pas s'amuser Ă  insulter les croyances des autres, surtout celles de son/sa conjointe. 60 Ben si mais le style de vie est diffĂ©rent , donc voilĂ  regarde la femme dont Zayna a parlĂ© elle a pas supportĂ© elle a divorcĂ© et l'autres ben elle fait avec Tu fais encore une gĂ©nĂ©ralitĂ© partant d'un postulat concernant 2 individus athĂ©es. Je ne me justifierai plus Ouldblad. 61 Sans que ça le bloque de faire quoi ? Il manque un passage dans ton texte Sans que ça le bloque d'ĂȘtre avec elle. C'est cela le passage qui doit ĂȘtre discutĂ©, craindre le rejet pour ce qu'on est, nos croyances, pas mes choix de boissons, maarde! 62 Sans que ça le bloque de faire quoi ? Il manque un passage dans ton texte Ben par exemple, si je veux prendre mon temps avant d'avoir une relation sexuelle. Ou si je ne souhaite pas qu'il y ait d'alcool ou de porc Ă  la maison si on n'habite ensemble... Qu'il accepte mes pratiques ... 63 Mais mais mais pk tu boiiiiis ? Je pensais que tu habitais au bled ? Tu viens de Casa? Les bledardes qui se la jouent occidentales mdrrr 64 Ben par exemple, si je veux prendre mon temps avant d'avoir une relation sexuelle. Ou si je ne souhaite pas qu'il y ait d'alcool ou de porc Ă  la maison si on n'habite ensemble... Qu'il accepte mes pratiques ... Beaucoup de non-musulmans ne boivent pas d'alcool. Pour le porc, je ne comprends pas en quoi cela est "haram" de l'avoir Ă  la maison, tu ne vas pas le manger. 65 Ben par exemple, si je veux prendre mon temps avant d'avoir une relation sexuelle. Ou si je ne souhaite pas qu'il y ait d'alcool ou de porc Ă  la maison si on n'habite ensemble... Qu'il accepte mes pratiques ... Il va te proposer du concubinage C la norme chez les gwer 66 Beaucoup de non-musulmans ne boivent pas d'alcool. Pour le porc, je ne comprends pas en quoi cela est "haram" de l'avoir Ă  la maison, tu ne vas pas le manger. C'est un blocage 67 C'est un blocage Je comprends le poids des blocages! Pour moi, pas de soucis si c'est du bacon ou des tranches de jambon pour les sandwichs mais pour toute autre viande fraiche, ce n'est pas que je n'en veux pas mais je ne cuisine pas de porc, c'est aussi simple que ça. Et je vais cuisiner uniquement ce que je compte Ă©galement manger, s'il veut qu'on lui prĂ©pare un truc, il n'a qu'Ă  engager un chef. Donc forcĂ©ment Ă  moins que ce soit lui qui veut prĂ©parer un plat spĂ©cifique pour lui, il n'y en aura pas Ă  la maison car je ne vais pas l'acheter. 68 Il va te proposer du concubinage C la norme chez les gwer C'est la norme partout dans le monde en vĂ©ritĂ©. J'avoue que c'est une dĂ©cision qui est lourde pour moi, mais voilĂ , si c'Ă©tait aussi simple, comme on dit Dieu est grand dispensateur, alors pourquoi depuis des annĂ©es je ne parviens pas Ă  tomber amoureuse d'un musulman et Ă  me marier? Ça fait des annĂ©es que je patiente et les frustrations ne s'apaisent pas. Et me marier sans sentiment et sans me sentir en confiance et Ă  l'aise, mais juste avec un musulman, c'est impossible pour moi. 69 Je comprends le poids des blocages! Pour moi, pas de soucis si c'est du bacon ou des tranches de jambon pour les sandwichs mais pour toute autre viande fraiche, ce n'est pas que je n'en veux pas mais je ne cuisine pas de porc, c'est aussi simple que ça. Et je vais cuisiner uniquement ce que je compte Ă©galement manger, s'il veut qu'on lui prĂ©pare un truc, il n'a qu'Ă  engager un chef. Donc forcĂ©ment Ă  moins que ce soit lui qui veut prĂ©parer un plat spĂ©cifique pour lui, il n'y en aura pas Ă  la maison car je ne vais pas l'acheter. Je comprends totalement. Franchement cuisiner du porc, c'est impossible pour moi. Je ne pense pas que ça posera de problĂšme Ă  vrai dire... il va s'en douter. 70 tu cherches conseil chez les maghrebins, ben Zaynaa ta rĂ©pondu cash . Tu as eu une rĂ©ponse concrĂšte. Tu veux aussi un verre de vin si ça plait Ă  ton estomac ? salam voilĂ  l'exemple parfait de langage pour faire fuir une musulmane vers un non musulman ! vous vous proclamez musulmans? apprenez le comportement du prophĂšte sws et la maniĂšre dont il parlait aux fidĂšles Quest ce que vous supportez pas chez un mec ?. Pour ma part je deteste les mecs TROP TIMIDE, qui n'on jamais rien Ă  dire et les mecs qui n'ont pas confiance en eux mĂȘme !!!! Mis Ă  jour le 14 fĂ©vrier 2021 Ă  18h00 © Getty Quand Anne s'installe chez sa copine pour garder son chat, elle n'imagine pas qu'elle va trouver l'homme de sa vie Ă  l'Ă©tage du dessus. Encore moins qu'elle serait en tenue d'Eve. Et pourtant... Par Nathalie HĂ©lal En sentant une caresse appuyĂ©e sur mes seins, j'ai pĂ©niblement ouvert un oeil. Il Ă©tait en train de se rhabiller et affichait un air autosatisfait qui m'a dĂ©plu sur-le-champ. Nous venions de passer une nuit torride, mais il se comportait comme s'il n'avait dĂ©jĂ  plus rien Ă  me prouver tout Ă  fait le genre de garçon avec lequel l'aventure s'arrĂȘte au saut du lit ! J'avais hĂąte qu'il s'en aille, et aucune envie de le revoir. Par chance, il ne savait rien de moi. L'appartement qui venait d'abriter nos Ă©bats n'Ă©tait pas le mien et, d'ici Ă  vingt-quatre heures, dĂšs que StĂ©phanie dont je gardais le chat serait rentrĂ©e de son escapade Ă  Marrakech, je serais introuvable Ă  cette adresse. Nue, je l'ai raccompagnĂ© jusqu'Ă  la porte, oĂč j'ai Ă©courtĂ© les adieux. Je me suis ensuite dirigĂ©e vers la salle de bains. C'est Ă  ce moment prĂ©cis que j'ai senti que quelque chose clochait Jean-Claude n'Ă©tait pas venu se frotter Ă  mes jambes comme d'habitude. Beau spĂ©cimen de race europĂ©enne », Jean-Claude Ă©tait un chat idolĂątrĂ© par sa maĂźtresse. Gentil mais tĂȘtu, il avait une fĂącheuse tendance Ă  essayer de se faufiler dehors Ă  la moindre occasion. Si ma copine se fichait pas mal que je ramĂšne des amants chez elle en son absence, en revanche, elle faisait une fixation sur le bien-ĂȘtre de son chat ! Que faire si je croisais quelqu'un ? »AprĂšs l'avoir cherchĂ© dans chaque recoin de l'appartement, il a fallu me rendre Ă  l'Ă©vidence Jean-Claude avait disparu. Il avait dĂ» profiter du moment des adieux pour prendre la poudre d'escampette. PaniquĂ©e, j'ai foncĂ© jusqu'Ă  la porte que j'ai entrouverte. Il Ă©tait lĂ , sagement assis sur les marches, et a miaulĂ© en me voyant. Pendant une fraction de seconde, j'ai pensĂ© Ă  rentrer pour m'habiller en vitesse, mais la crainte que Jean-Claude ne profite de ce moment pour fuguer encore plus loin m'a retenue je n'avais qu'Ă  m'avancer pour le rĂ©cupĂ©rer, Ă  deux enjambĂ©es du seuil. Ce que j'ai fait, non sans mal car Jean-Claude se dĂ©battait. J'Ă©tais Ă  environ cinquante centimĂštres de la porte, quand quelqu'un, Ă  l'Ă©tage au-dessus, a refermĂ© un peu trop fort la sienne j'ai vu la porte me claquer au nez, comme dans un film. En tenue d'Eve, Ă  7 heures du matin, un chat noir dans les bras, j'avais l'air malin ! Le pire, c'est que je ne connaissais personne dans ce foutu immeuble. Et je savais par StĂ©phanie que la gardienne Ă©tait du genre pas commode, donc, toquer Ă  sa loge Ă©tait mission impossible. Que faire si je croisais quelqu'un ? J'ai inspirĂ© profondĂ©ment pour me calmer, sans lĂącher Jean-Claude. Il fallait Ă  tout prix que je trouve quelque chose pour paraĂźtre un peu moins dĂ©vĂȘtue... J'ai attrapĂ© le paillasson le moins dĂ©gueu de tout le palier, et j'ai pris mon courage Ă  deux mains pour sonner Ă  la porte d'en face. Sans succĂšs. Me tournant vers la porte de gauche, j'ai perçu des pas lĂ©gers, et une voix enfantine a retenti Maman ! Y a une dame toute nue ! » Je n'ai pas attendu la rĂ©ponse pour me dissimuler dans l'escalier. AprĂšs avoir frappĂ© Ă  la porte de droite, j'ai eu droit Ă  une menace, venant d'une vieille dame flippĂ©e "Allez-vous-en ou j'appelle la police !" Il ne me restait plus qu'Ă  tenter ma chance Ă  l'Ă©tage du dessus... Je me suis donc retrouvĂ©e seule dans l'appartement d'un parfait inconnu »J'ai grimpĂ© l'escalier en rasant les murs. J'avais la hantise que Jean-Claude ne m'Ă©chappe pour de bon. J'ai choisi au hasard la porte du milieu et m'apprĂȘtais Ă  toquer quand celle de droite s'est ouverte. Un homme d'une trentaine d'annĂ©es, la rĂ©plique de Hugh Grant, est apparu, un attachĂ©-case Ă  la main. Je ne sais pas lequel de nous deux a Ă©tĂ© le plus surpris lui, qui a esquissĂ© le geste de se frotter les yeux, ou moi. Avez-vous besoin de quelque chose ? » m'a-t-il demandĂ©, avec un dĂ©licieux accent. En plus de ressembler au plus sexy des play-boys anglais, il en Ă©tait visiblement un compatriote. Je suis Anne, votre voisine du dessous, ma porte s'est refermĂ©e et... J'aimerais bien passer un coup de fil... et me mettre quelque chose sur le dos », ai-je dĂ©bitĂ© Ă  toute vitesse. Pas de problĂšme ! Entrez, faites comme chez vous. Au fait, je m'appelle Colin. Ne vous inquiĂ©tez pas pour le chat, il est le bienvenu lui aussi ! » Je n'avais pas le choix, et j'avoue que son charme ne me laissait pas indiffĂ©rente. L'urgence pour moi Ă©tait de rĂ©intĂ©grer l'appartement de StĂ©phanie, avec son chat. Colin s'est effacĂ© pour me laisser entrer mais je lui ai fait signe de me prĂ©cĂ©der, le paillasson ne couvrant que le devant de mon corps... Il a eu le tact de ne pas se moquer de moi et s'est prĂ©cipitĂ© dans la salle de bains pour me tendre un peignoir. Pendant ce temps, Jean-Claude faisait le tour du propriĂ©taire. Vous voulez un cafĂ©, un thĂ©... grignoter quelque chose ? » Un peu rassĂ©rĂ©nĂ©e, j'ai acceptĂ© un thĂ©, et souri en voyant Colin, dans la cuisine, camoufler la vaisselle sale de la veille. Pendant que je soufflais sur ma tasse, il avait dĂ©jĂ  composĂ© le numĂ©ro d'un serrurier. Bon... VoilĂ  ce que nous allons faire... Je dois partir travailler, mais vous allez rester ici en attendant que le type arrive. MĂȘme s'il met la journĂ©e, prenez tout votre temps et reposez-vous. Vous avez l'air d'en avoir besoin... - Je ne sais pas comment vous remercier... et pour le chat, dites-moi, vous n'auriez pas quelque chose Ă  manger... et pour le reste ? » ai-je questionnĂ©, inquiĂšte pour les dĂ©gĂąts que Jean-Claude pouvait causer. Ah ! Vous avez raison, je vais arranger ça tout de suite », a dĂ©clarĂ© mon sauveur. En un clin d’Ɠil, il avait passĂ© commande sur Internet d'un paquet de croquettes, d'un sac de litiĂšre et d'un bac en plastique. Le tout allait ĂȘtre livrĂ© en moins d'une heure. Je me suis donc retrouvĂ©e seule dans l'appartement d'un parfait inconnu, avec un chat pour toute compagnie. Colin m'avait confiĂ© ses clĂ©s, avec la recommandation expresse de ne pas les oublier Ă  l'intĂ©rieur, si je sortais... Le parfait cĂ©libataire, bon Ă  marier ! »Vers 19 heures, quand il est rentrĂ©, j'avais eu le temps de mĂ©diter sur le charme de notre rencontre. J'avais surtout fait la visite approfondie de son appartement. N'ayant pas grand-chose pour tromper mon ennui, et dĂ©sireuse de savoir Ă  qui j'avais affaire, je ne m'Ă©tais pas gĂȘnĂ©e pour fouiner dans ses placards et ses tiroirs. Verdict le parfait cĂ©libataire, bon Ă  marier ! Cette dĂ©couverte m'avait d'ailleurs fait m'incruster plus que de raison, y compris aprĂšs le dĂ©part du serrurier. J'avais trĂšs envie de lui montrer qu'en dĂ©pit des apparences j'Ă©tais tout sauf une blonde idiote, capable de s'aventurer sans ses clĂ©s, nue sur le palier. Alors je suis allĂ©e faire des courses, j'ai cuisinĂ© tout l'aprĂšs-midi, je suis passĂ©e me doucher, me changer et me maquiller chez StĂ©phanie, et j'ai dressĂ© la table... chez lui. Quand il a sonnĂ© Ă  la porte, il a eu un second choc. J'avoue qu'objectivement, ce que j'avais fait Ă©tait assez gonflĂ©... je n'Ă©tais pas censĂ©e savoir qu'il Ă©tait un coeur Ă  prendre ! Heureusement, l'idĂ©e de ce petit dĂźner improvisĂ© en tĂȘte Ă  tĂȘte l'a enchantĂ©. Il m'a confiĂ© plus tard qu'il avait l'impression de ne pas ĂȘtre au bout de ses surprises avec moi, et que c'est ce qui l'avait sĂ©duit. Il m'a dit aussi qu'aprĂšs m'avoir vue nue, il avait eu envie d'aller voir si j'avais aussi une tĂȘte bien faite. Nos vĂ©rifications rĂ©ciproques ont tellement bien fonctionnĂ© que nous ne nous sommes plus quittĂ©s un mois aprĂšs cet Ă©pisode improbable, je m'installais chez lui. Et dĂ©sormais, quand StĂ©phanie n'est pas lĂ , je prends Jean-Claude en pension chez nous. Jene suis pas brisĂ© en fin de compte, j’ai le cƓur juste abĂźmĂ©, et je peux m’en remettre. Je sais que je le peux. Tandis que les mains de Paul me caressent distraitement le dos, je croise le regard de quelqu’un qui me rend mon regard. Celui d’Edward. Il a l’air Ă©tonnĂ© de me voir dans les bras d’un autre.
"Si le conjoint n'est pas capable de dire stop Ă  son enfant et d'imposer un respect Ă©lĂ©mentaire, mieux vaut se dĂ©sinvestir de sa relation Ă  l'enfant", conseille Marie-Luce Iovane, prĂ©sidente du Club des MarĂątres. iStock Se donner du tempsÀ 30 ans, Louise n'a pas d'enfant. Elle vient tout juste de faire la connaissance d'Aurore et de ClĂ©ment*, le fils et la fille de Thomas, respectivement 14 et 8 ans, son compagnon. "Cela n'a pas Ă©tĂ© une mince affaire. Pendant des mois, j'ai bottĂ© en touche, dĂ©calĂ© le rendez-vous. Je ne voulais pas briser notre bulle, le cocon de notre vie Ă  deux. J'avais aussi peur de ne pas rĂ©ussir Ă  les aimer. Je me mettais une pression Ă©norme. Finalement, la rencontre s'est faite en douceur, autour d'un dĂ©jeuner. Il y a des traits de caractĂšre qui m'irritent chez ClĂ©ment, mais je me dis que ce n'est pas mon fils, pas ma vie. Je ne veux pas entrer en conflit, ni avec lui ni avec Thomas. J'apprends Ă  relativiser. Pourtant, je ne me leurre pas. La prĂ©sence des enfants aura un impact sur notre vie future. ClĂ©ment a dĂ©jĂ  prĂ©venu son pĂšre il veut vivre avec nous." L'avis des spĂ©cialistes "Il est parfois dĂ©licat d'ĂȘtre immĂ©diatement Ă  l'aise avec des enfants lorsque l'on n'en a pas soi-mĂȘme. Le mieux est donc de conserver une position attentiste, d'observateur un peu en retrait. Le parent ne doit pas prendre cette posture distancĂ©e pour de l'indiffĂ©rence mais pour une volontĂ© de dĂ©couverte progressive, un apprivoisement rĂ©ciproque. On n'est pas obligĂ© d'aimer immĂ©diatement les enfants de son conjoint", explique Catherine Sellenet, co-auteure de L'enfant de l'autre, petit traitĂ© sur la famille recomposĂ©e, aux Ă©ditions Max Milo. Offre limitĂ©e. 2 mois pour 1€ sans engagement "Il faut prendre son temps", confirme Catherine Audibert, psychologue et auteure d'OEdipe et Narcisse en famille recomposĂ©e, aux Ă©ditions Payot & Rivages. "Il vaut mieux s'Ă©couter et rester naturel que de s'imposer des activitĂ©s qui nous ennuient ou une prĂ©sence forcĂ©e. Avec le temps, on se demandera simplement quelle place on souhaite prendre auprĂšs d'eux, sans obligation ni culpabilitĂ©. Cette relation s'Ă©panouira peut-ĂȘtre plus lentement mais elle sera plus solide, plus profonde et sincĂšre", souligne Catherine Audibert. >>> Lire aussi notre dossier sur les relations familiales Ne pas trop en faireLouis a 40 ans. Il a un enfant issu d'une premiĂšre union. En couple avec Muriel depuis deux ans, il est prĂȘt Ă  tout pour que son beau-fils, AurĂ©lien, 13 ans, l'apprĂ©cie. "Je ne vois pas trĂšs souvent mon propre fils car il vit avec sa mĂšre en province. Je reporte donc toute mon attention sur AurĂ©lien. Je l'accompagne au foot tous les mercredis, je l'emmĂšne rĂ©guliĂšrement voir des matchs, j'essaye d'avoir le plus de moments privilĂ©giĂ©s possibles avec lui. Lorsqu'il est en conflit avec sa mĂšre, je me surprends souvent Ă  lui donner raison ou Ă  plaider sa cause auprĂšs de Muriel. Il est vital pour moi que mon beau-fils me fasse une place dans sa vie. Pourtant, il commence Ă  me reprocher d'ĂȘtre trop prĂ©sent. Il me lance de plus en plus rĂ©guliĂšrement 'Tu n'es pas mon pĂšre.' Il me rejette et cela me blesse profondĂ©ment." L'avis des spĂ©cialistes "En maintenant cette relation avec AurĂ©lien, Louis tente de compenser son absence auprĂšs de son propre fils. C'est une erreur", estime Catherine Sellenet. "Les enfants dĂ©codent trĂšs bien les stratĂ©gies des adultes. Quand leur attachement est le fruit d'une insĂ©curitĂ©, d'un mal-ĂȘtre, cela les rend mĂ©fiants. Voir un tiers essayer de prendre la place de leur parent les met face Ă  un conflit de loyautĂ©. La dĂ©fiance s'installe, jusqu'au rejet pur et simple du beau-parent", dĂ©taille Catherine Sellenet. Alors que ce dernier pense avoir tout fait pour poser les bases d'une vie de famille Ă©panouie, il voit alors progressivement l'enfant s'Ă©loigner de lui. "Dans ce cas, il faut prendre du recul", conseille Marie-Luce Iovane, prĂ©sidente du Club des MarĂątres, un groupe de parole destinĂ© aux belles-mĂšres. "S'intĂ©resser Ă  l'enfant de son conjoint, c'est trĂšs bien, mais il ne faut en aucun cas empiĂ©ter sur son espace. On ne doit pas tenter de se rendre indispensable. La confiance et l'affection, cela se gagne pas Ă  pas, cela ne s'impose pas." Remettre le couple au centreDepuis trois ans, Sylvie, 45 ans, vit avec Fabrice et sa belle-fille, Marion, 15 ans. Aujourd'hui, elle est sur le point de craquer. "Marion me fait vivre un enfer depuis des mois. Elle est en pleine crise d'adolescence. Elle me pique mes vĂȘtements en cachette, me critique ouvertement devant son pĂšre, rentre Ă  des heures indues. C'est invivable. DĂšs que je tente de faire preuve d'autoritĂ©, elle me renvoie vertement dans les cordes. Mon compagnon n'ose rien lui dire. Lorsque je lui demande son appui, il rĂ©agit Ă  peine. J'aimerais qu'il reprenne pleinement sa place de pĂšre et de conjoint pour que je puisse retrouver un peu de sĂ©rĂ©nitĂ©. Je ne peux pas m'empĂȘcher de le trouver lĂąche et j'en veux terriblement Ă  ma belle-fille de nous faire vivre ça." L'avis des spĂ©cialistes "Si le conjoint n'est pas capable de dire stop Ă  son enfant et d'imposer un respect Ă©lĂ©mentaire, mieux vaut se dĂ©sinvestir de sa relation Ă  l'enfant. AprĂšs tout, pourquoi ĂȘtre prĂ©sent auprĂšs d'un enfant qui ne nous respecte pas?", s'interroge Marie-Luce Iovane. "En tant que beau-parent, on attend trop souvent une reconnaissance qui ne vient jamais. On ne peut pas forcer son conjoint Ă  reprendre sa place mais on peut changer sa propre attitude et ainsi le mettre face Ă  une rĂ©alitĂ© qu'il ne veut pas voir", avance la prĂ©sidente du Club des MarĂątres. "Certes, le parent doit prendre ses responsabilitĂ©s, mais le beau-parent doit Ă©galement avoir Ă  l'esprit qu'il faut parfois prendre du recul face aux provocations de l'enfant pour prĂ©server l'Ă©quilibre familial. Si rien n'y fait, on peut organiser des conseils familiaux afin que chacun puisse s'exprimer librement", suggĂšre Catherine Audibert. >>> Lire aussi notre dossier sur la famille recomposĂ©e Trouver des solutions alternatives Quand la situation semble sans issue, certains n'hĂ©sitent pas Ă  employer les grands moyens. C'est le cas de Claude, 55 ans "J'ai quittĂ© ma femme et mes enfants il y a plusieurs annĂ©es pour vivre avec Sophie, que j'aime follement. En revanche, je ne supporte pas sa fille, Camille. Je la trouve mal Ă©levĂ©e, insolente. Nos disputes ont pris une telle ampleur, rendant le quotidien si dĂ©testable pour tout le monde, que j'ai prĂ©fĂ©rĂ© quitter la maison. Aujourd'hui, je vis seul. Je ne vais chez ma compagne que deux ou trois fois par semaine. Cela me rends profondĂ©ment amer. J'ai tout fait pour reconstruire une vie de famille recomposĂ©e Ă©panouie et heureuse. Sans succĂšs. Aujourd'hui, il est trop tard pour changer les choses." L'avis des spĂ©cialistes "ArrĂȘtons d'entretenir une vision idyllique de la famille recomposĂ©e. Elles sont souvent plus fragiles et conflictuelles qu'on ne le pense. Le beau-parent se voit imposer les choix Ă©ducatifs de son conjoint, sans pouvoir les remettre en question. S'il les rĂ©prouve, il finit par ĂȘtre en proie Ă  un sentiment d'impuissance profond. Entre agacement et frustration, les relations avec ses beaux-enfants se dĂ©gradent. Quand il y a tel constat d'incompatibilitĂ©, il est plus sain de vivre son couple Ă  mi-temps. Le choix de vie de Claude ne me paraĂźt donc pas ĂȘtre une mauvaise solution. C'est une alternative Ă  un quotidien familial infernal", constate Catherine Sellenet. "Vivre une seconde vie amoureuse n'implique pas nĂ©cessairement de rĂ©ussir Ă  recrĂ©er une famille, dans la pleine acception du terme. Il est illusoire de penser que cela va de soi. Loin des fantasmes de famille recomposĂ©e idĂ©ale, Ă  chacun de trouver son propre schĂ©ma de coexistence, un mode de vie qui convienne Ă  tous", conclut Marie-Luce Iovane. *Tous les prĂ©noms de l'article ont Ă©tĂ© modifiĂ©s >>> Lire aussi Comment surmonter les difficultĂ©s de la famille recomposĂ©e *Tous les prĂ©noms de l'article ont Ă©tĂ© modifiĂ©s Leslie Rezzoug Les plus lus OpinionsTribunePar Carlo Ratti*ChroniquePar Antoine BuĂ©no*ChroniqueJean-Laurent Cassely
Cest Mon Homme. J'ai donnĂ© tout c'que j'ai, mon amour et tout mon c urÀ Mon Homme. Et mĂȘme la nuit, Quand je rĂȘve, c'est de lui, De Mon Homme. Ce n'est pas qu'il est beau, qu'il est riche ni costaud. Mais je l'aime, c'est idiot, I'm'fout des coups. I'm'prend mes sous, Je suis Ă  bout. Mais malgrĂ© tout. Alden Knightmembers too many secrets Hier Ă  2008 Everyone's damaged Tell me something. Aren't you tired trying to fill that void ? TW sexe, drogue, relation toxique, mots crus Les fenĂȘtres ouvertes laissaient entrer un soleil cuisant, une chaleur devenue insupportable. Au sol, des vĂȘtements Ă©taient Ă©parpillĂ©s ici et lĂ , souvenirs torrides de la nuit derniĂšre. Les sons provenant de la tĂ©lĂ©vision rĂ©sonnaient dans l’appartement en se mĂȘlant au rythme rĂ©gulier du ventilateur qui tentait tant bien que mal de rafraĂźchir la piĂšce. Des volutes de fumĂ©e stagnaient dans l’air, provenant d’une cigarette coincĂ©e entre mes lĂšvres. HabillĂ© d’un simple boxer, mes yeux glissaient Ă  travers le livre que je tenais d’une main, tranquillement allongĂ© sur le lit, Ă  travers les fins draps marquĂ©s par nos Ă©bats. Un corps complĂštement nu Ă©tait installĂ© prĂšs du mien. Eden dormait encore. De temps en temps, mon regard s’enfuyait de ma lecture pour se glisser sur ses courbes. Je l’admirais, comme souvent. Je me perdais dans la contemplation enchanteresse qu’elle m’offrait sans mĂȘme le vouloir. Ses courbes m’appelaient, tel un camĂ© devant une latte de coke. J’étais accro. Ses longs cheveux roux reposaient en cascade le long de son dos, brillant en rĂ©ponse aux rayons du soleil, me donnant l’envie de glisser mes doigts dedans. Mais je n’en fis rien. Je restais silencieux, par peur de la rĂ©veiller et de briser ce moment de calme entre nous. Ils Ă©taient rares, ces moments, trop pour que je me permette d’y mettre un terme. A la place, je replongeais dans ma lecture. Aucune idĂ©e de l’heure qu’il pouvait ĂȘtre. Si on Ă©tait le matin ou l’aprĂšs midi. Ça n’avait aucune importance. Tel un automatisme, mes doigts faisaient des allers retours jusqu’à mes lĂšvres pour m’apporter une dose de nicotine devenue indispensable. Ce n’est que lorsque j’eus fini une Ă©niĂšme clope que je relevais la tĂȘte pour de bon. Les besoins physiques indispensables Ă©taient revenus Ă  la charge. S’hydrater, aller aux chiottes, manger, ce genre de conneries. Mon livre fini sur la table de chevet. Tel un fĂ©lin, je me glissais en dehors du lit sans le moindre bruit, direction la salle de bain. Sur mon passage, j’avisais le plateau qui traĂźnait sur une table oĂč la poudre blanche m’attendait. J’eu une fraction de seconde d’hĂ©sitation. Plus tard. AprĂšs la douche. Je ne pris mĂȘme pas la peine de prendre des vĂȘtements propres. Je me glissais sous l’eau aprĂšs ĂȘtre passĂ© aux toilettes. Une bonne douche froide, ça me soulageait au moins autant qu’une clope sur le moment. L’eau dĂ©vala mon corps. xx feat. xx codage Lilie - icon chrysalis _________________ Hate and love I want you, so badly. I want your lips and your skin, your soul and your love. I want to hurt you as much as you hurt me. Because you belong to me. Eden Rossmembers too many secrets Hier Ă  2010 ♛ everyone's damaged> Quand tu portes le poids du monde sur tes Ă©paules. Alors que le poids de ton propre cƓur est trop lourd Ă  porter. Et bien, je sais que tu as peur que les choses soient toujours comme ça. C'est juste une mauvaise journĂ©e, pas une mauvaise journĂ©e. Et je sais que ça semble sans espoir. Et je sais Ă  quel point tu es proche du bord maintenant. Alors j'ai Ă©crit cette chanson pour dire que les choses ne seront pas toujours pas comme ça, non. C'est juste une mauvaise journĂ©e, pas une mauvaise vie. â–Œâ–Čâ–Œ Tu te sentais bien lĂ  dans ses draps. T’avais l’impression de dormir dans des draps en satin. Mais ce n’était qu’une impression. Ils Ă©taient en coton mais chaque chose qu’il touchait devenait extraordinaire. Tu tournas la tĂȘte dans ton sommeil. Ton corps sentis sa prĂ©sence Ă  tes cĂŽtĂ©s. Il t’envoutait. Il t’avait pris ton cƓur et ton Ăąme Ă  la seconde mĂȘme oĂč tu avais posĂ©s tes prunelles dans ses yeux. Tu l’avais su Ă  la seconde oĂč il avait souris que tu Ă©tais foutu. Calista, ton amie, t’avais dis de faire attention Ă  lui. Qu’il n’était pas une bonne personne pour toi. Elle ne savait pas que c’était exactement les paroles qu’il ne fallait pas qu’on te dise. Tu avais besoin de ça. Ton monde Ă©tait un carnage depuis que tu avais appris que tu n’étais qu’une demi-Ross. Ton monde avait volĂ© comme une boule de cristal. Et tu avais besoin d'un nouveau socle dans ta vie pour te remettre d’aplomb. Et tu trouvais qu’Alden Ă©tait parfait comme candidat. Beaucoup trop mĂȘme vu qu’il avait rĂ©ussi Ă  tout avoir de toi. Ton corps au point que le dessin de sa bouche avait finis comme tatouage sur ton aĂźne. Ton cƓur qui battait Ă  chaque fois qu’il posait les yeux sur toi. Et le pire dans tout ça. Ton Ăąme. Tu t’étais aveuglĂ©e dans cette relation. Elle Ă©tait toxique pour vous deux mais tu ne l’a changerais pour rien au pour confirmer les choses, tes yeux papillonnĂšrent quand tu ne ressentais plus la prĂ©sence d’Alden Ă  tes cĂŽtĂ©s. Il s’était levĂ©. Et tu compris quelques secondes en attendant les gouttes d’eaux fouettĂ© le mur de la douche oĂč il Ă©tait. Tu poussais un soupire et t’étirais comme un chat. Tu avais des courbatures de vos Ă©bats d’hier. C’était ça aussi vous. Sauvage. Vous Ă©tiez deux faunes dans une cage qui se battaient pour dominer l’autre. Et devenir cĂąlin par la suite. Tu te levas et marcha en direction de sa salle de bain. Ton corps nu avait encore les traces de vos Ă©bats d’hier. Tes yeux trouvĂšrent Alden qui te tournait le dos. Un sourire glissa sur tes lĂšvres quand tes yeux se posĂšrent sur ses fesses. Si toi tu avais un tatouage sur l’aine, il l’avait les tiennes sur les fesses. Signe d’une possessivitĂ© sans faille. Tu pĂ©nĂ©tras dans la douche et enroula tes bras autour du torse de celui qui faisait battre ton cƓur. Tu posas ta tĂȘte sur son dos apprĂ©ciant le contact de vos deux peaux nues. » T’es cap toi de m’aimer dans cette douche ? Ça avait toujours Ă©tĂ© ça entre vous. Du cap ou pas cap. Du matin au soir. C’était votre drogue. Votre adrĂ©naline. Votre dĂ©chĂ©ance. Et sans le savoir tu avais plongĂ© tout ton corps dedans. Alden Ă©tait ta putain de drogue. Il Ă©tait ton diable Ă  toi. Et aveuglĂ©e par tes sentiments, tu ne voyais rien de tout cela. Tu glissais une de tes mains sur ton torse pour une caresse lĂ©gĂšre. L’eau s’abattait sur toi et tu pousses un soupire de bien ĂȘtre. Tu adorais ce genre de sensation. L’eau et ton corps nu contre celui d’ PAR AMATISAlden Knight_________________BAD LIFEOoh, c'est dur de sortir du lit quand tout est dans sa tĂȘte. Et plus rien n'a de sens comme un pansement sur un cƓur qui saigne. Je fais semblant de sourire et m'effondre et personne ne sait jamais que je suis une FRIMELDA Alden Knightmembers too many secrets Hier Ă  2016 Everyone's damaged Tell me something. Aren't you tired trying to fill that void ? Les yeux fermĂ©s, je profitais du court moment de solitude qui m’était offert, laissant mes pensĂ©es vagabonder dans mon esprit sans vraiment m’accrocher Ă  l’une d’elle. J’aimais ses journĂ©es, oĂč rien n’avait d’importance et nous ne nous soucions de rien Ă  part de profiter du moment prĂ©sent. Loin de nos problĂšmes et du monde extĂ©rieur. Loin de tout. Un vent frais dans mon dos me fit rouvrir les yeux, prendre conscience de la prĂ©sence d’Eden dans mon dos. Je souris Ă  l’instant mĂȘme oĂč ses bras m’entourĂšrent. Sa voix encore enrouĂ©e par le sommeil se glissa jusqu’à mon oreille. Mon sourire s’étira. Je me retournais suite Ă  sa caresse sur mon torse, grisĂ© par son contact rendu diffĂ©rent Ă  cause de l’eau qui s’abattait sur nos corps. Je plongeais dans son regard sans dĂ©tour. Mes doigts s’invitĂšrent le long de sa mĂąchoire en une caresse tendre. Cap. »Mes lĂšvres Ă©chouĂšrent sur les siennes. Mon palpitant reparti au galop. Mes mains dĂ©valĂšrent les courbes de son corps. Je la voulais plus prĂšs. Toujours plus. Elle m’avait emprisonnĂ©, m’avait envoĂ»ter sans que je le vois venir. Pour la premiĂšre fois de ma vie, je m’étais laissĂ© aller Ă  aimer, quand bien mĂȘme nous nous Ă©tions promis de ne jamais tomber dans le piĂšge de l’amour. Je m’étais fait avoir. Et maintenant je ne voulais plus que cela cesse. Je la voulais, encore et feat. xx codage Lilie - icon chrysalis Eden Ross_________________ Hate and love I want you, so badly. I want your lips and your skin, your soul and your love. I want to hurt you as much as you hurt me. Because you belong to me. Eden Rossmembers too many secrets Hier Ă  2019 ♛ everyone's damaged> Quand tu portes le poids du monde sur tes Ă©paules. Alors que le poids de ton propre cƓur est trop lourd Ă  porter. Et bien, je sais que tu as peur que les choses soient toujours comme ça. C'est juste une mauvaise journĂ©e, pas une mauvaise journĂ©e. Et je sais que ça semble sans espoir. Et je sais Ă  quel point tu es proche du bord maintenant. Alors j'ai Ă©crit cette chanson pour dire que les choses ne seront pas toujours pas comme ça, non. C'est juste une mauvaise journĂ©e, pas une mauvaise vie. â–Œâ–Čâ–ŒTW sexe Les gouttes d'eau frappĂšrent ton corps nu avec force. Te rappelant Ă  quel point tes sentiments Ă©taient violents pour celui que tu partageais la douche. Tu te rappelais du premier cap ou pas cap. Ou tout avait commencĂ©. Ça avait commencĂ© par un simple " t'es cap d'embrasser la personne la bas ?". Alors que tout le monde savait qu'elle Ă©tait en couple depuis des annĂ©es avec son compagnon. Quand il te l’avait embrassĂ©, tu l'avais trouvĂ© ahurit. Ce n'Ă©tait pas ton truc de briser des couples. Toi qui au fond cherchait que ça. Que quelqu'un te porte autant de gestes que peut ĂȘtre un couple. C'est quand il avait touchĂ© la case provocation que tu y Ă©tais allĂ©. Et qu'une fois le cap rĂ©alisĂ©, tu lui avais glissĂ© qu'il en sera jamais cap de coucher avec le premier mec qu'il regardait. Tu savais que tu allais gagner. Qu'Alden Ă©tait un homme Ă  femmes. T'Ă©tais tombĂ© de haut quand il Ă©tait revenu tout souriant et t'avais glissĂ© la chaĂźne autour du cou. C'est comme ça que ça avait commencĂ©. Un putain de jeu. Tu te savais mauvaise perdante. Il en profitait. Et au fur et Ă  mesure que ce jeu prenait place dans ta vie, t'en tombais amoureuse. Comme ça. D'un seul coup. Car il t'apporta plus d'attention que quiconque ne t'avais jamais adressĂ© jusqu'Ă  la. Du mal oui. Alden Ă©tait le feu interdit. Et toi tu adorais t'y approcher au point que tu as fini par te brĂ»ler les dĂ©posas un baiser sur son dos quand tu entends sa rĂ©ponse. M'aimer. C'Ă©tait aussi un cap ou pas cap que l'un avait dis. Que jamais on tomberait amoureux de l'autre. Toi t'Ă©tais plongĂ©e dedans finalement et tu ne lui avais rien dis. Car t'avais dis que tu Ă©tais cap. Que ce n'Ă©tait qu'un putain de jeu. Malsain. Toxique. A voyant Alden se tourner et dĂ©poser ses lĂšvres sur les tiennes, tu compris une chose. T'Ă©tais foutu. Alden Ă©tait mieux que l'adrĂ©naline. Mieux que la nicotine que tu fumais en quantitĂ© astronomique. Mieux que la drogue que tu t'enfilais en soirĂ©e par esprit de compĂ©tition. Mieux qu'un orgasme. Alden. Ce nom Ă©tait gravĂ© en toi au fer rouge. Sa marque Ă©tait gravĂ©e Ă  l'encre rouge sur ta peau. Tu ne voyais que lui. Tu ne voyais que ses mains sur ton corps. Tu voyais que les gĂ©missements que tu poussais et les frissons qui te donnĂšrent la chair de poule. Tu voyais que lui. Et putain qu'est ce que c'Ă©tait bon. Tu traçais de tes ongles le dos de ton amant. Tu le marquais comme tien. Ton Ă©niĂšme gĂ©missement mourut dans les lĂšvres d'Alden. Il n'y avait rien de tendre entre vous. Tu sentis l'excitation montĂ©. Tu connaissais son corps par cƓur et il connaissait le tien par cƓur. Il savait oĂč toucher pour t'envoyer au septiĂšme PAR AMATISAlden Knight_________________BAD LIFEOoh, c'est dur de sortir du lit quand tout est dans sa tĂȘte. Et plus rien n'a de sens comme un pansement sur un cƓur qui saigne. Je fais semblant de sourire et m'effondre et personne ne sait jamais que je suis une FRIMELDADerniĂšre Ă©dition par Eden Ross le Ven 26 AoĂ» - 121, Ă©ditĂ© 1 fois Alden Knightmembers too many secrets Hier Ă  2024 Everyone's damaged Tell me something. Aren't you tired trying to fill that void ? xx feat. xx codage Lilie - icon chrysalis Eden Ross_________________ Hate and love I want you, so badly. I want your lips and your skin, your soul and your love. I want to hurt you as much as you hurt me. Because you belong to me. Eden Rossmembers too many secrets Hier Ă  2027 ♛ everyone's damaged> Quand tu portes le poids du monde sur tes Ă©paules. Alors que le poids de ton propre cƓur est trop lourd Ă  porter. Et bien, je sais que tu as peur que les choses soient toujours comme ça. C'est juste une mauvaise journĂ©e, pas une mauvaise journĂ©e. Et je sais que ça semble sans espoir. Et je sais Ă  quel point tu es proche du bord maintenant. Alors j'ai Ă©crit cette chanson pour dire que les choses ne seront pas toujours pas comme ça, non. C'est juste une mauvaise journĂ©e, pas une mauvaise vie. â–Œâ–Čâ–ŒTW sexe " T'es cap toi qu'on tombe pas amoureux de l'autre ?". Ses mots tu les avais prononcĂ©s un mois aprĂšs que tu avais commencĂ© ton jeu avec Alden. Un mois ou tu avais sentis tous tes sens en Ă©veil. En alerte de la moindre parcelle de caresse. Du moins regard jetĂ© en ta direction. Du moindre mot qui coulait dans ses lĂšvres. C'Ă©tait qu'un Ă©niĂšme pari. Il t’avait dis qu'il Ă©tait cap et t'avais balancĂ© le mĂȘme Ă  la gueule. Juste pour voir qui allait ĂȘtre le gagnant des deux. Plus tu restais en sa compagnie, plus tu te sentais perdre pied. C'Ă©tait qu'un jeu. Un putain de jeu de cap ou pas cap qui aurait dĂ» rester sur des paris simples. CODAGE PAR AMATISAlden Knight_________________BAD LIFEOoh, c'est dur de sortir du lit quand tout est dans sa tĂȘte. Et plus rien n'a de sens comme un pansement sur un cƓur qui saigne. Je fais semblant de sourire et m'effondre et personne ne sait jamais que je suis une FRIMELDADerniĂšre Ă©dition par Eden Ross le Ven 26 AoĂ» - 121, Ă©ditĂ© 1 fois Alden Knightmembers too many secrets Hier Ă  2030 Everyone's damaged Tell me something. Aren't you tired trying to fill that void ? xx feat. xx codage Lilie - icon chrysalis Eden Ross_________________ Hate and love I want you, so badly. I want your lips and your skin, your soul and your love. I want to hurt you as much as you hurt me. Because you belong to me. Eden Rossmembers too many secrets Hier Ă  2203 ♛ everyone's damaged> Quand tu portes le poids du monde sur tes Ă©paules. Alors que le poids de ton propre cƓur est trop lourd Ă  porter. Et bien, je sais que tu as peur que les choses soient toujours comme ça. C'est juste une mauvaise journĂ©e, pas une mauvaise journĂ©e. Et je sais que ça semble sans espoir. Et je sais Ă  quel point tu es proche du bord maintenant. Alors j'ai Ă©crit cette chanson pour dire que les choses ne seront pas toujours pas comme ça, non. C'est juste une mauvaise journĂ©e, pas une mauvaise vie. â–Œâ–Čâ–ŒTW sexe CODAGE PAR AMATISAlden Knight_________________BAD LIFEOoh, c'est dur de sortir du lit quand tout est dans sa tĂȘte. Et plus rien n'a de sens comme un pansement sur un cƓur qui saigne. Je fais semblant de sourire et m'effondre et personne ne sait jamais que je suis une FRIMELDADerniĂšre Ă©dition par Eden Ross le Ven 26 AoĂ» - 120, Ă©ditĂ© 1 fois Alden Knightmembers too many secrets Hier Ă  2322 Everyone's damaged Tell me something. Aren't you tired trying to fill that void ? xx feat. xx codage Lilie - icon chrysalis Eden Ross_________________ Hate and love I want you, so badly. I want your lips and your skin, your soul and your love. I want to hurt you as much as you hurt me. Because you belong to me. Eden Rossmembers too many secrets Aujourd'hui Ă  120 ♛ everyone's damaged> Quand tu portes le poids du monde sur tes Ă©paules. Alors que le poids de ton propre cƓur est trop lourd Ă  porter. Et bien, je sais que tu as peur que les choses soient toujours comme ça. C'est juste une mauvaise journĂ©e, pas une mauvaise journĂ©e. Et je sais que ça semble sans espoir. Et je sais Ă  quel point tu es proche du bord maintenant. Alors j'ai Ă©crit cette chanson pour dire que les choses ne seront pas toujours pas comme ça, non. C'est juste une mauvaise journĂ©e, pas une mauvaise vie. â–Œâ–Čâ–ŒTW sexe CODAGE PAR AMATISAlden Knight_________________BAD LIFEOoh, c'est dur de sortir du lit quand tout est dans sa tĂȘte. Et plus rien n'a de sens comme un pansement sur un cƓur qui saigne. Je fais semblant de sourire et m'effondre et personne ne sait jamais que je suis une FRIMELDA Alden Knightmembers too many secrets Aujourd'hui Ă  215 Everyone's damaged Tell me something. Aren't you tired trying to fill that void ? xx feat. xx codage Lilie - icon chrysalis Eden Ross_________________ Hate and love I want you, so badly. I want your lips and your skin, your soul and your love. I want to hurt you as much as you hurt me. Because you belong to Ă©dition par Alden Knight le Ven 26 AoĂ» - 1735, Ă©ditĂ© 1 fois Eden Rossmembers too many secrets Aujourd'hui Ă  1708 ♛ everyone's damaged> Quand tu portes le poids du monde sur tes Ă©paules. Alors que le poids de ton propre cƓur est trop lourd Ă  porter. Et bien, je sais que tu as peur que les choses soient toujours comme ça. C'est juste une mauvaise journĂ©e, pas une mauvaise journĂ©e. Et je sais que ça semble sans espoir. Et je sais Ă  quel point tu es proche du bord maintenant. Alors j'ai Ă©crit cette chanson pour dire que les choses ne seront pas toujours pas comme ça, non. C'est juste une mauvaise journĂ©e, pas une mauvaise vie. â–Œâ–Čâ–ŒTW addiction, sous-entendu drogue Tu sentais ton cƓur battre plus vite qu’il ne le devait. Il faisait un marathon et s’il n’avait pas Ă©tĂ© protĂ©gĂ© par tes cĂŽtes, tu Ă©tais sur que ton cƓur aurait bondit tellement il battait fort. Ses Ă©motions, ses sentiments aussi violents que passionnĂ©, il n’y avait qu’Alden pour te les faire ressentir. Tes jambes s’étaient enroulĂ©es autour de sa taille et ta bouche formait un o » quand l’orgasme Ă©tait venu frapper Ă  vos portes. Il Ă©tait bon. Incroyablement bon. Il te faisait perdre pied. Tu oublias ce qu’il se passait dehors, loin de cet appartement. Tu oublias la douleur que tu avais ressentis quand celui que tu pensais ĂȘtre ton pĂšre t’avais dis en rĂ©alitĂ© tu n’étais qu’une erreur. Que le fruit d’une infidĂ©litĂ©. Non. Tout ce qui comptait Ă  prĂ©sent Ă©tait vous deux. Votre bulle qui vous protĂ©geait contre le monde extĂ©rieur. Vous deux contre le reste du monde. Babe et Alden. Tu ne savais pas pourquoi tu lui avais jamais dis ton prĂ©nom. Par sĂ©curitĂ© au dĂ©but mais parce que tu aimais entendre ton surnom dans cette bouche. Ça sonnait si sensuel, si vivant que tu n’avais jamais eu le cƓur de lui dire ton prĂ©nom. Et il semblerait que ça n’avait aucune importance pour Alden vu qu’il ne t’avait jamais posĂ© la question. Car votre prĂ©nom ne comptait pas. Seuls vos deux ĂȘtres torturĂ©s comptaient. Tu l’aimais avec une telle force que tu pourrais en crever s’il te demandait de le faire. Tu pouvais tout faire pour lui. T’avais dĂ©jĂ  finis en garde Ă  vue Ă  cause de lui. Tu avais dĂ©jĂ  sniffer de la coke parce qu’il te l’avais demandĂ©. Oui. S’il te donnerait d’en finir avec ta vie, tu le ferais sans hĂ©siter. Car c’était ça ton amour pour lui. Puissant. Violent. Dangereux. Meurtrier. Et Ă  cet instant, seul lui comptait. Seules ses lĂšvres qui se posĂšrent sur les tiennes comptaient. La passion avait laissĂ© place Ă  une tendresse qui te donnait des frissons. C’était aussi ça votre amour. Deux cons qui n’assumaient pas leurs sentiments mais qui les ressentaient puissance milles. Et que c’était rĂ©ciproque. Tu n’avais pas besoin de mots pour le dire. Tu Ă©tais convaincu qu’il savait que tu Ă©tais tombĂ©e amoureuse de lui. Ton cƓur dans ta poitrine battait tellement fort et vite qu’il aurait fallu ĂȘtre sourd pour ne pas l’entendre. MĂȘme Calista te le disait. D’arrĂȘter tout ça car tes sentiments pour lui Ă©tait bien trop violent pour que ça soit sain. Mais tu t’en fichais. Alden Ă©tait ton tout. Et chaque jour sous l’excuse d’un cap ou pas cap, tu revenais le voir. C’était plus fort que toi. Ton corps rĂ©clamait son corps. Ton Ăąme voulait faire qu’un avec la sienne. Et ton cƓur voulait rejoindre ses bras si rĂ©confortant mais si dangereux Ă  la lĂšvres approfondir le baiser alors que tu l’obligeais Ă  te lĂącher. Tes bras l’avaient encerclĂ© et tu t’étais mis sur la pointe des pieds pour ne jamais arrĂȘter ce baiser. Comme si c’était ça qui comptait pour vous. Tu Ă©tais sur dĂšs l’instant oĂč tu allais rompre ce baiser, t’allais en souffrir. L’eau de la douche continuait Ă  tomber et tu laissas l’eau effacĂ© les vestiges de votre acte d’amour. Car mĂȘme si vous appelez ça de la baise, vous savez pertinemment que vous faisiez l’amour. Mais vous Ă©tiez trop fier pour oser le dire. Trop compĂ©titif. Le manque d’air arriva et tu soupiras quand tes lĂšvres s’enlevĂšrent des siennes. Une piqure de douleur te le rappela. T’étais devenu addict Ă  Alden comme tu l’étais de la clope. Tu souris en fermant les yeux et laissa le jet d’eau venir Ă©craser sur ton visage. Pour te rĂ©veiller de l’état second que cet orgasme vous avez mis. Le manque premier passĂ©, le deuxiĂšme manque tapa dans ta poitrine. Tu avais besoin d’une clope. Tu attrapas le gel douche et te le passais sur ton corps. Provocante, tu laissas glisser te doigts sur le torse d’Alden pour venir dĂ©poser du gel douche et descendis plus bas. Pour nettoyer tout ça. Tu n’avais pas besoin de mot pour dire les choses. C’était devenu naturel et si tu avais envie d’ĂȘtre honnĂȘte avec toi-mĂȘme, c’était un comportement de couple. Une fois fini, tu laissais abattre l’eau qui te nettoyait. La douche fini, tu en sortis avec un dernier regard Ă  Alden. Je vais fumer t’en veux une ? » Ou d’autres choses vu ce qu’il avait laissĂ© sur la table. T’avais pas besoin de lui dire pour qu’il comprenne le sous-entendu. Tu trouvas un t-shirt d’Alden et l’enfila sur ton corps nu. Tu trouvas facilement ton paquet de cigarette et en sortis une. La premiĂšre de la journĂ©e. L’aprĂšs orgasme. La meilleure. Tu la glissas entre tes lĂšvres et l’alluma. La clope te fit un bien fou et partis t’installĂ© sur un meuble prĂšs d’une fenĂȘtre pour la fumer. Un des reflexes de maniaque que tu Ă©tais. CODAGE PAR AMATISAlden Knight_________________BAD LIFEOoh, c'est dur de sortir du lit quand tout est dans sa tĂȘte. Et plus rien n'a de sens comme un pansement sur un cƓur qui saigne. Je fais semblant de sourire et m'effondre et personne ne sait jamais que je suis une FRIMELDA Alden Knightmembers too many secrets Aujourd'hui Ă  1804 Everyone's damaged Tell me something. Aren't you tired trying to fill that void ? Tw drogue, addictions Le moment si prĂ©cieux se dissipa Ă  regret. Aucun de nous deux ne mima mots.'Il n’y avait que nos regards et nos corps qui se rĂ©pondaient en silence. Je la libĂ©rais en reprenant contenance, la laissait laver mon corps, passer le savon sur mes muscles en ne cessant de la regarder. N’importe qui d’extĂ©rieur aurait pu se moquer de nous voir ainsi, crevant l’évidence de nos sentiments. On le savait tous les deux sans doute, seulement nous Ă©tions bien trop fiers pour l’assumer. C’était pas notre genre. Nous Ă©tions Ă©pris de libertĂ©, cassĂ©, dĂ©vastĂ©, trop peureux pour voir la vĂ©ritĂ©. Mes yeux se posĂšrent sur son cou, sur le cadenas qu’elle portait, la chaĂźne qui reposait le long de ses clavicules. Il ne nous quittait jamais, ce collier. MĂȘme pas sous la douche. Comme gravĂ© sur notre peau. L’idĂ©e de le faire graver un jour m’effleura, avant que l’eau ne se coupe, me sortant de mes pensĂ©es. L’air pĂ©nĂ©tra dans la douche alors que j’observais ses fesses rebondies tandis qu’elle partait se chercher une clope. J’arrive. »Mon corps agit de lui mĂȘme. Ma main passa dans mes cheveux pour les remettre en arriĂšre alors que j’attrapais une serviette pour m’essuyer rapidement. Je remis mon boxer avant de sortir, prenant soin d’ouvrir la fenĂȘtre au passage. Mes pas me conduire droit dans la chambre. Mon regard plana sur elle alors que l’odeur de la cigarette planait Ă  nouveau dans la piĂšce. Elle Ă©tait beaucoup trop belle, Babe. Encore plus avec mon t-shirt sur le dos, arrivant Ă  la limite de ses fesses. Elle aimait se poser lĂ , Ă  la fenĂȘtre. Et moi j’aimais la regarder. Je cherchais rapidement son paquet de clopes, en glissant une entre mes lĂšvres avant de me diriger vers le plateau rempli de poudre. Tout ce sexe m’avait presque fait oublier le manque. Presque. Je m’asseyais Ă  la table, attrapais les cartes qui traĂźnaient lĂ  et entrepris de faire de belles traces. T’en veux ? »Je l’interrogeais en tournant Ă  peine la tĂȘte vers elle. Elle Ă©tait dans mon dos, hors de mon champ de vision. Les lattes prĂȘtes, je m’en enfilais une comme si j’avais fait ça dans ma vie, ce qui Ă©tait le cas, en vĂ©ritĂ©. Rien de plus banal pour moi. Je projetais la tĂȘte en arriĂšre, inspirant en frottant mon nez devenu blanc. Je fermais les yeux quelques secondes, apprĂ©ciant le simple fait de m’enfiler ma came. L’instant suivant, une flamme brĂ»la le bout de ma clope restĂ©e accrochĂ©e Ă  ma bouche. J’accrochais la tĂ©lĂ©vision du regard, juste en face de moi, soupirant de bien ĂȘtre Ă  la premiĂšre bouffĂ©e de tabac. Les images dĂ©filaient sans que j’y prĂȘte rĂ©ellement attention. Un bruit de fond, juste pour occuper mon esprit malade. Éviter le silence trop pesant. J’avisais mon smartphone, jurant au passage. J’avais des appels en absence. Des appels importants. Je rappelais mon interlocuteur en me levant de ma chaise, rejoignant Babe Ă  la fenĂȘtre. Le combinĂ© vissĂ© Ă  l’oreille, ma main libre tomba dans le dos de la belle en des caresses distraites. Le regard perdu Ă  la fenĂȘtre, j’attendais que les dĂ©tonations cessent. Messagerie. Et merde. Fais chier. »Je balançais le tĂ©lĂ©phone sur le lit, posant mes yeux sur la rousse. T’as faim ? Je vais cuisiner un truc. »xx feat. xx codage Lilie - icon chrysalis Eden Ross_________________ Hate and love I want you, so badly. I want your lips and your skin, your soul and your love. I want to hurt you as much as you hurt me. Because you belong to me. Contenu sponsorisĂ© Everyone's damaged - Eden 89xt.
  • 62bh80lsot.pages.dev/295
  • 62bh80lsot.pages.dev/426
  • 62bh80lsot.pages.dev/276
  • 62bh80lsot.pages.dev/80
  • 62bh80lsot.pages.dev/474
  • 62bh80lsot.pages.dev/545
  • 62bh80lsot.pages.dev/515
  • 62bh80lsot.pages.dev/447
  • je ne supporte pas mon mec quand il a bu